Mac Mahon Décembre 1877

est le gouvernement légal du pays. » Les droites s’unissent autour d’Albert de Broglie contre Thiers et le 24 mai 1873 une interpellation est adoptée par 360 voix contre 344. Thiers démissionne. La majorité royaliste le remplace par le Maréchal de Mac-Mahon, désigné par 390 voix sur 721 présents, compte tenu de l’abstention de toute la gauche ; il s’agit de préparer le rétablissement de la monarchie. Le Comte de Chambord, petit-fils de Charles X, qui aurait pu régner sous le nom d’Henri V, refuse dans

(Lamartine) Or, Lamartine est écrasé par Louis-Napoléon Bonaparte. L’inéluctable conflit constitutionnel et le coup d’État[modifier | modifier le code] La mise en application de la Constitution allait vite révéler sa fragilité. Novembre 1848 - décembre 1851 (date du coup d’État) : la période repose sur un nom : Bonaparte. Celui-ci exploite un atout : il est le neveu du Grand Napoléon Ier et il sait utiliser au mieux la légende impériale, demeurée vivace dans les esprits. Trois ans plus tard, Louis-Napoléon

SU (masculin) Février : IIème République; majorité républicaine modérée mais rapidement débordée, rejetée Élection présidentielle (décembre): L.N.B. Élu Président non républicain 1849: Élections législatives à majorité monarchiste. {text:soft-page-break} 1851 coup d'État de L.N.B. (2 décembre) 1852 Second Empire (L.N.B. Devient Napoléon III): changements économiques, augmentation de la bourgeoisie et de la classe moyenne qui devient

partir de 1809, la mention REPUBLIQUE FRANCAISE fut remplacée par EMPIRE FRANCAIS. Deuxième République (24 février 1848 - 2 décembre 1852) La Deuxième République, aussi appelée Seconde République[1], est le régime politique de la France du 24 février 1848, date de la proclamation provisoire de la République à Paris, jusqu'au sacre de Louis-Napoléon Bonaparte le 2 décembre 1852, sacre amorcé - jour pour jour l'année précédente - par un coup d'État. Elle fait suite à la Monarchie de Juillet et est

présidentielle et une élection législative. Or le président ne peut briguer un second mandat. Et les conservateurs craignent l’émergence d’une majorité démocrate-socialiste. Louis-Napoléon réalise un coup d’État le 2 décembre 1851 et se fait désigner en tant qu’empereur en décembre 1852, sous le nom de Napoléon III. Napoléon III (1852-1870) 3 périodes durant son règne: L’Empire autoritaire(1852-1860) L’Empire libéral (1860-1868) L’Empire parlementaire(1868-1870) 1.2.2. L’Empire autoritaire (1852-1860)

Napoléon élu par une large majorité de français et l'Assembler législative en majorité monarchiste ne prirent fin que par le coup d'État bonapartiste du 2 décembre 1851. B) le retour à une dictature napoléonienne Cette nouvelle expérience institutionnelle ne nous retiendra guère. Il faut savoir seulement que par un plébiscite de décembre 1851, le Président obtient de transformer la République présidentielle en République autoritaire. Une nouvelle Constitution fut élaborée: celle du 14 janvier

créent donc des conditions favorables à la transformation du régime présidentiel en régime parlementaire. La forte légitimité du président et les maladresses des députés favorisent la réussite du coup d’Etat commis par Louis Napoléon Bonaparte le 2 décembre 1851, mettant fin à cette république. B. Le régime parlementaire 1) La Charte constitutionnelle du 4 juin 1814 : les débuts du régime parlementaire sous la Restauration Cette Charte prévoit les structures nécessaires au fonctionnement d’un régime

pratique. Or la procédure de révision de la Constitution était extremement souple. (ex crise boulangiste : le revisionnisme était une composante importante du mouvement) La crise du 16 mai 1877 et le triomphe de la Republique parlementaire Elections de 1876 : Très large majorité de républicains à l’Assemblée . Mac-Mahon nomme d’abord un orléaniste (Dufaure) au pouvoir, qui doit se retirer devant l’hostilité de la majorité républicaine. Il est remplacé par Jules Simon un républicain modéré. On s’oriente

Gustave Courbet Gustave Courbet né le 10 juin 1819 à Ornans, près de Besançon et meurt le 31 décembre 1877 à La Tour-de-Peilz en Suisse . C'est un peintre français du xixe siècle, et celui qui va crée le réaliste. Biographie : Gustave Courbet est issu d’une famille aisée . A l'âge de douze ans, il entre au petit séminaire d’Ornans où il reçoit un premier enseignement artistique . Ensuite, il entre au collège royal de Besançon où, dans la classe des beaux-arts, il suit des cours de dessin

l’intronisation de la reine Victoria. Elle va jouer un rôle un peu plus discret que ses prédécesseurs. Fin du régime dualiste. En France, on considère que la fin du régime dualiste prend fin avec la C° Grévy en 1877. Grévy vient d’être élu président de la république par le parlement. Il remplace Mac-Mahon qui a été démissionné. Grévy : je n’entrerais jamais en conflit avec le parlement. Ce message signifie la fin du régime dualiste. Il ne procèdera pas à la dissolution. Le régime parlementaire moniste