Mac Mahon 16 Mai 1877

donc très fâcheuse et la France non gouverné. Quels sont les causses de cette instabilité ? Parmi les nombreux phénomène qui la justifie, on doit incontestablement placé la disgrâce dans laquelle la dissolution était tombé à la suite de la crise de 1877. Les parlementaires pouvaient sans risque réel renversé les gouvernements. Il n'existait plus de riposte possible de l'exécutif et l'équilibre des moyens de pression réciproque, d'un des pouvoirs sur l'autre était rompu, mais a cette causse majeure

exécutif bonapartiste, et une assemblée monarchiste, les monarchistes lorsqu’ils sont au pouvoir ont toujours l’espoir de remettre au pouvoir un monarque, ils vont s’opposer, mais les monarchistes sentent un élan républicain qui remonte. Dans la loi du 31 mai 1850, il faudra être domicilier dans la commune depuis 3 ans, alors que celle de 1849 il fallait être domicilier depuis 6 mois, les monarchistes essayent de contrôler l’électorat, Bonaparte s’oppose à cette loi il demande d’abroger cette loi, l’assemblée

poursuite du combat, mais également à Gambetta dont le discours musclé effraie et rappelle l'époque redoutée de la Terreur. Thiers devient, suite aux élections, chef du pouvoir exécutif et entame le processus de paix, qui aboutit au traité de Francfort, en mai 1871. Cependant, la France ne ressort pas de la crise. Il faut d'abord noter que le traité impose l'occupation d'une partie du territoire, cinq milliards de dette de guerre ainsi que, et surtout, la perte de l'Alsace et de la Moselle, territoires

démocratie B – Volonté du restauration monarchique- républicains divisés (démocrates, libéraux) mais ts d'accord sur lib pub = parti rép deviens PARTI DEMOCRATE- Thiers tente république démocratique MAIS Assemblée monarchique → démissionne- 23 mai 1873 = Mac Mahon (légitimiste & ultramontain) → Président de la R → République des Ducs (inégalité entre classes, dominat° aristocratie & noblesse (inverse démo), mise en place politique visant éradiquer tout ce qui pourrait favoriser la démocratie

nationale, canons…) Commune o Opposition entre Versaillais et Communards : guerre civile acharnée o Violente répression semaine sanglante (21-28 mai 1871) o Commune = contestation du régime par un gouvernement populaire (tradition révolutionnaire) - Politique conservatrice de Thiers mais heurts avec l’assemblée monarchiste démission en mai 1873 - Mac Mahon élu (par les députés et les sénateurs) ordre moral, possible restauration - Contrastes politiques très marquées (monarchistes, républicains)

divisés entre une gauche modérée et une gauche radicale, refusaient quant à eux que l'Assemblée soit constituante, car l'Assemblée était majoritairement monarchiste. L'Assemblée se consacre essentiellement à la paix et signe le traité de Francfort du 10 mai 1871, qui entraîne notamment la perte de l'Alsace-Moselle. De plus, il y a eu quatre lois constitutionnelles provisoires avant celles de 1875. La « Constitution Rivet » ou loi du 31 août 1871 avait pour objet de diminuer l'influence de Thiers sur l'Assemblée

nécessaires pour établir les lois constitutionnelles 1875 : République ( --> 1940 avec Etat français de Pétain) Pendant ce temps : reconstruction de la France / tentative de restauration monarchique : démission de Thiers en 1873, remplacé par Mac Mahon (royaliste) : sa tentative de restauration échoue car hésitation entre descendant orléaniste (libéraux) et légitimiste qui remporte la faveur mais trop traditionaliste = abandon du coup d’Etat monarchiste Z ! mot de « république » jamais cité dans

en puissance de la Chambre des députés vers un effacement du droit de dissolution. 1. La crise du 16 mai 1877. Alors que le maréchal de Mac Mahon est un Président de la République monarchiste, il faut après l’adoption des lois constitutionnelles de 1875 procéder à l’élection des Assemblées. Le Sénat sera ainsi monarchiste également, tandis que la Chambre des députés sera républicaine. Mac Mahon désignera Jules Simon comme Chef du gouvernement, mais celui-ci finis par démissionner. Le Duc de Breuil

à la suite de la défaite face à la Prusse, l’Assemblée nationale fait d’Adolphe Thiers le chef du pouvoir exécutif de la République française le 17 février 1871. Il se charge de finaliser la fin de la guerre avec Bismarck (traité de Francfort du 10 mai 1871) et de réprimer dans le sang l’insurrection des Parisiens qui proclame la Commune. Le 31 août 1871, Thiers obtient le titre de président de la République qui, à ce moment-là, lui permet de cumuler les fonctions de chef de l’État et chef du gouvernement

ne doivent pas être concentrés entre les mains d'un seul homme, mais doivent être réparti entre plusieurs organes. A la suite de Locke et Montesquieu, le principe va être repris par les révolutionnaires américains et français au 18ème siècle. Art 16 de la DDHC (1789) énonce que " toute société dans laquelle la garantie des droits n'est pas assuré, ni la séparation des pouvoirs déterminés, n'a point de Constitution" Les révolutionnaires inscrivent dans la DDHC le principe de la séparation des pouvoirs