Maîtres et Valets

scène très brève et sans informations, Dorante est accueilli dans l’antichambre d’Araminte par son valet Arlequin. A la scène 2, nous assistons à un dialogue entre Dorante, jeune bourgeois désargenté et neveu du procureur Rémy et son ancien valet Dubois, maintenant au service d’Araminte. Dubois veut présenter Dorante, qu’il estime fort, à Araminte

didascalies permettent de comprendre que l'espace scénique est redéfini. On comprend que les valets vont utiliser une partie de la scène et l'autre partie sera occupée par les maîtres : il y a donc deux territoires, celui des maîtres et celui des valets. Arlequin et Cléanthis jouent une pièce à l'intérieur de la pièce. Ils veulent recréer une sorte de théâtre dans le théâtre. Les spectateurs ne sont autres que les maîtres (Iphicrate et Euphrosine). On insiste beaucoup sur leur présence. On fait régulièrement

pères, Argante et Géronte, veulent marier contre leur gré, vont être aidés par le valet Scapin. Ce personnage s'inspire beaucoup de la commédia dell’arte ( corriger les mœurs par le rire ) qui veut régler ses comptes avec son maître. Ainsi nous étudierons les caractéristiques de la relation maître valet dans la pièce. LE CONFLIT ENTRE LE MAITRE ET LE VALET Le portrait du maître s’inspire de la tradition : c’est un vieillard (cf. étymologie de son nom « Géronte »)

Lecture analytique de la scène 1 de l’acte I : 2ème pièce d’une trilogie comportant :Le Barbier de Séville, histoire du barbier Figaro qui va aider Lindor, alias le comte Almaviva, à approcher puis épouser Rosine, sous la coupe de son tuteur Bartholo qui souhaite l’épouser et la maintient hors de tout contact avec le monde pour pouvoir accomplir son projet, comédie créée en 1775Le dernier volet de la trilogie est La Mère coupable en 1792. Il s’agit d’un drame. Evolution de ton entre les trois pièces

quitté la scène, satisfait des portraits railleurs qui ont composé la première épreuve infligée aux maîtres par leurs esclaves. Ceux-ci se trouvent maintenant face à face sans la médiation du gouverneur de l'île. Que pourra-t-il en résulter ? - Investis de leur nouveau pouvoir, les domestiques peuvent en effet en user diversement : ils peuvent multiplier les brimades à l'égard de leurs anciens maîtres et oublier en cela les leçons de Trivelin ("point de vengeance"); le spectateur les attend aussi à

L’île des esclaves est une utopie qui transporte le spectateur sur une île antique où l’ordre social est renversé : les maîtres deviennent esclaves et les esclaves deviennent maîtres. Ce renversement de rang vise à amuser le spectateur mais aussi à me faire réfléchir : Les maîtres méritent-ils vraiment d’être des maîtres ? Quelle est la raison d’être des inégalités sociales ? Maîtres et esclaves peuvent-il s’aimer ? Il s’agit d’une comédie sociale qui souligne les tensions entre l’aristocratie et les

Problématique : Comment cette scène d’exposition permet-elle un conflit entre maître et valet ? Intro : publié en 1725 ; forme d’utopie dans laquelle le maitre devient serviteur et le valet devient maître (inversion des roles). Scène d’expo : Iphicrate vient de se rendre compte qu’il est sur une île qui menace son pouvoir -> lutte / conflit entre Arlequin et Iphicrate. Arlequin manifeste sa liberté. I. Un conflit entre maître et valet 1/ Des personnages stéréotypés Présence de personnage de farce permettant

reconciliation entre iphicrate et son valet. cette scene fait ainsi apparaitre les premices du dénouement. Dans quel mesure , ce dialogue révélateur du siecle des lumières offre t il une reflexion sur le renversement de situation? Pour repondre a cette question nous etudierons les différentes etapes de l argumentation d arlequin puis nous nous pencherons sur la reaction d Iphicrate. LES DIFFERENTES ETAPES DE L'ARGUMENTATION D'ARLEQUIN A/ LA CRUAUTÉ DU MAÎTRE Antiphrase : « tu as raison mon ami » :

1) Jacques le Fataliste et son maître(1796)- Denis Diderot (1713-1784) L’écriture de Jacques le Fataliste commence dès 1765 et s’étend jusqu’à la mort de Diderot en 1784, soit 19 ans de rédaction. Le roman parait la première fois en feuilleton, de 1778 à 1780, dans une revue littéraire de Grimm, la « Correspondance littéraire », dont La publication extrêmement confidentielle et manuscrite permettait d’échapper à la censure. L’œuvre complète est achevée seulement en 1783, et ensuite publiée en 1796

est tombé amoureux, sous ses fenêtres, il retrouve par hasard son ancien valet devenu Barbier. Cette scène constitue donc une exposition de l’intrigue, elle permet de préciser les liens entre Figaro et le comte. Elle critique implicitement la société du XVIIIe Siècle et le milieu theatrale. (lecture du texte) En quoi cet extrait dénonce-t-il les travers de la société et comment cet extrait décrit-il les rapports maîtres/valets ? I – Une scène d’exposition habile et originale qui reprend et renouvelle