Macbeth Tyran

Obsèques de la lionne : Comment L.F. si prend t-il pour arriver à ses fins ? Intro : La Fontaine et un auteur du XVIIème siècle , il est essentiellement connus pour ses fables. Ici cette fable est extraite du deuxième recueil des Fables ( initialement dédiées au Dauphin alors agé en 1668 de 7 ans ). La Fontaine cherche a critiquer les courtisans et le roi pour cela, il mêle dans cette fable un coté plaisant et un coté satirique. Pour répondre a la question : Comment L.F. si prend t-il pour arriver

les Revenus, est consacré aux affaires d'Athènes, de même que la Constitution de Sparte, apologie sans réserve de l'État lacédémonien, donne l'exemple de la cité qu'il juge accomplie. Par ailleurs, l'entretien entre le poète Simonide et le célèbre tyran de Syracuse (Hiéron) montre que toute autorité peut être bienfaisante : les considérations sur le pouvoir absolu ont de la finesse. Deux autres traités, De l'Équitation et l'Hipparque, révèlent encore ce goût d'enseigner, s'il est vrai que, pour Xénophon

que le peuple est l’enjeu de la politique du Napoléon. La révolte de la grand-mère montre aux gens qu’ils sont trompés. Hugo par le personnage de l’aïeule veut montrer que Louis Napoléon n’a rien à voir avec la politique de démocratie. Il est un tyran et avant tout un usurpateur. Ce registre montre bien que l’auteur s’oppose à la tyrannie liée au désir du pouvoir. Il insiste sur l’innocence de l’enfant pour protester et pour se révolter contre la politique brutale du prince.

PLAN CYRANO DE BERGERAC, Extrait de Les Etats et Empires du soleil (1652-1662) Au 17ème, dans les salons mondains, possibilité de vie sur d’autres planètes. I-Un monde imaginaire et burlesque : a) Un monde imaginaire fantaisiste : - Lieu : le soleil, les habitants civilisés : les oiseaux. - La pie est supérieure à l’homme, c’est elle qui lui donne une leçon (homme inférieur), il est ignorant du monde des oiseaux, il croit que l’aigle=roi. b) Univers burlesque (=critères inversés):

On appelle tyran le souverain qui ne connaît de lois que son caprice, qui prend le bien de ses sujets, et qui ensuite les enrôle pour aller prendre celui de ses voisins. Il n’y a point de ces tyrans-là en Europe. On distingue la tyrannie d’un seul et celle de plusieurs. Cette tyrannie de plusieurs serait celle d’un corps qui envahirait les droits des autres corps, et qui exercerait le despotisme à la faveur des lois corrompues par lui. Il n’y a pas non plus de cette espèce de tyrans en Europe.

La morale daristote http://remacle.org/bloodwolf/philosophes/Aristote/morale8.htm   | La nature de l'amitié | 1. L’amitié. – Sa nécessité. |   L'amitié est ce qu'il y a de plus nécessaire pour vivre, quels que soient l'âge et la condition; elle est le lien des cités et paraît à ce titre aux législateurs plus précieuse que la justice. | | 2. Les diverses théories sur la nature de l’amitié. |   L'amitié est commandée par le bien, l'agréable et l'utile. Elle est faite d'une bienveillance

l’autorité obtenu par la force avec le champ lexical de la violence « violence » l.8, « la force » l.8, « les plus fort » l.13, « soumis » l.19. Pour Diderot cette autorité est digne de tyrannie « tyran » l.20, on a également un rapport de force l.12 « celui qui commande » / « ceux qui obéissent » antithèse. - « tyran » devient « prince » l.20 Diderot qualifie cette autorité de légitime par le « consentement du peuple » l.21 II – un raisonnement rigoureux A) La vérité générale : « Aucun homme n’a

grecs = pas tout le monde, mais l’ensemble des citoyens (en sont exclus les femmes, les enfants, | |les esclaves, les métèques). Pourtant la dénonciation platonicienne de la démocratie est dénonciation du peuple, qui est capable du | |pire, et tyran en puissance. C’est qu’il ne prend pas le terme de " peuple " en son sens positif. Quand on parle de "peuple", il faut | |savoir distinguer entre la foule et le grand nombre (plèthos) et le peuple proprement dit (dèmos). Depuis Homère, le terme

chez les grecs = pas tout le monde, mais l’ensemble des citoyens (en sont exclus les femmes, les enfants, les esclaves, les métèques). Pourtant la dénonciation platonicienne de la démocratie est dénonciation du peuple, qui est capable du pire, et tyran en puissance. C’est qu’il ne prend pas le terme de " peuple " en son sens positif. Quand on parle de "peuple", il faut savoir distinguer entre la foule et le grand nombre (plèthos) et le peuple proprement dit (dèmos). Depuis Homère, le terme " plèthos

servitude volontaire, sur la base du constat que le nombre est, pour les peuples soumis à la tyrannie, synonyme de faiblesse : « Comment […] peut[-il] se faire que tant d’hommes, tant de bourgs, tant de villes, tant de nations endurent quelquefois un tyran seul, qui n’a puissance que celle qu’ils lui donnent, qui n’a pouvoir de leur nuire sinon tant qu’ils ont vouloir de l’endurer, qui ne saurait leur faire mal aucun sinon lorsqu’ils aiment mieux le souffrir que le contredire. Grande chose, certes, et