Mac Mahon Décembre 1877

: Adoption de la Constitution de l'An III (5 fructidor an III) 1799 (ans VII-VIII) 9 novembre : Coup d'Etat de Bonaparte (18 brumaire an VIII) 13 décembre : Constitution de l'an VIII (22 frimaire) CONSULAT (1799-1804) ET PREMIER EMPIRE (1804-1814) 12 mai 1802 : Napoléon Ier consul à vie 21 mars 1804 : Promulgation du Code civil. 2 décembre 1804 : sacre de Napoléon Ier 11 avril 1814 : Première abdication de Napoléon. Mars_juin 1815 les Cent Jours 18 juin 1815 : Défaite de Waterloo.

immédiate du Président est dissoute et le suffrage universel, qu'elle avait voulu limiter, est rétabli. Les réactions plus vives en Province sont vite réprimées et le Coup d'État du 2 décembre 1851 est approuvé par plébiscite (Victor Hugo part en exil). Le Second Empire, approuvé aussi par un plébiscite, est proclamé le 2 décembre 1852. • Le Second EmpireLa période autoritaire. L'empereur qui tient son pouvoir du peuple et qui le consulte par plébiscite, a tout le pouvoir exécutif et a seul l'initiative

démissionner. Pourtant cet échec n’empêche pas les républicains de reporter toutes les élections partielles. C’est le maréchal de Mac Mahon qui prend la suite de Thiers à la présidence de la République. La différence est de taille, car Thiers était à la fois chef de l’Etat et chef du gouvernement, et dirigeait l’action des ministres. Suite à la désignation de Mac Mahon, l’exécutif devient bicéphale : le vice-président du Conseil dirige la politique nationale et est responsable devant l’Assemblée.

crise du 16 mai 1877. Celle-ci a opposé le président de la République de l'époque, Mac Mahon, un monarchiste, à la Chambre des députés élue en 1876, à majorité républicaine, et à l'une de ses grandes figures, Léon Gambetta, un républicain convaincu. Cette crise s'est enclenchée lorsque le président a nommé un chef de gouvernement conforme à ses vues politiques, qui étaient opposées à celles du parlement. La dite crise n'a trouvé de fin que le 13 décembre 1877, lorsque Mac Mahon a reconnu sa défaite

fois lors de la crise du 16 mai 1877. En effet le président de la République, Mac Mahon, reproche au président du conseil, Jules Simon, son manque de fermeté, qui obligea ce dernier à démissionner, se sentant désavoué. Le président Mac Mahon nomme alors le Duc de Broglie président de conseil formant un ministère de droite, seulement Léon Gambetta président du Sénat fait voter une motion refusant la confiance au gouvernement du Duc de Broglie. De ce fait, Mac Mahon ajourne les chambres par décret

régime parlementaire. Le message transmis est celui de Jules Grévy, successeur de Mac Mahon qui a démissionné ne trouvant plus d’appui politique au sein du Sénat. Jules Grévy est élu président de la république le 30 Javier 1879. Le peuple en le désignant cherche à mettre à la tête du pouvoir exécutif une personnalité effacée qui n’ira pas à l’encontre de la volonté nationale contrairement à ce qu’avait fait Mac Mahon en dissolvant l’assemblée. Jules Grévy a un long passé dans la vie politique bien

s'imposer. L'exécutif est rapidement mis dans l'impossibilité d'être autre chose que l'instrument de l'Assemblée. Thiers, désavoué, démissione le 24 mai 1873. Après la chute de Thiers et l'échec d'une tentative de restauration de la monarchie, Mac-Mahon est élu Président de la République. Cette présidence renforce à nouveau l'exécutif. La loi du 20 novembre 1873 lui confie le pouvoir exécutif pour 7 ans. L'exécutif est toujours provisoire mais il bénéficie désormais d'un mandat dont la durée est

qui exerça sa fonction de président de la république sous la troisième république. Il exerce son premier mandat à compter du 30 janvier 1879 et le second à compter du 28 décembre 1885. La troisième république est instaurée par les lois constitutionnelles de 1875. Jules Grévy est le successeur du président de la république Mac Mahon. La constitution se définit comme un acte juridique élaborée par une autorité spéciale, qui, au plus haut degré de la hiérarchie des actes juridiques règle la dévolution

République en décembre 1848. En mai 1849, l'Assemblée nationale est élue. Elle est a majorité conservatrice. Cette nouvelle assemblée décide des mesures qui font reculer les lois de 1848. Par exemple: le suffrage universel masculin est limité aux personnes ayant résidé au moins 3 ans dans un même lieu en 1850 donc environ 3 millions de français ne peuvent plus voter. Louis-Napoléon ne peut pas se représenter aux élections. Il s'éloigne des royalistes et fait un coup d'Etat le 2 décembre 1851 et dissout

suite à la « crise dite du 16 mai » 1877, elle est dans le texte comparé à la crise de 1830, « équivaut au conflit de 1830 », car elles ont toutes deux une grande « importance constitutionnelle ». À ce moment Mac Mahon est président de la République, lui et son Parlement font face à de nombreux problèmes politiques qui ont eux-mêmes engendrés plusieurs dissolutions et censure du Gouvernement. Cette crise oppose encore une fois les monarchistes comme Mac Mahon et les républicains avec la Chambre des