Luther Rupture Religieuse

important de savoir ce qu’est véritablement une secte. D’après le dictionnaire Larousse, une secte est un ensemble de personnes professant une même doctrine philosophique, religieuse, etc. Selon d’autres sources, une secte peut aussi être un groupement religieux clos sur lui-même et créé en opposition à des idées et des pratiques religieuses dominantes. Les sectes sont souvent nées de la contestation d’une institution ecclésiastique jugée laxiste ou infidèle par rapport à ce que ces dernières considèrent

ont permis l’unification de l’Europe et dans une 2ème partie nous verrons en quoi l’Europe s’est désunie face au partage de l’empire. I. L'empire européen de Charlemagne : des réformes d'unification Il y a tout d’abord une réforme religieuse. Le catholicisme devient la norme, Charlemagne est d’ailleurs sacré empereur. Il y a aussi une réforme de l’écriture qui devient universelle et est enseignée dans les écoles. Pour la réforme de l’écriture Charlemagne va s’entourer de tout un

permis de sauvegarder l'intégrité territoriale des premiers rois capétiens. La loi de masculinité a été confronté à des crises après 1314 du à l'absence d'héritier mal. II) Le principe de collatéralité A la mort de Louis X le Hutin, il y a une rupture de l'hérédité en ligne directe. Il ne laisse pas de fils mais une fille Jeanne et la reine enceinte. Il a deux frères à ses côté Philippe et Charles. La question étant de savoir qui va détenir le pouvoir ? C'est Philippe qui prend le pouvoir en attendant

Moyen Âge et la Renaissance : vie, mort et résurgence d’une civilisation I. La renaissance au Moyen Âge : Pour certains critiques et historiens, la relation entre le Moyen Âge et la Renaissance ne doit en aucun cas être appréhendée en termes de rupture. D’ailleurs, certains parlent même « d’humanisme médiéval », enrichi par les efforts considérables des clercs et le travail entrepris à partir du XIIe siècle. Au XIIIe siècle, à l’effort et à l’apport des clercs viennent s’ajouter des préoccupations

déraper vers le relativisme. 5 étapes de la constitution des sciences économiques et sociales. 1. La « préhistoire » des sciences sociales (avant le XVIIIe) 2. Les précurseurs (XVIII-XIX) 3. Les fondateurs (fin XIXe – début XXe) 4. Le moment de rupture avec la tradition théorique initiale 5. Les débats contemporains Bibliographie  En sociologie : Cuin et Guesle (Repères, La découverte) Delas et Milly (Armand Colin) – Histoire des pensées sociologiques En économie : Valier (Champs, Flammarion)

Les lectures courtoise et bourgeoise font leur apparition : lectures du temps libre et des loisirs. Ces types de lecteurs ( bourgeois, universitaires, juristes, marchands donc laï cs) ne sont plus satisfaits des lectures traditionnellement religieuses, écrites en langue sacrée. Ils s’intéressent à des ouvrages de contenus différents, comme les romans de chevalerie. De plus, le nombre d’étudiants croissant provoque une demande accrue en ouvrage. Les laï cs s’emparent de la production au détriment

XVIème siècle : tout en étant à son apogée notamment à Rome, qui devient la capitale de la Renaissance italienne (MICHEL-ANGE, RAPHAËL), se diffuse dans toute l’Europe qui se met au modèle de la Renaissance italienne. On retrouve également la crise religieuse, qui commence à la fin du Moyen-âge : on n’y trouve pas de réponse appropriée de la part de l’Eglise catholique toute puissante sur les consciences européennes. Un certain nombre de théologiens, dont plusieurs foyers en Europe, notamment au cœur

perçus comme étant un moyen de résoudre la « question sociale » en Europe. Par ailleurs, depuis le xviie s., Anglais et Écossais émigrent volontiers vers l’Amérique du Nord, dotés d’un indéniable esprit d’aventure et animés d’une grande piété religieuse. Ils sont rejoints à partir de 1845 par les Irlandais qui connaissent les affres de la famine et des épidémies ravageant l’Irlande. À partir de 1850, les Allemands, les Scandinaves et les Hollandais commencent leur émigration. La forte augmentation

1492, La Découverte, 1992, 638 pages J. Favier, Les Grandes Découvertes, Fayard, Paris, 1991. Pierre Chaunu, Conquête et exploitation des Nouveaux Mondes, PUF, Paris, (1969) 1991. (spécialiste de l'Amérique espagnole et de l’histoire sociale et religieuse de la France des XVIe-XVIIIe siècles). Michel Lequenne, Christophe Colomb amiral de la mer océane, Gallimard, coll. «Découvertes », Paris, 1991. Marco Polo, Le devisement du monde, Textes choisis, Bibliothèque Gallimard, rééd., 1998. Christophe

Basse Intensité. –5– Contrairement aux divers mouvements et révoltes populaires – paysans et/ou urbains – qui réclament des améliorations de leurs conditions sociales, parfois au nom de la religion, ou aux hérésies qui demandent des réformes religieuses et sociales, les mouvements millénaristes abolissent leur exploitation, leurs conditions sociales, en s’emparant immédiatement de ce qui fait d’eux des « nécessiteux », en détruisant ce qui les oppresse. Révoltes populaires, hérésies et millénarismes