Maison de La Rochefoucauld

3). On fera de même pour les dernières scènes de la pièce (séance 6), afin de s’assurer que tous auront lu et compris le dénouement et son rapport avec la situation initiale. Entre-temps (séances 4 et 5), les élèves, pour chaque cours, liront à la maison un certain nombre de scènes qui feront chaque fois l’objet d’un bilan de 82 Une pièce de théatre du ˆ XVIIe siècle lecture : cette récapitulation sera l’occasion de faire interpréter à la classe quelques morceaux choisis. Séances 1. Les

dit qu’il regrette qu’elle ne lui ait pas laissé des enfants, et il le répète : Il n’a pas d’héritiers, elle n’aura pas à partager son héritage, ce sur quoi il insiste puisqu’« il le répète », comme nous le signale aussi « déjà » ; - il parle des maisons qu’il a à la ville, et bientôt d’une terre qu’il a à la campagne : il calcule le revenu qu’elle lui rapporte, il fait le plan des bâtiments, en décrit la situation, exagère la commodité des appartements, ainsi que la richesse et la propreté des meubles

du passage : la beauté comme caractéristique principale de Mlle de Chartres. Cf question 2. -les hyperboles : une beauté idéale -un portrait stéréotypé cf question 1 -un objet d’admiration cf questions 3 et 4. 2)la naissance -le lien avec la maison de Chartres -les hyperboles : ex « une des plus grandes héritières de France » ( Idéalisation essentielle du personnage, qui la constitue comme héroïne. Mais également donnée d’emblée comme étant sous l’influence de sa mère. II)Fonction argumentative :

dans un salon : culture générale, délicatesse de goût, sûreté du jugement, bonne éducation, galanterie, politesse, courtoisie. Évitant toute affectation, tout pédantisme, toute érudition, il « ne se pique de rien », selon la célèbre formule de La Rochefoucauld. Le duc de Nemours de La Princesse de Clèves, le Cléante de Tartuffe, le Clitandre des Femmes Savantes incarnent assez exactement cet idéal. Préciosité : elle se développe dans les hôtels aristocratiques (tel que l'hôtel de Rambouillet) et les

mais aussi leurs seuls interlocuteurs. Beaucoup d’entre elles ont subi une succession de pertes, perte de proches, perte du conjoint, et dans certaines situations perte d’autonomie. Ce qui fait que ces personnes âgées se retrouvent seules dans des maisons isolées et sans voiture car certaines d’entre elles en ont également perdu l’usage. Comment les travailleurs sociaux répondent aux besoins spécifiques des personnes âgées en milieu rural ? (Question de départ.) Je me suis

– Venons à l’esprit, et voyez combien le nôtre a paru redoutable à nos tyrans ; jugez-en par les précautions qu’ils ont prises pour l’étouffer, pour nous empêcher d’en faire usage ; c’est à filer, c’est à la quenouille, c’est à l’économie de leur maison, c’est au misérable tracas d’un ménage, enfin c’est à faire des nœuds, que ces messieurs nous condamnent.[…] Ou bien, c’est à savoir prononcer sur des ajustements, c’est à les réjouir dans leurs soupers, c’est à leur inspirer d’agréables passions

besoin d'être flatté. Elle n'hésite pas à trahir la mère dont elle se passe pour l'ami et la fille dont elle lui permet de se confier. Un double jeu relatif à la personnalité de Merteuil, une binarité omniprésente chez elle : c'est le cas de ses deux maisons, l'une en symbole de sa bonne réputation et l'autre ou elle amasse les conquêtes. Une binarité également à l'encontre du Vicomte, qu'elle tient à avoir sous son empire par flatterie, mais en même temps qu'elle délaisse par ennui. Une personnalité

vendre à forfait pour recevoir une part de la recette, ils ont commencé à s’enrichir davantage. Mais ce sont des exceptions : un auteur sans fortune personnelle (Boileau) ne pouvait publier sans la protection d’un grand (La Bruyère appartenait à la maison du Grand Condé), aussi la fonction d’historiographe du Roi a-t-elle le refuge de nombreux hommes de lettres. Les écrivains devaient donc mettre leur plume au service du grand qui les protégeait, ce qui explique les enjeux esthétique liés à l’éloquence

Texte 1 : Jacques le Fataliste et son maître(1796), histoire de Mme de La Pommeraye et du chevalier des Arcis Introduction  : Denis Diderot (1713/1784) auteur du siècle des Lumières. C’est un philosophe : un des directeurs de l’Encyclopédie (1751/1772). Il est aussi auteur de pièces de théâtre. Il invente un nouveau genre, le « drame bourgeois ». Il était aussi critique d’art : Salons. Enfin il a écrit des romans parus après sa mort : Le neveu de Rameau et Jacques

argumentatives au service du thème abordé par les auteurs et leur efficacité sur le destinataire. Séquence 1 : Utopie et contre-utopie Des apologues Texte 1 : Candide ou l’optimisme de Voltaire, 1759, Chapitre XVIII, L’Eldorado, « Ils entrèrent dans une maison fort simple … Il est certain qu’il faut voyager » - Texte 2 : Georges Perec, W ou le souvenir d’enfance, 1975 chapitre 12 « Il y aurait, là-bas, à l’autre bout du monde, une île (…) comment il a façonné au plus profond les relations sociales et