Litanies des saints

la main a pris dédaigne même de prendre la forme de la main, Ce qui a été compris n’existe plus, L’oiseau s’est confondu avec le vent, Le ciel avec sa vérité, L’homme avec sa réalité. Sa biographie Paul Éluard est né le 14 décembre 1895 à Saint-Denis et il est un poète français. C’est à l’âge de vingt et un ans qu’il choisit le nom de Paul Éluard, hérité de sa grand-mère, Félicie. Il adhère au dadaïsme et est l’un des piliers du surréalisme en ouvrant la voie à une action artistique engagée

poèmes que Baudelairesouhaitait certainement utiliser un jour) : « “J’ai pétri de la boue etj’en ai fait de l’or ”».On la retrouve aussi dans un projet d’épilogue pour Les Fleurs desMal rédigé en 1861 : « “Comme un parfait chimiste et comme uneâme sainte. Car j’ai de chaque chose extrait la quintessence. Tu m’asdonné ta boue et j’en ai fait de l’or” ».Baudelaire compare donc sa poésie à de l’alchimie, une pratiqueocculte destinée à réaliser la transmutation des métaux vils (plomb) enmétaux nobles

l'ensemble de son texte, les personnes à qui elles sont adressées et les mobiles qui les ont inspirés. Accusations annoncées par un verbe à la fois d'action et de déclaration "J'accuse" exprimé à la 1e personne en anaphore à 8 reprises comme une litanie (prière répétitive), ce qui donne au texte un rythme vif, un ton solennel et emphatique, et transforme le texte en acte d'accusation c'est-à-dire en réquisitoire contre tous les responsables de l'injustice commise envers Dreyfus. - La force de ce

contente plus de dire du mal (l. 11), il « pense du mal » (l. 25). Il défie le monde entier et même la mort dans une posture orgueilleuse qui rappelle l’hybris grecque . L’affirmation de sa singularité s’amplifie avec la litanie du pronom personnel « je » repris constamment en anaphore et résonnant comme une incantation pour conjurer l’effacement et la disparition imminente du « moi » . Commence alors une variation autour du verbe aimer

d'orthographe propre. Cela voulait dire terre montagneuse. Vous le comprenez bien puisque ces peuples ne maîtrisaient pas l'écrit. Les Espagnols par la suite l'ont appelé HISPAGNOLA qui voudrait dire la petite Espagne. Et plus tard, les français l'appelleront SAINT-DOMINGUE. Haïti retrouvera à l'indépendance son nom amérindien d'AYITI (nom amérindien-phonétique). Il deviendra HAÏTI avec l'orthographe que nous connaissons aujourd'hui sans que nous ne sachions trop pourquoi. Il s'agirait très probablement d'une

la célébration du corps féminin en poésie ? QUESTION DE CORPUS. Le corpus qui nous est proposé nous invite a travailler sur 5 textes. A savoir ( Les regret sonnet 91, 1556 de Du Bellay ; Le Beau Tétin, 1535 Clément Marot ; Blason de l’œil, 1547 de Saint-Gelais ; La courbe de tes yeux, 1926 de Paul Eluard ; Le blason, 1960 de George Brassens ). Ces textes ont pour thème commun la femme aimée. Il s’agit de savoir quelle image de la femme propose ces textes. Nous verrons d’abord l’image élogieuse de

la lâcheté. Enumération : « Psaume […] litanies […] répons »Ironie : « Belle procession »Jeu de mots polysémique : « capitulants » → religieux qui capitulent II- Des raisons de lutter : le vin et sa polysémie (l. 5 à 17)Les moines prient pour sauver leur vin avant de se sauver eux-mêmes. Frère Jean est alcoolique mais tous les moines le sont aussi.Prière : « Je me donne au diable […] et raisins que »Phrase interrogative : « Ventre Saint Jaques que boirons nous pendant ce temps-là 

décrit une nuit d’amour au cours de laquelle il prend plaisir à torturer sa bien-aimée en lui infligeant «une blessure large et creuse». Il n’hésite pas à outrager la morale religieuse dans «Le Reniement de Saint-Pierre» où il met en cause la figure de Jésus et celle de Dieu, ainsi que dans «Les Litanies de Satan» où il fait l’éloge de celle de Satan et par définition du Mal. Baudelaire exprime ainsi, par le biais de ses oeuvres, sa conception du Beau contenant «un peu de bizarrerie». Il justifie cette «bizarrerie»

Astre du matin (nom). Il a été utilisé par les premiers chrétiens pour désigner le Christ, la « Lumière du monde ». Dans l'Apocalypse, (II, 8 ; XXII, 16) Jésus se donne à lui-même le nom d'étoile du matin (Lucifer) et il désigne également l'Esprit saint sous ce nom. Pendant les trois premiers siècles de l'Eglise, plusieurs chrétiens ont porté ce beau nom. Dans le paganisme romain, Lucifer était un dieu céleste qui vivait sous l'Olympe. Avec les Saisons, le fils de Jupiter et de la déesse Aurore était

Dalize Vous n'aimez rien tant que les pompes de l'Église Il est neuf heures le gaz est baissé tout bleu vous sortez du dortoir en cachette Vous priez toute la nuit dans la chapelle du collège » René Dalize fut vraiment son ami au collège Saint-Charles, puis son collaborateur aux ‘’Soirées de Paris’’. Bons petits collégiens, ils se plaisaient à un certain mysticisme d’'adolescents qui est plus goût du pittoresque que véritable foi. Vers 31 à 32 : « Tandis qu'éternelle et adorable profondeur