Loi Guizot

élargissement du corps électoral et s’opposer aux décisions prises par le gouvernement conservateur de Guizot. Au début, on demande juste une reforme de la monarchie de juillet comme Odilon BARROT par exemple, et ce n’est qu’après que il y a vraiment une expression des idées républicaines. On peut voir ces banquets comme une ruse pour éviter l’interdiction des réunions politiques par le gouvernement Guizot. Le 22/02/1948, le gouvernement fait preuve de fermeté en interdisant l’un d’entre eux. Le jour

Louis-Philippe d'Orléans (1830). Le 3 août 1830, à une heure de l'après-midi, le duc d'Orléans préside à la cérémonie d'ouverture solennelle de la session parlementaire, au Palais-Bourbon. Le discours qu'il prononce est son œuvre, mais il a été revu par Guizot et Dupin. Il fait de la volonté de maintenir la Charte la cause principale de la révolution et son ultime leçon, ce qui ne peut que déplaire aux révolutionnaires les plus ardents[1]. « Tous les droits, affirme-t-il, doivent être solidement garantis

parlementaire marquée par une instabilité chronique des ministères même si les mêmes personnes reviennent. Photos ministres * abus de pvr du roi. * Le droit de vote étendu mais pas à tous les français : Chef du gouvernement de 1840 à 1848, Guizot refuse l’abaissement du cens électoral et le peuple reste donc écarté de la vie politique. Après l’instabilité, l’immobilisme * « le reste du peuple n'est tout au plus à leur égard, que comme, dans une monarchie [absolue], les sujets sont à

crise politique : Les élections législatives de 1846 sont un succès pour les partisans de la Monarchie de Juillet. Mais les élus sont loin de représenter le pays réel. Sur plus de 9 millions d’hommes majeurs, il n’y a que 241 000 électeurs. Le roi et Guizot, son principal ministre, refusent d’élargir les conditions d’accès au droit de vote. Les différentes réformes envisagées, celle de Duvergier de Hauranne qui préconise un abaissement du cens1 de 200 à 100 francs (soit 200 000 électeurs de plus), comme

des déboires puis une fin poussée par la volonté du peuple français. En dépit de l’amélioration de la crise économique de 1846 -1848 par la montée en puissance de l’industrialisation française (grâce notamment à l’historien et politicien François Guizot, élu président du Conseil en 1847), le conservatisme monarchique qu’il incarne, ainsi que le caractère autoritaire de ce régime entraîne, suite à l’interdiction d’un banquet républicain, une nouvelle révolution du peuple contre le Roi. *********

révolution est l'interdiction du banquet promulgué par Guizot le 14 janvier 1848. La pratique du banquet est un moyen d'expression d'une opposition politique, rassemblant dans un lieu généralement privé, des milliers de convives. Ces banquets, sont surtout un lieu de parole, de discours politique. Au début contrôlés par les libéraux, ils sont petit à petit investit par les républicains « Modérés ». C'est donc suite à cette interdiction ( et au fait que Guizot est suspendu le cours de Michelet au collège de

naissance tardive des écoles pour filles La caricature contemporaine de Schwartz illustre bien la séparation de l'époque garçons - filles dans les établissements scolaires.la mixité est interdite et ce pour longtemps... La loi Guizot de 1833 autorise en théorie la mixité...Cette loi rend en effet obligatoire pour toutes les communes une école primaire élémentaire. La mixité est très exceptionnellement une réalité en France car l'école ne concerne que les garçons selon les principes de l'époque ; toutefois

constitution=> contrat entre le Roi et la nation. Les acquis de la Révolution sont dans le titre ''droit public des français''=> égalité devant la loi, l'impôt, l'accès aux emplois publics, la liberté individuelle, de conscience, de propriété, de la presse. La religion catholique est proclamée religion d'Etat. Seul le Roi peut proposer la loi., c'est lui qui convoque les sessions parlementaires, il peut dissoudre la chambre des députés et doit sanctionner les lois. Le pouvoir réglementaire

1er des ministres de l’instruction publique. 1833 Loi Guizot Ecoles normales d’instituteurs Brevet élémentaire. Transmission des valeurs républicaines en instruisant le peuple Création d’écoles publiques dans communes > 500 hab. Création d’une école normale par département 1848 Constitution de la 2e République Démocratique, une et indivisible. Liberté, égalité, fraternité. (puis second Empire Louis-Napoléon : constitution 1852) 1850 Loi Falloux Liberté d’enseignement : reconnaissance de

l'assassinat du Duc de Berry grand artisan de la montée en puissance des libéraux au parlement relance les ultras qui monopolise très vite le pouvoir privilégiés par la loi du double-vote - Cependant il faut noter que cette mise à l'écard du roi n'est aps signe de parlementarisme pour autant, les libéraux nettement inférieur à vause de la loi du double-vote est contrainte de mener l'opposition par le biais d'institutions secrètes (l'union du salut) Un pouvoir parlementaire s'affirmant sous