Machiavel Hobbes

vertu chrétienne. Saint-Thomas D’Aquin, pense que le pouvoir vient de dieu mais il laisse aux Hommes la possibilité d’organiser son exercice. Souveraineté divine des rois ( transmission divine du pouvoir qui est un fondement de l’ancien régime Machiavel (1469-1527) incarne le prince comme l’Etat. Bodin en 1576 affranchit le pouvoir de toute influence extérieure. « Ce qui caractérise l’Etat, c’est la souveraineté » « La souveraineté c’est donner ou casser la loi » L’Etat s’établie sur

sa description de la Guerre du Péloponnèse, a proposé la première analyse qui soit parvenue jusqu'à nous où un conflit est décrit de façon neutre[réf. nécessaire]. Thomas Hobbes pour sa vision de l'état de nature, qui est utilisé pour décrire les relations inter-étatiques, à savoir l'anarchie en l'absence de Léviathan. Machiavel, pour avoir séparé la politique de la morale et de la religion (Le Prince, Discours sur la première décade de Tite-Live). Postulats du réalisme [modifier] Les postulats fondateurs

mort de Louis XIV. - un cadre spatial En Europe, les principes de l'absolutisme sont nés de la Renaissance, avec la redécouverte du droit romain et l'idée du prince absolu. Des théoriciens comme l'italien Nicolas Machiavel (1469-1527), le français Jean Bodin (1530-1596), l'anglais Thomas Hobbes (1586-1619) sont animés par un souci commun: que l'ordre soit mieux assuré. L'absolutisme s'affirme dans toute l'Europe, dans l'Espagne de Philippe II (1556-1598), dans la France de François 1er (1515-1547), de

pour assouvrir la sécurité et la pérennité de sa vie. Bien que l’un n’empêche pas l’autre. Pour argumenter au mieux les motivations naturelles de l’homme lors de ces belles actions, un exemple s’impose. Dans son oeuvre maîtresse, le Léviathan, Hobbes, un grand philosophe anglais, du Moyen Âge, expose une théorie du pouvoir absolu. L’exemple le plus propice à notre débat, se trouve dans la 1ère partie du chapitre XIII, cela porte sur l’état de la guerre. Dans cette partie, il fait référence

entre les hommes, garantir une liberté au sein de la société par l’intermédiaire d’un contrat, pacte (pacte sociale qui fait que les hommes décident d’organiser dans une communauté politique et de s’organiser dans un gouvernement commun). Thomas Hobbes : dans la nature règne la loi la plus forte. L’homme est un loup pour l’homme. Cette contrainte permet la paix sociale, la paix sociale n’existe pas dans l’Etat nature. L’homme par le pacte social renonce la liberté individuelle pour avoir la sécurité

considèrent la guerre comme un phénomène naturel voit en l’Etat un protecteur : si le peuple accepte initialement de se soumettre à l’autorité, c’est contre la promesse de la paix, contre la protection légale de ses droits. Parmi eux, on retrouve Thomas Hobbes et son célèbre postulat anthropologique : « l’homme est un loup pour l’homme. » L’état de nature est un état de guerre perpétuelle et l’instinct de conservation commande aux hommes de s’associer pour échapper à l’anarchie. L’Etat est chargé de la

qu'à cette époque, il fréquente l'école du libertin Franciscus van den Enden (peut-être dès son ouverture en 1652), où il apprend le latin, découvre l'Antiquité (notamment Terence) et les grands penseurs des XVIe et XVIIe siècles, comme Hobbes, Bacon, Grotius, Machiavel. Il côtoie des hétérodoxes de toutes confessions (notamment des collégiants comme Serrarius, des érudits lecteurs de Descartes, dont la philosophie exerce sur lui une influence profonde). Il est probable qu'il professe dès cette époque

intéressante : finalement, au fond de nous-mêmes, sommes-nous égoïstes ou altruistes ? Les penseurs se séparent à ce sujet. Pour certains, les hommes vivent ensembles par pur intérêt. Ce sont les tenants de l’égoïsme naturel des humains, comme Thomas Hobbes, pour qui « l’homme est un loup pour l’homme ». Il ajoute également que l'homme est social non par nature, mais par accident. [] L’état de nature, c’est l’état de la « guerre de tous contre tous ». Et même à l’état social, où pourtant existent des

d’attribuer ou de retirer la souveraineté. Thomas Hobbes, dans Le Léviathan, a également développé le concept de souveraineté. Pour lui, l’Etat détient un pouvoir absolu, qui découle du contrat que les individus ont acceptés de passer en échange de la paix civile. Pour Hobbes, le droit du souverain est alors illimité car chaque individu qui est partie au contrat était dépositaire d’un droit qui était lui-même illimité. Cela signifie que Hobbes tout comme Jean Bodin, est partisan d’une souveraineté

L’impact du contrat social sur les libertés fondamentales se justifie et se confirme par Hobbes, Locke mais aussi par Jean Jacques Rousseau. Ayant précédé John Locke , et Jean Jacques Rousseau , Thomas hobbes dans la lignée de Machiavel estime que toute philosophie politique doit être fondée sur la vraie nature de l’homme, lequel est fonciérement égoïste et méchant. Dans son ouvrage Léviathan (1651) , Hobbes essaie de prouver que la vie en société n’a rien de naturelle. Si les hommes acceptent de