Macro Environnement Danone

l'analyse. On peut donc parallèlement et/ou en complément, se demander si la RSE ne serait pas plutôt ou aussi - une exigence du marché. II. R.S.E. ET EXIGENCES DU MARCHÉ Cette hypothèse peut s'appuyer sur trois types d'arguments: 1. Une justification macro-économique, 2. Une justification micro-économique et 3. Une justification financière. La justification macroéconomique semble assez bien reflétée par certains travaux du World Business Council for Sustainable Development (WBCSD). Ainsi, dans son dernier

et opérations qui assurent la mise à disposition des acheteurs, qu’ils soient transformateurs ou consommateurs, des marchandises ou des services en leur facilitant le choix, l’acquisition et l’usage. De ce fait la distribution devient une activité macro-économique ayant ses entreprises spécialisées, ses circuits et ses institutions. Ainsi, la distribution constitue l’un des secteurs les plus importants de l’économie internationale. Elle constitue le canal principal entre le secteur productif et l’utilisateur

données comptables (charges par destination) charges par nature produits réalisés COUTS COMPLETS charges par activité Produits réalisés ou services rendus COUTS ABC COUTS CIBLE analyse de la valeur marché et clients environnement et cycle de vie COUT GLOBAL 10 Michel Leroy – Septembre 2010 - © - réalisé pour l’IMMD Roubaix LA METHODE DES COUTS COMPLETS Basées souvent sur des données comptables, les méthodes classiques se retrouvent sous la dénomination "comptabilité

elle-même, à ses forces et ses faiblesses, d’autre part à la lumière de données relatives aux opportunités et menaces nées de son environnement. L’importance d’une étude sectorielle préalable tient à ce que le profil d’évolution de la performance d’une entreprise résulte pour beaucoup de l’évolution de son activité, elle-même contingente des caractéristiques macro-économiques, par exemple le niveau des taux d’intérêt, et des spécificités sectorielles, par exemple le rythme de l’évolution technologique

mathématiciens, Claude Edwood Shannon et Norbert Wiener. Ce dernier, dans le cadre de la construction de la cybernétique [5], envisage l’information comme l’outil de l’adaptation incessante des systèmes organisés (biologiques, techniques ou sociaux) à leur environnement. Elle permet en somme l’ajustement avec la réalité. Par ricochet logique, de telles théories allaient directement à l’encontre de la conception classique que se faisaient de l’information les économistes formés aux thèses de l’équilibre walrassien

opportunités actuelles, mais également en termes d’obtention et de contrôle de nouvelles ressources, afin de saisir ou de développer des opportunités futures2. La stratégie d’une organisation est influencée non seulement par les forces de son environnement et par sa capacité stratégique, mais • • • 1 2 Voir G. Hamel et C.K. Prahalad (1995), La conquête du futur, InterEditions. Il convient également de souligner que l’allocation de ressources ne doit pas être remise en cause de manière

SUPÉRIEURE À LA DEMANDE. L’ÉCONOMIE DE RÉPARTITION A LAISSÉ LA PLACE À L’ÉCONOMIE DE MERCATIQUE : EXTENSION DE LA FONCTION COMMERCIALE DANS L’ENTREPRISE. ▪ L’ÉCONOMIE D’ADAPTATION (DEPUIS 1980) : L’ENTREPRISE DÉPEND DE PLUS EN PLUS DE SON ENVIRONNEMENT NATIONAL ET INTERNATIONAL, OR CELUI-CI CONNAÎT DES MUTATIONS TECHNOLOGIQUES SOCIALES, POLITIQUES DE PLUS EN PLUS IMPORTANTES ET RAPIDES. ▪ LES FONCTIONS COMMERCIALES ET HUMAINES : DEVIENNENT VITALES DANS L’ENTREPRISE : IL FAUT ADAPTER L’ENTREPRISE

d'une entreprise à une autre. On pourrait ainsi s'attendre à un développement de référentiels transversaux. Toujours dans le cadre d'une recherche d'un modèle de la compétence, on a pu présenter l'entreprise à deux niveaux, avec un premier niveau « macro » de compétences dans lequel on retrouverait les compétences organisationnelles et puis un second niveau « micro » de compétences dans lequel on retrouverait les compétences individuelles. Cette approche (Rouby et Thomas, revue française de gestion)

SUPÉRIEURE À LA DEMANDE. L’ÉCONOMIE DE RÉPARTITION A LAISSÉ LA PLACE À L’ÉCONOMIE DE MERCATIQUE : EXTENSION DE LA FONCTION COMMERCIALE DANS L’ENTREPRISE. ▪ L’ÉCONOMIE D’ADAPTATION (DEPUIS 1980) : L’ENTREPRISE DÉPEND DE PLUS EN PLUS DE SON ENVIRONNEMENT NATIONAL ET INTERNATIONAL, OR CELUI-CI CONNAÎT DES MUTATIONS TECHNOLOGIQUES SOCIALES, POLITIQUES DE PLUS EN PLUS IMPORTANTES ET RAPIDES. ▪ LES FONCTIONS COMMERCIALES ET HUMAINES : DEVIENNENT VITALES DANS L’ENTREPRISE : IL FAUT ADAPTER L’ENTREPRISE

offre supérieure à la demande. L’économie de répartition a laissé la place à l’économie de mercatique : extension de la fonction commerciale dans l’entreprise. L’économie d’adaptation (depuis 1980) : l’entreprise dépend de plus en plus de son environnement national et international, or celui-ci connaît des mutations technologiques sociales, politiques de plus en plus importantes et rapides. Les fonctions commerciales et humaines : deviennent vitales dans l’entreprise : il faut adapter l’entreprise