Litanies des saints

guide et rassure face au dépaysement : A. Une ouverture in medias res : •Le recours à la prose (héritée de Rimbaud) encadrée d’anaphores qui rythment et régulent l’énumération des composantes d’une ville décevante crée un rythme répétitif, une litanie RASSURANTE : « au bout du petit matin… » (l. 1, 5, 9, 28, 32) « Dans cette ville inerte » (l.10, 16, 23). Le jeu sur le leitmotiv apprivoise l’attention du lecteur et l’inscrit dans un univers mélodique particulier (jeux musicaux sur motifs et variations)

chapelle » = être croyant, v41 : « glas » = sonnerie de la cloche lors des enterrements. Le résistant est donc présenté comme un martyre qui est livré à la mort. Aragon, ici avec les répétitions du refrain imite les poème religieux : litanie où l’on énumère le nom des saints en leur demandant d’exaucer les prières.    L’union sacré et l’espoir :  Ø       Les différence entre résistantsLes résistants ont des différences (voir la dédicace). On a une opposition entre la terre et le ciel, dans l’espace

annonces du Garde qui répètent les propos des autres, chutes du roi. B. de distanciation Il s’agit d’instaurer une complicité avec le spectateur, et tout particulièrement avec le spectateur cultivé, en utilisant : La parodie des rituels : litanies des saints, protocole royal (musique solennelle qui contraste avec l’apparition ridicule du roi en pantoufles, musique de fanfare qui souligne le redressement du roi après sa première chute, annonces du garde qui juxtapose un élément officiel et un autre

d'abord publié dans des journaux clandestins durant la Seconde Guerre mondiale, puis dans le recueil Jours pétrifiés en 1947. Son titre fait référence au massacre d'Oradour-sur-Glane. 1/La vie de l’auteur : Jean Tardieu, né le 1er novembre 1903 à Saint-Germain-de-Joux et mort le 27 janvier 1995 à Créteil, est un écrivain et poète français. Il est le fils de Victor Tardieu (peintre). Jean Tardieu a travaillé aux Musées Nationaux, il reçoit le Grand Prix de littérature de la Société des Gens de

haut des cieux Paix sur la terre aux amis de Dieu ! Couplets Notre Dieu et notre Père Roi du ciel et de la terre. Fils unique Jésus Christ Seigneur Dieu, le Fils du Père Seigneur Dieu, Agneau de Dieu Toi qui viens sauver le monde Tu es saint, tu es Seigneur Toi qui sièges auprès du Père Jésus Christ avec l'Esprit Dans la gloire de ton Père Tous A toi notre Louange A toi nos chants de joie ! A toi notre Louange A toi nos chants de joie ! Reçois notre prière Et prends pitié

des chiffonniers », « Le vin de l’assassin » , « Le vin des amants ». La partie nommé Fleurs du Mal inclut des poèmes tels que « La Destruction » ou encore « Allégorie » , Révolte comporte trois poèmes : « Le Reniement de saint Pierre » , « Abel et Caïn » et « Les Litanies de Satan ». Enfin La Mort inclut « La Mort des amants », « La mort des artistes » . Bien que Baudelaire eu été un précurseur symboliste, Les Fleurs du mal sont marquées par l'esthétique du Romantisme. Dans sa Préface

trouvent aux champs, c'est le premier meurtre de l'histoire, Caïn est alors voué a l'errance. rapports entre la Bible et La Révolte des Fleurs du mal. références bibliques dans trois poèmes précis du recueil : le Reniement de Saint Pierre, Abel et Caïn et Les Litanies de Satan qui forme la partie intitulée La Révolte. ils sont toujours décrits à l’heure actuelle comme des poèmes blasphématoire Prenant le thème des frères ennemis, Baudelaire oppose dès le début la race d’Abel, qui a les faveurs

La neige est le marqueur spatial qui domine le poème.Là encore, évocation de l’espace de la cour (mention du « Prince » à qui est adressée cette ballade) et des différents lieux où évoluent les personnages mentionnés (« rivière/étang », la ville de Saint-Denis, la Seine, le Maine, Rouen).Multitude de personnages réels (Abélard, Buridan, Thaïs), mais aussi mythiques (les déesses Flora et Echo).· L’absence de neige est le marqueur spatial qui domine le poème.Différence langue médiévale/actuelleFroidure

femme aux épaules de champagne Et de fontaine à têtes de dauphins sous la glace Ma femme aux poignets d'allumettes Ma femme aux doigts de hasard et d'as de coeur Aux doigts de foin coupé Ma femme aux aisselles de martre et de fênes De nuit de la Saint-Jean De troène et de nid de scalares Aux bras d'écume de mer et d'écluse Et de mélange du blé et du moulin Ma femme aux jambes de fusée Aux mouvements d'horlogerie et de désespoir Ma femme aux mollets de moelle de sureau Ma femme aux pieds d'initiales

pompiérisme, quelques belles réussites... Mais là encore, illusion d’un monde transparent, que la poésie peut simplement « dire » sans s’interroger sur elle-même : « Le tout est de tout dire... » -  Reste enfin la vaticination à la René Char ou à la Saint-John Perse (retour à des formes quasi religieuses : le poète redevient voyant, vates...) - ... et l’impasse de la « poésie blanche », qui, en réaction contre toutes les formes de lyrisme, politique, religieux ou amoureux, tend à des formes minimales