Mains Libres

J'ai également vérifié que la fenêtre de la chambre de Mr D. était fermée. LE SOIN : J'ai installé Mr M. en position confortable. J'ai approché le chariot de soin de manière à avoir mon matériel à portée de main. J'ai réalisé une friction de mes mains à l'aide d'une solution hydroalcoolique afin de les décontaminer avant d'enfiler une paire de gants non stériles. J'ai retiré le pansement du patient tout en lui demandant si je ne lui faisais pas mal (si cela avait été le cas, j'aurais procédé autrement

Texte A : Marivaux, L’île des esclaves, scène 1 et 2 (1725) Texte B : Jean Anouilh, Antigone (1944) Texte C : Jean-Paul Sartre, Les mains sales, 6ème tableau, scène 2 (1947) Texte D : Bernard-Marie Koltès, Le retour au désert (1988) Après avoir rapidement défini l’enjeu de l’affrontement dans chacune de ces scènes, vous direz laquelle vous paraît la plus intense. Vous justifierez votre choix. Notre corpus se compose de quatre scènes d’affrontement au théâtre entre deux protagonistes

les toilettes n Une attention particulière doit être apportée à l’accès à du papier de toilette, à des toilettes propres et à une possibilité de se laver et s’essuyer les mains. n Les toilettesdoivent être nettoyées régulièrement : désinfection de la planche ou du rebord 1x/jour (linge javellisé). n En cas de selles liquides, ne pas jeter de l’eau de Javel dans les toilettes, passer seulement un linge javellisé sur la planche (ou le rebord). En usage courant, un détartrant à base d’acide acétique

individuelle ou par regroupement de porteurs du même germe. • En pédiatrie, recourir à la chambre partagée (en respectant certaines conditions), si le nombre de chambres individuelles est insuffisant. • Pour raison médicale seulement; • se laver les mains au préalable et appliquer les autres mesures préventives en fonction du site infecté. • Pour raison médicale seulement; Circulation hors • le patient doit être accompagné et porter un masque chirurgical de la chambre • le patient doit

un fauteuil. Une petite pièce d'eau située à 2,50 mètre de son lit et se trouvant à l'entrée de la chambre, d'une superficie d'environ 2 m2 est équipée d'une table proche du lavabo, d'une armoire, d'un lavabo avec le nécessaire pour le lavage des mains, un support avec un sac DASRI (déchets d'activités de soins à risque infectieux) et de 2 sur-blouses en tissus suspendu à l'entrée de celle-ci pour tous les soins. Je vais chercher le thermomètre tympanique dans la salle de soin car une

Panaris chronique, Périonyxis, est habituellement traité avec des médicaments anti-fongiques comme le clotrimazole et le kétoconazole appliqués sur la peau. Autres mesures de prévention comprennent s'abstenant de se ronger les ongles, se laver les mains fréquemment, porter des gants en caoutchouc, et de contrôler le diabète. 

confirme que le lavage des mains n'est pas pratiqué aussi souvent qu'il le devrait. Deux articulations semblent se profiler pour que la problématique du lavage des mains n'en soit plus une au sein de l'accueil de jour. La première articulation consistera à informer à la fois sur l''importance du lavage des mains et sur la méthodologie pour pratiquer au mieux ce geste. La notion de vecteur de maladies sera abordée. La seconde consistera à proposer un lieu où se laver les mains accessible et adéquat

aide totale pour la toilette. Ainsi, dans cette situation j’ai réalisé avec l’aide-soignante qui m’a encadré, la toilette complète au lit de Madame U. Avant d’entrer dans la chambre de la résidente, moi et l’aide-soignante effectuons un lavage des mains au savon (d’une durée de 30 secondes). Nous préparons le matériel nécessaire pour la toilette : - Des gants latex, - Des gants jetables, - Un sac poubelle, - Deux serviettes de bain (une pour le haut du corps et une pour le bas du corps), -

accueillies l'aide soignante et moi même par Mme B son épouse qui nous décrit brièvement l'état de son époux ce matin. Puis, nous allons le rejoindre dans le salon, le saluons, nous lui demandons comment il va ce matin, je procède à un lavage des mains avec une solution hydroalcoolique et je prépare tout le matériel nécessaire pour sa toilette, une bassine, 2 gants de toilette (dont 1 retourné pour la toilette intime), 2 serviettes, le savon, ESCARINE® ( pour la prévention d'escarres), vêtement de

pose directement sur son champ stérile !! Elle procéde au retrait du tegaderm de la patiente (film plastique adhésif), elle jete à la poubelle puis met ses gants stériles sans se désinfecter les mains !! !   Les questions que je me pose sont :  sur l'aseptie :pourquoi n'à t elle pas effectuée un lavage des mains avant de mettre les gants stériles ???? Pourquoi a t elle posé la pipette d'eau stérile directement sur le champ stérile ??? Est ce un oubli ? Lui a ton appris comme ça ?? Ou est ce moi qui pense