Lyrisme Chez Maurice Scève

Fiche pédagogique Le parti pris des choses de Francis Ponge SOMMAIRE Introduction Fiche 1 › Le parti pris des choses : un objet poétique d’un genre nouveau Fiche 2 › Les choses et les mots Fiche 3 › La fin du lyrisme ? p. 1 p. 2 p. 7 p. 10 Fiche pédagogique conçue et réalisée par Hélène Bernard, certifiée de lettres modernes, professeur de français dans un lycée de la région parisienne. Elle est l’auteur de nombreuses fiches pédagogiques, notamment celle sur Un barrage contre

Poséidon. C'est à ce dynamisme même des évènements sacrés que perçoit le poète grec. Une caractéristique qui mérite d'être notée au passage, est qu'on ne trouve que rarement, chez les poètes de la Grèce antique cet ethnocentrisme aussi bien dans le langage courant que dans la culture comme cela est souvent le cas (le germe) chez la plupart des prosateurs. Il n'en n'est pourtant pas toujours le cas si l'on considère Platon, dans le "Timéee", qui n'hésite pas à faire une place importante aux traditions

pédagogiques, notamment celle sur Un barrage contre le Pacifique de Marguerite Duras. de Francis Ponge Introduction p. 1 Fiche 1 › Le parti pris des choses : un objet p. 2 poétique d’un genre nouveau Fiche 2 › Les choses et les mots p. 7 Fiche 3 › La fin du lyrisme ? p. 10 SOMMAIRE Le dossier propose de combiner en neuf séances l’analyse du livre Le parti pris des choses et une approche plus globale de ce vaste objet d’étude inscrit au programme de 1ère qu’est la poésie. Pour cela, les élèves sont invités à

d’une poésie simple Au vocabulaire correct mais usuel Aux lignes rythmiques discrètes Il préfigure l’esthétique classique L’« École lyonnaise » est le nom que l’on a donné à un groupe de poètes qui forment un cénacle de beaux esprits : Maurice de Scève, Louise Labé, Pernette du Guillet, Olivier de Magny Ils ne forment pas une école à proprement parler (ils n’ont pas de doctrine commune) mais un milieu culturel qui se caractérise par son ouverture d’esprit : ils apprécient tout ce qui enrichit

d'importantes fonctions à la cour de france : il fut messager royal, huissier d'armes de Charles V, écuyer du Dauphin, bailli de Senlis, maître des eaux et forêts à Villers-Cotterêts et générale des finances. Il est sourtout un grand poète français du lyrisme bourgeois. Mon avis personnel: J'ai choisi ce poème car j'aime la ville de Paris. Dans le poème, Deschamps exprime bien par des procédés la grandeur de Paris. J'aime Paris mais je ne viverais pas à Paris car je préfère quand même vivre près de

| |I, VIII et IX | 2. Le métier poétique.   Les manifestes poétiques abondent chez les membres de la Pléiade. Ce souci de codification répond à l'anarchie des formes et des genres du Moyen Age, mais correspond aussi à la volonté de définir une place nouvelle pour le poète.  Loin du courtisan, familier des fêtes et des récréations

sûrement ni lire ni écrire  Il allait encore à l’école et satisfaisait ses maîtres : « ses maîtres, il allait en classe, étaient contents » v 28  Sa mère était morte : « je n’avais plus de sa mère que lui » v 44 Il vivait donc sûrement chez sa grand-mère 3) Les autres personnages PAS DE PRENOMS  Ils sont présents mais ne parlent pas  Pas beaucoup de renseignements  Un homme finit par prendre la parole : c’est Victor Hugo ! II/ Dénonciation 1) Mort d’un innocent  C’est un enfant

imitateurs : Marot, Du Bellay, les poètes de la Pléiade mais surtout dans la première moitié du XVIème siècle : l'Ecole Lyonnaise. Lyon abritait alors un groupe de poètes brillants (oeuvres marquées par la subtilité des sentiments). On retiendra : Maurice Scève, Olivier de Magny, et deux femmes : Louise Labé et Pernette de Guillet. De la Brigade à la Pléiade : A Paris, étudiants en langue et civilisation gréco-latines auprès de l'humaniste Jean Dorat, Joachim Du Bellay et Pierre de Ronsard fondent

France le sonnet, forme moderne héritée de l’italien Pétrarque (XIVe siècle). Il y a deux écoles poétiques au XVIe siècle : - L’Ecole lyonnaise (1530) : au début du XVIe se développe, à Lyon, un actif foyer de poésie se regroupe autour de Maurice Scève. La poésie y est essentiellement féminine, avec Louise Labé et Pernette du Guillet. La poésie de Louise Labé, inspirée par Pétrarque, évoque principalement - La Pléiade (née en 1549) , est un groupe de sept poètes, dont . Le nom « Pléiade

femme (qui n’existait pas chez Platon) et l’amour telle qu’elle était idéalisée par Platon « amour platonique » (beauté de la femme absolue : divine) Les étapes de la Renaissance des lettres. La Renaissance, c’est au début un énorme appétit de savoir et un optimisme sans bornes. Pour Rabelais, il suffit de libérer le corps et l’esprit des contraintes du Moyen Age, en faisant confiance à la nature, pour que luise l’aurore d’un progrès illimité. Le gigantisme prend chez lui une valeur symbolique :