Loi Rivet

limiter son influence en trois étapes : - La première étape est celle de la «Constitution Rivet». C’est une loi qui a été adoptée le 31 Aout 1871 du nom de son inspirateur. A priori, cette Constitution renforce les pouvoirs de Thiers et l’Assemblée Nationale lui décerne le titre de Président de la République. Mais en définitive, le but est de limiter les pouvoirs de Thiers. Premièrement, cette loi rappelle que le chef de l’exécutif est toujours sous l’autorité de l’Assemblée nationale. Ensuite

continuer l'oeuvre constituante et ainsi l'assemblée va voter trois lois qui sont en quelque sorte matériellement constitutionnelle puisqu'ils ont un objet constitutionnel avant d'adopter véritablement les lois constitutionnelles. La première loi c'est la loi Rivet du 31 août 1871 et qui visait en quelque sorte à diminuer l'influence de Thiers sur à l'assemblée parce qu'on craignait son éloquence sur les membres de cette assemblée. Et donc on lui confère le titre de président de la république en guise

s’agit de ne pas fragiliser l’unité monarchiste entre orléanistes (favorables à une monarchie constitutionnelle avec les acquis de la Révolution) et les légitimistes (favorables à un retour pur et simple à l’Ancien Régime). En août 1871, la loi Rivet donne à Thiers le titre de Président de la République en attendant que l’on statue sur les institutions définitives du régime. La gestion du pays par Thiers a pour effet le renforcement de la République provisoire dont les traits, socialement

défense nationale, l’organisation de la République n’était pas encore effective. Cette organisation n’a en fait progressé que très lentement grâce notamment à trois textes. C’est au vertu de la loi « Rivet » du 31 août 1871 que Thiers a pu recevoir le titre de Président de la République. D’autre part, avec la loi du septennat votée au profit du Maréchal de Mac Mahon le 20 novembre 1873, la perspective du retour de la monarchie est écartée. Enfin, avec l’amendement Wallon, vote le 30 janvier 1875 et qui

Le régime présidentiel : régime dans lequel la séparation des pouvoirs est stricte. Le régime parlementaire : régime dans lequel la séparation des pouvoirs est souple. =le législatif & l’exécutif collaborent entre eux (surtout pour élaborer la loi) +moyens de pression réciproques entre ces 2 pouvoirs. -le moyen de pression de l’exécutif sur le législatif : la dissolution -le moyen de pression du législatif sur l’exécutif : la motion de censure Le régime de confusion des pouvoirs : au profit

(affaires étrangères) signe armistice  All à Dijon, Pontarlier et Vendôme Paris capitule Gambetta : voulait rester en guerre mais se soumet à J. Simon  il démissionne B) L’Assemblée Nationale 8 fév 1871 : élec° d’une Assemblé nationale (AN) (sous régime loi de 1849) └> Monarchistes : succès massif (400 élus sur 645) Républicains : minorité NB : Monarchistes divisés en plsrs partis : - orléanistes : - bonapartistes : - légitimistes : Républicains divisés en plsrs partis : - Républicains

On se rappelle que ses modalités sont variables. a - Les actes réglementaires et les actes d’espèce En principe, ils doivent être publiés ou affichés. Les décrets et les arrêtés du pouvoir central sont publiés au Journal officiel - décret-loi du 5 novembre 1870. Les actes réglementaires des auto­ rités locales sont publiés dans des recueils spécifiques. D’une manière générale, s’agissant des actes réglementaires, seule leur publication - ou leur affichage - déclenche le délai de recours

illégales de ses subordonnés [pic](2). Ce n'est qu'au | |début du XXe siècle que s'est imposée l'idée que tout auteur d'un acte administratif devait pouvoir le faire disparaître rétroactivement en cas| |d'illégalité. Le commissaire du gouvernement Rivet, dans ses conclusions sur la décision Dame Cachet du 3 novembre 1922 (RD publ. 1922, p. | |552), qui est au coeur de la construction jurisprudentielle actuelle, rappelait que l'irrévocabilité des droits acquis est longtemps apparue | |comme

[TRAVAUX DIRIGES DE DROIT CONSTITUTIONNEL] Droit L1  SEANCE N° 1 – Genèse et jeunesse de la Ve république Documents : 1. Discours de Bayeux du Général de Gaulle du 16 juin 1946 2. Loi constitutionnelle du 3 juin 1958 portant dérogation transitoire aux dispositions de l’article 90 de la Constitution 3. G. Vedel, La Constitution de 1958, Le Monde, 7 août 1958 4. Discours prononcé par M. Gaston Monnerville, président du Sénat, le 9 octobre 1962 devant le Sénat 5. Conférence de presse du

sang. Les Monarchistes sont satisfaits de la manière dont Adolphe Thiers a mis un terme à l’insurrection, en récompense, ils vote une loi lui donnant le titre de Président de la République. C’est la loi du 31 aout 1871 proposée par Rivet, elle est d’ailleurs appelée «Constitution Rivet» car c’est le premier acte constitutionnel dans la République. Cette loi est toujours un texte inscrit dans le provisoire, puisque seul Thiers possède le titre de Président de la République, personne ne peut en