Lit On Pour Oublier La Réalité

Feuille de lecture de l’Ignorance – Milan Kundera Résumé : Lors de la chute du communisme, Irena, comme bien d’autre se sent obligée de retourner dans son pays et ce, même s’il elle ne le souhaite pas. Elle a oublié sa vie passée de Tchèque émigrée. Irena est perdue dans son pays. Cependant, une nostalgie fait surface. La nostaglie est la souffrance de l’ignorance. Ne pas pouvoir être témoin de l’avenir d’un pays qu’on a quitté, contre son gré, de tous ses vœux. Pour Irena vingt ans d’ignorance

fleur Et puis ce souvenir éclaté dans l’espace Couvrirait de mon sang le monde out entier La mer les monts les vals et l’étoile qui passe Les soleils merveilleux mûrissant dans l’espace Comme font les fruits d’or autour de Baratier Souvenir oublié vivant dans toutes choses Je rougirais le bout de tes jolis seins roses Je rougirais ta bouche et tes cheveux sanglants Tu ne vieillirais point toutes ces belles choses Rajeuniraient toujours pour leurs destins galants Le fatal giclement

paresse : lit, rêve, paresse, fagoté, dort, sans me soucier, oisiveté, en langueur, doux, charmant, ce plaisir. - Versification : les phrases sont longues, et il y a des enjambements (la lecture du poème est lente). Tout les vers sont écrit en alexandrins, qui sont les vers les plus long, afin d’accentuer sur la paresse. 2) Le plaisir de l’âme La paresse repose l’esprit et l’inertie amène à l’oubli, mais aussi à la procrastination (le fait de toujours remettre au lendemain). Le poète en oublis tout :

symboliser l'écrasement morale de la Thénardier sur celle-ci. On peut noter que le terme "Bourreau" en fin de phrase résume le mal dont elle est capable. Á l'époque le roman avait des personnages fictifs qui ne se rapprochaient pas de la réalité ils avaient une sorte de "pouvoir" ils étaient parfaits. Maintenant dans le roman réaliste les personnages se rapprochent plus de nous ce sont des personnes banals. Les auteurs s'inspirent le plus souvent de notre quotidien à tous pour écrire leur

d'adolescente en s'épanouissant dans le jeu de go, sur la place des "Mille Vents", où elle se rend régulièrement, et où elle bat ses adversaires les plus compétents. Cette fille garde l'espoir : peut être qu'un jour tout ira bien pour elle, malgré cette dure réalité qu'elle doit confronter au quotidien. Parallèlement, les récits d'un jeune soldat japonais engagé dans le conflit sino-japonais nous intriguent. Il nous fait part de son quotidien sur les champs de bataille, les terribles expériences qu'il doit

une vie de famille paisible et prospère basée sur le modèle patriarcale. Plutôt que la réussite familiale, les jeunes recherche une fraternité avec des gens qu'ils ont choisit pour leurs idéaux. Un des clichés représente un jeune couple dans un lit. La jeune femme assise à califourchon sur son ami se tient le bras pendant que le jeune homme lui fait une injection. L'acte est presque érotique, la jeune femme est à demi nue, le poing serré et appuyé fort contre le torse de son ami. On voit toute

  ***   "... le terme de Bovarysme, contrairement à ce que l’on lit parfois, ne vise pas à dénoncer un quelconque « dérèglement » psychologique, un glissement pathologique dans le monde du fantasme ou du rêve, ou un refus du monde réel. Le bovarysme n’est pas une maladie : c’est un état de fait généralisé, propre à tous les humains, et au-delà à tout ce qui est, état de fait qui consiste à poser comme postulat que « toute réalité qui se connaît elle-même se connaît autre qu’elle n’est.» Le Bovarysme

simple de rêver, Plutôt que d'affronter la réalité. C'est pourquoi il décida un matin, De rester la tête sous ses coussins, Et de ne plus jamais se lever, Que ce soit contraint ou même forcé. Dès ce jour, il ne mit plus un pied dehors Et tous ses amis pensèrent qu'il était mort. Comme toutes ses journées se ressemblaient, Il ne vit pas que le temps passait. Et à force de ne rien faire, Tous ses muscles s'atrophièrent. Il mourut dans son lit, sans âge et sans ami, Sans avoir jamais

allégorie : le train de ce monde conduit par la mort1. « l’amour du mensonge » « Quand je te vois passer, ô ma chère indolente » v.1 « quand je contemple » v.5 Observation d’une femme ; prétexte à la rêverie dans la rue. « je n’ai pas oublié… » « Je n’ai pas oublié, voisine de la ville » v.1 Le « je » lyrique se trouve à l’extérieur de Paris ; il est à la campagne. Il s’agit d’un poème du souvenir, d’une posture rétrospective. « la servante au grand cœur » « je la voyais s’asseoir » v.16 ; « je la

histoire qui ne peut être totalement réelle, et aussi à une histoire qui n'est peut-être pas très joyeuse, qui a l'air triste et parle de la mort.Ce roman a l'air de renfermer le genre d'histoire qui me plaît, avec une part d'imagination dans la réalité, avec cette petite touche qui est irréelle. Le résumé est assez intriguant et je suis impatiente de lire le roman.Informations complémentaires :Mathias Malzieu : c'est un chanteur, musicien et écrivain français, né le 16 avril 1974 à Montpellier.