Liste des évêques et archevêques de Milan

L’ampleur de l’invasion et la piètre résistance des corps auxiliaires germains réfugiés dans des castella et des burgi ne permirent plus de faire obstacle aux pressions barbares. Déjà vers 390, l’empereur Gratien avait transféré sa cour de Trèves à Milan et déplacé la préfecture des Gaules à Arles. Au départ de Cologne, les Francs Ripuaires empruntent la chaussée romaine et arrivent dans la région de Bitbourg et d’Echternach. Ils s’étendent dans les vallées de la Moselle et de la Sûre avant de continuer

d’Angleterre, en Espagne) On parle de Prince parce que le droit romain parle de prince. La règle du digeste fonde la puissance législative des rois. « Qual princeps placuit legis habet vigorem » (ce que le prince veut à force de loi) 313 : L'édit de Milan ou édit de Constantin, promulgué par les empereurs Constantin Ier et Licinius en avril 313, est un édit de tolérance par lequel chacun peut « adorer à sa manière la divinité qui se trouve dans le ciel » ; il accorde la liberté de culte à toutes les

siècle. La première église chrétienne apparaît à Lyon. Le premier évêque, Pothin, en 177, aurait été martyrisé (son existence n’a jamais été prouvée). En revanche, son successeur Irénée est un personnage historique, c’est un jeune prêtre originaire d’Asie mineure et il est connu comme étant celui qui a évangélisé la Bourgogne. Au 3e siècle, les communautés chrétiennes se multiplient. Au milieu du 3e siècle, Reims possède ainsi un évêque. Mais, pendant un demi-siècle, les Chrétiens ne sont qu’en sursis

on a pensé qu'elle devrait ainsi être considérée, non comme un hérôon ou un trésor, mais comme un temple[6]. Exploration, fouilles En 1723, le moine bénédictin et philologue classique Bernard de Montfaucon encourage Angelo Maria Quirini, nouvel archevêque de Corfou, à rechercher et fouiller les sites olympiques, mais Quirini n'y donne pas suite. Le site archéologique est finalement redécouvert en 1766 par Richard Chandler, helléniste et archéologue britannique. Johann Joachim Winckelmann, fondateur

emprunte certains traits à la démocratie communale s’instaure dans les villes d’Italie du Nord, en pleine renaissance économique, politique, juridique. Les artisans, compagnons d’arts et compagnons d’armes, se groupent sous le nom de popolo, à Bologne, Milan, Florence. Ils obtiennent un partage du pouvoir communal avec les nobles et les bourgeois, l’égalité fiscale et judiciaire, la rédaction de la coutume[38]. Les théologiens s’intéressent à la philosophie politique. Saint Thomas d’Aquin

nomme un juge, simple citoyen. Quand ce juge rend ça sentence, il fini sa fonction (il n’est plus juge). Le censeur (sont d’anciens consuls) n’a pas de pouvoir de direction ni de pouvoir d’imprerium. Il est chargé d’établir la liste de recensement des citoyens et la liste de sénateurs et les classe (fortune, famille, valeur morale). Répartition des citoyens dans des catégories pour les rassembler (les centuries : groupe de classe, le vote se fait par centurie). Ils sont répartis en tribus. Les censeurs

moyen age . L'ancien testament fourni a l'empire carolingien puis au royauté franc un fondement théorique. A la cour des rois franc, le démantèlement de l'empire, les évêque ne vont pas cesser de montrer au rois le modèle de la royauté d'Israël. Qui va permettre aux évêque un caractère quasi religieux. (L'onction pour les roi et les évêque (Charles 10 héritage de l'ancien testament). L'héritage grec, romain est une source pour nos système actuel. La Grèce et son organisation atteigne leur apogée entre

reconnu dans tous l’Empire. C) la reconnaissance du christianisme L’édit de Milan : Au cours de l’hiver des années 312-313, Constantin se réuni à Milan avec Licinius pour y tenir une série de conférences sur l’administration de l’Empire. Le principal résultat de ces conférences est la reconnaissance officielle du culte chrétien et le christianisme devient donc une religion licite. On l’appel abusivement l’édit de Milan. Les biens confisqués aux chrétiens sont restitués et il s’installe une politique

nourriture et du bois de chauffage, ce que Mantegna accepte en échange de peindre des fresques, des panneaux et de remplir d'autres fonctions ( comme tenir compagnie au cardinal Francesco Gonzague, ou peindre pour d'autres princes comme chez les ducs de Milan : chez ces derniers, Mantegna négocie également en proposant une madone en lieu et place d'une peinture en petit format, qu'il juge comme davantage le travail d'un enlumineur ). Dans les faits, sa situation n'était pas aussi bien réglée : son salaire

d’Italie, Emmanuel, à Rome en avril 1904 qui entraîne la protestation du pape : selon lui, un chef d’état de nation catholique comme la France ne peut pas admettre la perte de Rome par le pouvoir pontifical. 2) Convocation par le Vatican de 2 évêques français sans l’accord du gouvernement français pour proposer leur démission à cause de leur engagement républicains. ( Conséquence : 4 septembre 1904 = discours d’Auxerre d’Emile Combes qui propose le « divorce » de l’Eglise et de l’Etat. La Ligue