Liste des évêques et archevêques de Milan

les moments historiques particulièrement fertiles en productions littéraires et artistiques. Un livret pédagogique dont le contenu est ciblé et varié accompagne ce cours. L'étudiant y trouvera une matière à réflexion et d'analyse faite de textes, de liste de mots qui ont marqué leur époque de signalements divers, et de chronologie. l'aspect didactique y est privilegié et cela pour faciliter la compréhension et aider à l'utilisation de l'information historique. 6 1ER CHAPITRE I Naissance de

amorcé pour des raisons pratiques dès le début du IVè s. (réforme de la Tétrarchie, avec Dioclétien), puis rendue définitive en 395, après la mort de l’emp. Théodose. : - à l’ouest, les provinces de langue latine, avec Rome pour capitale, puis Milan ou Ravenne. Empire gouverné par Honrius ; - à l’est, les provinces grecques, gouvernées par l’emp. Arcadius depuis Constantinople. Entre ces deux moitiés, une solidarité très relative, qui se mue bientôt en une rivalité opiniâtre. Faiblesse de

juridiques soit suffisamment importantes. Une dizaine d’années après la persécution de 303, Constantin se convertit au christianisme et l’édit de Milan rend le christianisme licite. Le mouvement ira en s’accentuant. Quelques décennies après, en 380 l’édit de Thessalonique institue le christianisme religion d’État dans l’Empire romain. À partir de l’édit de Milan, l’Église chrétienne va pouvoir se structurer religieusement et s’organiser administrativement et sera aussi obligée de régler les querelles

traditionnels : Suède, Pologne, empire Ottoman. ➢ États allemands. Très divisé en raison du déclin de l’autorité du chef du Saint Empire romain germanique. Archevêques de Trèves Bohême, Mayence et Cologne et pinces laïques de Saxe, Brandebourg, Palatinat, Hanovre, Bavière. Villes libres, principautés ecclésiastiques (ex. évêque de Bamberg, archevêque de Salzbourg) et états séculiers, parmi lesquels la Saxe, Prusse (Berlin), Palatinat et Bavière (Munich). Goût du luxe, activité artistique étonnante, copie

haute Antiquité, l’écrit tire sa force probante de l’engagement des parties mais aussi de la présence de témoin ; la relation de droit doit être publique, sa publicité est une nécessité. 2) la publicité Les tablettes présentent souvent une liste de personnes entre 2 et 20, ces personnes sont les témoins à la rédaction de l’acte et leur nombre varie en fonction de l’importance de l’acte relaté et aussi de la durée des effets qui doivent en découler. Ils sont indispensables, un acte sans témoin

nouveau système : tétrarchie  4 personnes ont le pouvoir. Les 4 parties sont gouvernées par 2 Augustes et par Césars. Les deux premiers Auguste était Dioclétien et Maximien, ils ont choisis leurs résidences aux deux frontières de l’empire : l’un à milan et l’autre en Asie mineure. Par la suite ils ont adopté deux Césars qui se sont installés dans deux autres villes : l’un en Allemagne et l’autre en Roumanie. Au décès des deux Augustes, les deux césars leurs succèdent et adoptent à leur tour deux

« dépose ces amulettes ». Rémi dit adore ce que tu as brulé, et brule ce que tu as adoré !!! L’évêque de Reims reçoit d’une colombe une fiole d’huile et le roi sera baptisé d’eau et d’huile et il sera baptiser « par la main multiple de tous les évêques de Gaulle ». Selon Grégoire de tour c’était une conversion qui été essentiel pour l’occident et pour l’église des francs, le baptême de Clovis est l’une des racines chrétiennes de l’Europe et c’est le fondement de l’expression « France fille ainé

français et en italien. L'ouvrage sans doute remonte à plus d'un siècle mais les recherches récentes ont confirmé bien des vues dégagées. La mise à jour de son oeuvre s'est faite grâce à un ouvrage collectif intitulé Jus romanum medii aevi paru à Milan dans les années 1960/70 et qui a réuni des romanistes et des canonistes venant des quatre points cardinaux de l'Europe. Depuis les travaux sur le droit savant n’ont cessé de prendre de l’ampleur comme en témoigne, par exemple, la bibliographie imposante

l’habitude d’annoncer dans l’édit qu’ils prenaient chaque année au moment de leur entrée en fonction les innovations qu’ils comptaient introduire dans le droit. L’édit du préteur comporte donc la liste des actions que ce magistrat s’engageait à délivrer aux plaideurs qui lui en feraient la demande. Bien sûr cette liste n’était pas bouleversée chaque année : chaque préteur reprenait les actions introduites par ses prédécesseurs en y ajoutant simplement quelques innovations, le plus souvent à l’instigation

(membres déchirés, bras mutilé, crane défoncé). D’autre fait sombre, comme l’ambition féroce (avide de pouvoir) de deux reines : Brunehaut et sa rivale Frédégonde, deux reines magnifiques. Grégoire de Tours, grand chroniqueur des merovingiens (évêque de Tours et historien) va rédiger : l’histoire des Francs au VI s. Il raconte de Brunehaut (portrait flatteur de la reine d’Austrasie car elle été sa favorite) : « C’était une jeune fille de manière élégante, belle de figure, honnête et de bon