Lorenzaccio Monologue

les devoirs de fin de séquence (commentaire sur la tirade de la séduction I, 2) : cinq élèves avaient consacré le fameux « élargissement du sujet » de conclusion à cette question ! Rien à voir, mais en 2012, on peut voir une belle pièce, un monologue intitulé Monsieur Ibrahim et les Fleurs du Coran, au théâtre Rive Gauche à Paris et sans doute en tournée. Francis Lalanne l’interprète brillamment, plus d’une heure et demie sur scène, toujours passionnant, interprétant tous les personnages. Bravo

Vous trouverez également en pièce jointe le corrigé (un commentaire rédigé) du texte de La princesse de Clèves. Bon courage et bonnes vacances Objet d'étude : le théâtre, texte et représentation. Corpus :Texte A : Alfred de MUSSET (1810-1857), Lorenzaccio (1834), Acte IV, scène 9.Texte B : Jean GIRAUDOUX (1882-1944), Electre (1938), entracte. Texte C : Samuel BECKETT (1906-1989) Oh ! les beaux jours (1963). Annexe au corpus : Antonin ARTAUD (1896-1948), Le Théâtre et son double (1938). I. Après avoir

Rabatel 1998), alors que les tours de parole des personnages renvoient à l'énonciation personnelle, ce qui limite énormément les PDV hétérodiégétiques, le texte de théâtre reposant rarement sur le plan d'énonciation historique, sauf dans quelques monologues narratifs. Reste donc une focalisation interne à la première per sonne, ce qui semble restreindre la portée du phénomène. Ces deux réponses contrastées invitent à revenir sur la définition du PDV. On le fera à partir de sa nature radicalement polyphonique

Misanthrope, Le Tartuffe, Les précieuses ridicules… Racine, Phèdre, Britannicus, Bajazet Marivaux, L’île des esclaves, le jeu de l’amour et du hasard, la double inconstance Beaumarchais, Le Mariage de Figaro Musset, On ne badine pas avec l’amour, Lorenzaccio Hugo, préface de Cromwell, Ruy Blas, Hernani Wilde, L’importance d’être constant Jarry, Ubu roi Labiche, le voyage de Monsieur Perrichon Feydeau, Le dindon, Un fil à la patte Guitry, Faisons un rêve Sartre, Huis Clos, les Mouches Giraudoux

encore plus efficacement dans des tournures propres au genre théâtral, telles que le monologue. Il leur permet de s’exprimer à voix haute, de découvrir au public leurs pensées les plus profondes et leur véritable personnalité. Ainsi Don Diègue, dans le Cid de Corneille s’exclame : « Ô rage ! Ô désespoir ! Ô vieillesse ennemie ! », enrageant de sa vieillesse qui l’empêche de répondre à un affront. Son monologue, de forme plaintive, permet au spectateur de comprendre la portée tragique que représente

prosodiques : accent, intonation, mètre, rythme, tempo… Catégories narratologiques : histoire, narration, temps de l'histoire, temps du récit, héros, focalisation, scène, ellipse… Catégories dramaturgiques : intrigue, péripétie, nœud, dénouement, monologue, quiproquo, aparté, gestuelle… Catégories stylistiques : ton, parodie, humour, ironie, enchâssement, circularité, mise en abîme… Catégories logiques : analogie, hypothèse, induction/déduction, paradoxe, postulat, syllogisme… Catégories esthétiques

rythme particulièrement rapide) ou les reprises de termes ou les monologues (permettant aux personnages d'exprimer leurs sentiments, leurs conflits intérieurs). Certains sont restés célèbres, comme les sept monologues d'Hamlet dans la pièce de Shakespeare qui sont essentiels à la compréhension du personnage, à tel point que si on les met bout à bout, ils permettent de suivre l’évolution du personnage. Ces différents monologues sont révélateurs de sa difficulté à agir sous le poids de la réflexion

Texte 17 : Le meurtre d’Alexandre Acte IV, scène 11, Lorenzaccio, Alfred de Musset,1834. Lecture analytique n° 17 Intro : Lorenzaccio est une œuvre sincère. Sincérité des sentiments que crie le héros déchiré, sincérité des idéaux collectifs dont la grandeur s’affiche avec transparence. Sous une apparente complexité, le plus abouti et le plus naturel des drames romantiques français est aussi d’une parfaite limpidité : un jeune homme tourmenté, qui a perdu

œuvres vont résumer cette préface hugolienne : « Hernani » en 1830, connu pour la bataille mémorable de sa 1° représentation entre les partisans du romantisme et les opposants, et « Ruy Blas » (1838). Musset complète le répertoire romantique avec « Lorenzaccio » en 1834 puis en fin de siècle Edmond Rostand avec « Cyrano de Bergerac » (1897) B – APRES LE ROMANTISME / adaptation du théâtre aux gds mouvements de la littérature européenne du XIX° : - théâtre « à thèse » : critique sociale et réalisme :

douteux. Lorsque Victor Hugo à voulu se débarrasser des règles avec le Romantisme; celles ci sont revenues au galop avec l’obligation d’avoir un héros romantique courageux, solitaire et malheureux. Ce héros est présent dans la pièce de Musset, Lorenzaccio qui se retrouve seul au milieu de tous et dans l’obligation de tuer un tyran. La liberté théâtrale à également affaire à la censure de l’époque avec certaines pièces interdites telles que Tartuffe à cause de la mauvaise image des croyants qui était