Maitre Derville Portrait

homme . Ce dernier, plutôt misérable, demande à s’entretenir avec le patron des lieux, un certain monsieur Derville . Mais les clercs lui apprennent que ce dernier, très courtisé, ne passe à son bureau que la nuit : il lui faudra revenir vers une heure du matin s ’il veut espérer le rencontrer. À l’heure dite, l’étrange homme se présente à nouveau et est reçu par Derville. Il lui décline alors sa véritable identité : il s’appelle Hyacinthe Chabert, connu en France sous le titre de

quatre-vingt-dix romans et nouvelles parus de 1829 à 1855, réunis sous le titre La Comédie humaine. À cela s'ajoutent Les Cent Contes drolatiques, ainsi que des romans de jeunesse publiés sous des pseudonymes et quelque vingt-cinq œuvres ébauchées. Il est un maître du roman français, dont il a abordé plusieurs genres, du roman philosophique avec Le Chef-d'œuvre inconnu au roman fantastique avec La Peau de chagrin ou encore au roman poétique avec Le Lys dans la vallée. Il a surtout excellé dans la veine du réalisme

l'avoué Maître Derville. L'avoué apprend que la fille de Madame de Grandlieu, Camille, est amoureuse du jeune Ernest de Restaud. Mme de Grandlieu n'est pas en accord avec cet amour car la mère d'Ernest est dépensière et dans une relation illégitime avec Maxime de Trailles. Elle gaspille sa fortune pour ce dernier. L'avoué intervient en faveur de Camille. Il évoque le temps avec son voisin, un viel homme nommé Jean-Esther van Gobseck qui était un usurier hors du commun. Maître Derville va démontrer

dialogues, il joue avec le retour en arrière, il change les points de vue, il varie les éclairages. Tout est fait pour mieux nous faire appréhender la complexité de la situation et la diversité des personnages. Avec ce roman, Balzac se présente comme un maître du récit court, il nous laisse entrevoir ce que par ailleurs tout lecteur un peu paresseux oublie facilement et que ses plus gros romans rappellent, une maîtrise parfaite de la narration. Ce roman est une belle réussite, d’autant plus que l’histoire

inguérissable. » (site : AlaLettre) 1816 : Ensuite, il étudie le droit pour passer son baccalauréat et son père l’envoi chez un ami de la famille pour qui il travaille comme clerc de notaire (il s’inspirera de cet ami avoué pour son personnage Maître Derville dans Le colonel Chabert). A 2o ans, Balzac affirme sa vocation littéraire à ses parents qui lui laissent 2 ans pour arriver à vivre du métier d’écrivain sinon quoi, il reprendra le travail de son père. Ils l’installent dans une mansarde (rue

Philosophe visionnaire, issus d'un milieu bourgeois, Honoré de Balzac quitte Tours pour Paris avec ses parents. Il entreprend des études en droit dont il abandonne en 1819. Il décide alors de devenir écrivain en employant un pseudonyme. À vingt-trois, il se lie avec Mme Laure de Berny qui l'encourage à poursuivre son écriture. Il achète une imprimerie qu'il perd par la suite. Criblé de dettes, il entreprend l'écriture de la Comédie humaine sous son nom. Parmi ses romans, on y compte (Le Lys dans

dans quelques instants nous allions être rue d'Artois ? - Eh ! mon père, est-on maître de son premier mouvement dans une catastrophe ? je suis folle ! Votre avoué nous a fait découvrir un peu plus tôt le malheur qui sans doute éclatera plus tard. Votre vieille expérience commerciale va nous devenir nécessaire et je suis accourue vous chercher comme on s'accroche à une branche quand on se noie. Lorsque monsieur Derville a vu Nucingen lui opposer mille chicanes, il l'a menacé d'un procès en lui disant

retrouver sa femme, ses biens et son argent. Dans cet extrait, on a la description que Derville se fait de Chabert, la première fois qu’ils se rencontrent. Chabert apparait comme un antihéros. Nous pouvons ainsi nous demander comment Balzac fait de son personnage principal un antihéros. Nous étudierons donc l’apparition du Colonel Chabert marquée par le mystère et nous verrons ensuite comment Balzac fait de ce portrait la description d’un homme en souffrance. Tout d’abord, nous allons nous intéresser

de Rastignac Jean-Joachim Goriot Jacques Collin, alias Vautrin ou Trompe-la-Mort Delphine de Nucingen Anastasie de Restaud Vicomtesse de Beauséant Horace Bianchon Madame Vauquer, la maîtresse de la pension a une cinquantaine d'années, Maître Derville, l’avoué du père Goriot, Sylvie la cuisinière de la pension et Christophe, jeune garçon travaillant à la pension Vauquer, Madame Couture, veuve d'un commissaire-ordonnateur, Victorine Taillefer .Poiret, un pensionnaire rentier épris de mademoiselle

déclaré cherchant à regagner sa fortune perdu que sa femme a reçu comme héritage et son nom, son titre considéré comme son honneur. Pour cela il essaye tant bien que mal à avoir un entretien avec Maître Derville un des meilleurs avocats de France. Chose faite, il réussit à avoir une entrevue avec Derville, il y raconte comment se déroula sa mort, son autopsie où on l’a déclaré mort alors qu'il était en état de catalepsie (un état proche du coma) et enterré dans une fausse avec plein d'autres morts