Loi Guizot

REPUBLIQUE (1848-1852) I) L'euphorie révolutionnaire de février à avril 1848 a) les journées de février Les journées de février sont nées du mouvement des banquets (les meeting politiques sont interdits par la loi), qui sont une manière de détourner la loi pour parler politique. On y demande l'abaissement du cens et l'élargissement du corps électoral. De juillet 1847 à 1848, on voit se succéder environ 70 banquets. L'opposition se radicalise au fur et à mesure. Au début, on lève

eux sont d'opinion légitimiste, ils sont compensés par les 34 banquiers et industriels devenus députés. Mais ce pays légal est loin de correspondre au pays réel. Sur plus de 9 millions d'hommes majeurs, il n'y a que 241 000 électeurs. Le roi et Guizot, son principal ministre, refusent d'élargir les conditions d'accès au droit de vote comme le leur recommandent des orléanistes, plus conscients du mécontentement des exclus du suffrage censitaire. Les différentes réformes envisagées, celle de Duvergier

progression sur une nouvelle synthèse politique. Favorables à la monarchie tempérée, où les pouvoirs sont répartis entre le Roi et deux parlements. Constitués en majorité d'intellectuels, de professeurs (principaux représentants Victor cou(i)sin, François Guizot). Les libéraux : Rôle important sous la révolution et l'Empire. Philosophie du libéralisme → Consiste à placer la liberté individuelle au coeur de toute la construction sociale et politique. Ce sont des gens qui croient à l'initiative politique

providentiel, une loi divine ou morale et il existe différentes formes de coutumes, de mœurs et de gouvernement de la société qui sont indépendants de tout ordre transcendant. Et on peut organiser cette diversité à l'intérieur de petits nombres de types. Il est possible de dégager des principes ou des types d'organisations qui constituent un intermédiaire entre le chaos et l'ordre universel. Son objectif était de chercher à comprendre ce qui modèle le monde social, à élaborer une loi scientifique d'intelligibilité

L’école permet un accès pour tous à la scolarisation mais il persiste quand même des inégalités. Il y a eu une démocratisation de l’école. D’abord en 1833 avec la loi Guizot qui demande la construction d’une école dans chaque commune et une école normale d’instituteur dans chaque département. Puis l’essor de l’école a été accentué par la loi de Jules Ferry en 1881, qui instaure la gratuité de l’école. Et en 1882, l’école devient laïque et obligatoire jusqu’à 13 ans, et 16 ans en 1959. Ceci a eu pour

société basée essentiellement sur l’individu. Le pouvoir passe concrètement du roi au peuple : les individus sont alors des sujets de droit. Cependant, dans un climat de méfiance vis-à-vis des regroupements professionnels, la loi Le Chapelier est votée le 14 Juin 1791. Cette loi, restée fameuse dans l’histoire du monde ouvrier interdit la grève ainsi que toutes les associations patronales et syndicales, en d’autres termes les syndicats. Le monde ouvrier se retrouve alors dans l’incapacité de s’organiser

nombre d’instituteurs n’a pas suffi à pourvoir toutes les communes. Il a fallu créer des écoles nomades pour former des instituteurs qui eux-mêmes enseigneraient le Français normal ou commun. 3. Mise en place des réseaux de transport Dès 1820, une loi autorise l’Etat à construire et à gérer de nouveaux canaux. Entre 1821 et 1850, la longueur des canaux passe de 3 000 à 12 000km. La monarchie de Juillet lance en 1836 un vaste développement des chemins et des voies vicinales et s’attelle à la question

l'évènement de 1789 et le « légendaire » du temps passé notamment avec la période du premier empire. II. Nouvelles perspectives. A) Le tournant décisif aux alentours de la Révolution de 1830 Inscrite dans le courant libéral, la figure de François Guizot se distingue de l'ensemble des auteurs qui réfléchissent sur le sujet. Ayant des préférence pour une monarchie parlementaire il signera l'adresse des deux cent vingt et un. Participant du même mouvement d'ouverture, les vulgarisations historiques

pop est écartée de la vie pol sauf aux municipales (lois 1831) Monarchie libérale mais pas démocratique mais il y a tout de même conservation : Louis Philippe est un monarque conservateur et autoritaire→ 1835 : attentat contre le Roi, on autorise la loi qui interdit la résistance au pv. C. Le poids de la question sociale. Le règne de Louis Philippe est très mvté→ déséquilibre socio-éco : Bouleversements éco et sociaux causés par l’industrialisation→ sociaux : concentration de pop ouvrière avec

Restauration et qui se déroule sur trois journées qui sont les Trois Glorieuses. En 1831, a lieu la révolte des Canuts à Lyon qui fut la première insurrection sociale au début de l’ère de la grande industrie. En 1833, François Guizot, ministre de l’instruction publique, instaure la loi Guizot sur l’enseignement primaire. En 1848, la seconde Révolution française a lieu, la seconde république est proclamée. Louis Napoléon est élu président. En 1851, Louis Napoléon Bonaparte fait un coup d’Etat. Le second Empire