Lyrisme Chez Maurice Scève

imprégner d’un lyrisme personnel. Il fait l’éloge de la beauté physique et de la perfection morale de quelques personnages féminins, devenus célèbres grâce à la puissance évocatrice de ses images : Cassandre, Marie, Hélène. Recueils lyriques principaux : Odes (1550-1552), les Amours de Cassandre (1552), Les Amours de Marie (1555), Sonnets pour Hélène (1578). Le poète Joachim du Bellay (1522-1560), auteur du manifeste Défense et Illustration de la langue française, fait preuve d’un lyrisme profond et

Textes complémentaires : Saint-John Perse, Allocution au banquet Nobel, 1960 Baudelaire : extraits des Fleurs du mal (La quête baudelairienne), 1866 Corpus : - la poésie engagée (Hugo, Eluard, Aragon, ccccccccccCésaire) - le lyrisme (Musset, Nerval, Baudelaire, cccccccc Eluard, Aragon) - la quête de l’Inconnu et l’interrogation vvvv sur le langage (Rimbaud, Mallarmé, vv cccccccvDesnos, Queneau, Ponge),

|ccccccccccCésaire) | | | |- le lyrisme (Musset, Nerval, Baudelaire, cccccccc Eluard, Aragon) | | | |- la quête de l’Inconnu et

partir du milieu du XIIe siècle, le lyrisme courtois s'implante aussi dans le nord de la France.  Cette avancée géographique est un passage de la langue d'oc à la langue d'oïl, et ne va pas sans quelques transformations. Les poètes que l'on nomme trouvères (transposition de troubadour) adaptent en langue d'oïl les structures formelles et les motifs de la canso. Ils adoptent un style plus simple, d'allure plus populaire, et font évoluer la poésie vers un lyrisme non courtois, découvrant de nouvelles

correspondent donc aux troubadours (= celui qui interprète). On va retrouver chez eux la rhétorique, la fin’amor. Chez les trouvers du nord, le service de la dame est beaucoup plus exigeant et a une connotation religieuse. On encourage l’accomplissement des croisades et la lutte contre les fidèles. Il y a une recherche de la recette pour faire durer l’amour. Alors que chez les troubadours on trouve une relation différée, chez les trouvers nous avons affaire à une relation purement platonique. Jaufré

acteurs. · Objectif de la tragédie = représenter la réalité à travers des situations extrêmes (crimes de sang, incestes…) et créer un sentiment de terreur chez le spectateur pour qu’il ne reproduise pas ce qu’il voit : · Purger les spectateurs de leurs passions et de leurs pulsions = catharsisMise en scène :· Tragédie à adaptations de mythes ou de

d’un monde en changement, en ouverture et qui se cherche. Ces styles vont s’appliquer entre autres aux domaines des sciences. Parmi ces poètes, on trouve Jean Antoine de Baïf qui fait partie du noyau dur de la pléiade, Jacques Peletier du Mans et Maurice Scève issus de l’école lyonnaise, Rémy Belleau venu du collège de Boncourt ou enfin le très baroque Guillaume de Salluste du Bartas. Cette poésie pétrie de christianisme et de mythologie antique décrit la nature parfois de façon syncrétique. D’autres

Méditations, Lamartine pense intituler son recueil « élégies ». Il veut sans doute se distinguer des élégiaques de son siècle en choisissant le tire Méditations, sans doute aussi veut-il insister sur le contenu philosophique et religieux de son œuvre. Chez Hugo, c’est la mort tragique de sa fille Léopoldine et de son gendre qui vont alimenter sa veine élégiaque la plus profonde (cf. les Contemplations). Mallarmé et Verlaine vont faire également des tentatives élégiaques. Verlaine pratique l’élégie

 = : &  +! &  +!   +   " H  H  " Euvres de Louize Labé, Lionnoize, édition originale de 1555, publiée chez Ian de Tournes. Fonds Ancien de la Bibliothèque Municipale de Lyon (rés. 335 915). Euvres de Louize Labé, Lionnoize, revues et corrigees par ladite dame, édition de 1556, publiée chez Ian de Tournes. Fonds Ancien de la Bibliothèque Municipale de Lyon (rés. 335 916). Evvres de Loyse Labé Lionnoise, Rouen, Jan GAROU, 1556. Histoire et amours

une voyelle, le [e] muet s’élide, c’est-à-dire que la voyelle finale d’un mot est remplacée par une apostrophe devant une autre voyelle comme pour le homme = l’homme ou la âme = l’âme. Ainsi le vers : « et sur la nuit tacite et sommeillante (Maurice Scève, Délie, 1544) » est un vers de 10 syllabes car il se découpera et se prononcera : Exemple : 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 Et sur la nuit ta ci t’et som meil lant(e) Le [e] de tacite ne se prononce pas mais s’associe au son [é] du