Litanies des saints

richesse et rareté du vocabulaire - symbole : la sensation et l'idée sont réunies dans le symbole Auteurs Charles Baudelaire, Les Fleurs du Mal Paul Verlaine, L'Art poétique Arthur Rimbaud, Une Saison en enfer Gustave Flaubert, La tentation de saint Antoine Huysmans, A rebours Stéphane Mallarmé, L'après-midi d'un fauve Contexte du XIXe siècle Contexte historique - Premier empire de Napoléon 1er (1804-1815) - La monarchie constitutionnelle (1815-1848) : règnes de Louis XVIII, Charles X

croyances qui encombrent l’esprit des superstitieux. Le vaste champ lexical du fantastique « spectres, lémures, larves » côtoie celui du religieux « Saint Christophe, sainte Barbe, saint Erasme, Purgatoire » et celui de la sorcellerie « formules, prières magiques », mettant sur un même pied d’égalité devant l’imposture le traditionnellement sacré (les saints) et le profane ( les monstres légendaires, la sorcellerie). Ces termes sont mêlés, comme si la Folie ne voyait aucune différence entre ces différentes

pouvons remarquer qu’il aborde en particulier le concept de laideur et de beauté. - « Révolte » est la cinquième partie. C’est la partie la plus courte puis ce qu’elle contient seulement 3 poèmes qui sont : « Le Reniement de Saint Pierre », « Abel et Caïn » et enfin « Les Litanies de Satan ». Dans cette section, Charles Baudelaire évoque son mépris pour Dieu et glorifie Satan à qui il va même jusqu’à adresser une prière. - « La Mort » est la sixième partie et la dernière de ce recueil. Elle est composée

la morale publique (Les Bijoux, Sed non satiata, Le Léthé, A celle qui est trop gaie, A une mendiante rousse, Lesbos, Femmes damnées : Delphine et Hippolyte, Les Métamorphoses du vampire) et à la morale religieuse (Le Reniement du saint Pierre, Abel et Caïn, Les Litanies de Satan, Le Vin de l’assassin). Finalement, l’atteinte à la morale religieuse ne fut pas retenue, et Baudelaire ainsi que ses éditeurs furent condamnés, le premier à 300 francs d’amende, les seconds à 100 francs. Six pièces (Lesbos

Introduction : S’inscrivant dans la lignée de ses prédécesseurs qui conjuguent l’image de la mer à celle de la poésie comme Rimbaud dans le Bateau ivre Saint-Jon perse dans ce poème tiré du recueil Amers publié en 1957 revisite en le renouvelant ce pensif littéraire . Dans une perspective stylistique nous tenterons de mettre en valeur le parallélisme itératif qui règne dans ce texte ensuite ns ne pencherons sur les figures de ressemblances qui le ponctue pour terminer en fin avec l’analyse des

du hachis ou de la chair à pâté. Un héros stéréotypé n’en serait pas un si celui-ci ne faisait pas preuve d’un narcissisme important et d’une confiance en lui à toute épreuve comme le prouve le passage : « Saint Thomas d’Angleterre accepta de mourir pour eux : si je mourais ne serais-je pas saint moi aussi ? Mais je n’y mourrai pas, car c’est moi qui vais tuer les autres » (l 71-74). De plus la référence finale à la chanson des quatre fils Aymon « Jamais l’ermite Maugis, avec son bourdon, ne se porta

dans le poème: des esclaves dans un harem, entouré de la représentation des «fleurs du mal»: des fleurs noires. Les litanies de Satan Ce poème fait partit de la section Révolte du recueil. C'est dans cette partie qu'il y eu le plus grand nombre de chef d'accusation contre Baudelaire, la Justice voyait alors, dans Le Reniement de saint Pierre, Abel et Caïn ou Les Litanies de Satan, une attaque directe contre l'Église catholique romaine. Ô toi, le plus savant et le plus beau des Anges,Dieu

multiples incarnations du Mal : « Satan» v.9, « Diable » v.13, « Démons » v.22. A travers ce premier poème, Baudelaire annonce le caractère de révolte présente dans les poèmes blasphématoires de la section « Révolte » tels qu’Abel et Caïn ou encore Les Litanies de Satan. Pour les lecteurs de l’époque ce poème est provocateur notamment à cause de la forte présence du Mal dès le début du recueil. 2_ « Bénédiction » : quelle image de poète se dégage de ce poème ? Dans ce poème, Baudelaire donne une image

recherche du temps perdu.2) Villon évite la monotonie d’une anaphore : la question est de plus-en-plus sous-entendue jusqu’à son retour avec force au v.23. Il varie le rythme des évocations : en revanche le retour de la terminaison en « -is » suggère une litanie, comme aussi l’allitération initiale Blanche/ Berthe/ Biétris. Fascination des nom étranges (« Archipadès », « Haram Burgis »). Ces femmes ont des qualités variées, de la « belle Romaine » à la « bonne Lorraine » en passant par la « sage Héloïse »

vin des amants Fleurs du Mal (9 poèmes) : La destruction, Une martyre, Femme damnées, Les deux bonnes sœurs, La fontaine de sang, Allégorie, La Béatrice, Un voyage à Cythère, L'amour et le Crâne.Révolte (3 poèmes) : Le reniement de Saint Pierre, Abel et Caïn, Les litanies de Satan. La Mort (6 poèmes) : La Mort des amants, La Mort des pauvres, La Mort des artistes, La Fin de la journée, Le Rêve d’un curieux, Le voyage. Étude de vingt poèmes Liste des poèmes : La Muse Malade, La Muse Vénale, Le