Manon Lescaut Liberté

sa geôle parisienne qu'il rédige « L' Enfer », description satirique du Chatelêt et pamphlet contre les abus des gens de justice. De 1526 à 1532, le poète écrit plusieurs épîtres en hommage à la famille royale. En récompense, l'auteur obtient la liberté et une dotation de cent écus d'or. A la suite des affrontements entre catholiques et protestants et à la réprobation de François 1er, Marot s'exile en Italie, à Ferrare puis à Venise. Mais une nouvelle accusation d'hérésie suite à la réédition de

destructeurs sur l'individu, dans une société dominée par le conformisme, c'est-à-dire le mimétisme.      La caractéristique du jeu des relations sociales dans les Liaisons est précisément de ne laisser aucun jeu aux personnages, aucun espace de liberté. Les libertins, malgré les apparences et l'étymologie, n'y sont pas plus libres dans leur rôle que les jeunes filles entre les murs des couvents. L'intelligence souveraine de Mme de Merteuil et de Valmont fait illusion sur leur souveraineté. Laclos

La recherche de nouvelles valeurs caractérise les œuvres du siècle des Lumières : remise en cause de la monarchie, questionnement sur la notion de progrès, interrogation sur la religion et sur les fondements de la morale, apparition des notions d’individu et de liberté, etc. Les écrits des penseurs de ce temps concourent à un radical changement dans les mentalités et dans la société françaises, ou du moins s’en font les témoins ; ces changements, loin d’être négligeables, aboutiront à la Révolution française.

ses voyages, de sa vie aux Indes et aux Amériques, d’Édouard Bomston. Mais il avait du mal à répondre sans trahir son émotion. Alors qu’ils étaient ainsi en train de converser, M. de Wolmar revint dans la pièce. Julie continua à parler avec la même liberté. Voyant l’étonnement de Saint-Preux, qui n’arrivait pas à comprendre une familiarité si ouverte et une telle confiance réciproque, le brave homme se mit à rire et, joignant la main de Julie à celle de son ancien précepteur, il déclara : «Notre amitié

catholicisme et il est partisan du gallicanisme (doctrine qui voulait l’indépendance de l’église catholique à l’égard du Pape). Il veut l’unité religieuse du royaume. Ainsi il décide de supprimer le jansénisme et le protestantisme et d’interdire la liberté de culte. En octobre 1685 l’édit de Fontainebleau supprime la tolérance religieuse qui avait été accordée aux Protestants par l’édit de Nantes de 1958. Les protestants doivent se convertir ou s’exiler. Les tensions sont importantes. C’est la fin de

questions rhétoriques au conditionnel qui visent à mettre en évidence sa toute-puissance, mais surtout à passer en revue les topoï romanesques : - le mariage contrarié, - l’aventure - l’exotisme cf : Histoire du Chevalier Des Grieux et de Manon Lescaut de PREVOST(1731) / Cleveland de RICHARDSON (1732-1739). Diderot s’emporte contre la vogue du roman au XVIIIè s auquel il reproche sa fausseté, son invraisemblance, sa frivolité. Les personnages sont, à son goût, trop artificiels, les intrigues

que les lecteurs trouvaient dans les romans à la 3ème personne. Les représentants les plus éminents de ce roman sont : Lesage dont les œuvres les ^mus connues sont Le Diable boiteux, Gil Blas de Santillane ou encore l’abbé prévost, auteur de Manon Lescaut et de Cleveland. A l’ouest rien de nouveau, roman de Erich Maria Remarque, est le témoignage de Paul Bäumer, un jeune homme de dix-neuf ans, combattant dans l'armée allemande durant la première guerre mondiale. L’usage de la focalisation interne

européennes par l’entremise de persans. Autre témoignage de l’avènement de l’individu, le roman-mémoires, à la 1ère personne (mais pas autobiographie), permet l’expression d’un regard personnel sur le monde (introspection, monologue intérieur). Ex : Manon Lescaut (1731) par l’Abbé Prévost. Par ailleurs, l’essor de la bourgeoisie marque l’évolution de la hiérarchie sociale. Le roman offre un cadre propice à la description de personnages qui se jouent des règles sociales. Les écrivains des Lumières mettent

épouse. A ce mot d’épouse elle soupira, le regarda avec une tendresse inexprimable, et soudain jeta un cri d’horreur ; puis, dans un de ces intervalles où l’accablement, et l’oppression des sens, et les souffrances suspendues, laissent à l’âme sa liberté et sa force, elle s’écria : "Moi, votre épouse ! Ah ! cher amant, ce nom, ce bonheur, ce prix, n’étaient plus faits pour moi ; je meurs, et je le mérite. O dieu de mon cœur ! ô vous que j’ai sacrifié à des démons infernaux, c’en est fait, je suis

entrelacement fiction-réalité 2) Les 1ers jalons de la critique Voltairienne Noblesse dégradée : Baronne/poids, filles postée avant fils, gonflée d'orgueil (quartiers) => grotesque (réf Lettres Philo, X) Parodie romans d'amour en vogue : Manon Lescaut (Abbé Prévost), Pamela (Richardson) 3) L'optimisme pris à contre-pied Réponse à Leibniz et sa théorie (Théodicée) : « le Tout est bien » Leibnizien est réd à l'hyberb risible «Tout est pour le mieux» à Wolf, principal disciple de Leibniz (réf