Limites De La Désinflation Compétitive

Intro: Pourquoi mener une politique anti inflationniste? Chiffres: depuis 1982, phase de désinflation en France L'inflation montre des effets positifs sur l'économie: · L’inflation encourage l’investissement et la consommation car : § Les ménages anticipent les hausses de prix et consomment plus rapidement, § Le coût du crédit baisse car la monnaie se déprécie · L’inflation réduit les déficits publics car la hausse des prix entraîne une hausse des recettes fiscales Elle engendre

cumulatifs susceptibles d’engendrer déflation et dépression éco et leurs conséquences sur le chômage de masse. Acquis de première : Inflation Chômage D globale Politique conjoncturelle : monétaire et budgétaire Terminale : Fluctuations éco Crise éco Désinflation Déflation Dépression Croissance potentielle INTRODUCTION Les crises ont changé de nature depuis le XXème siècle avec le dév du capitalisme : L'existence de crises éco est bien antérieure à la révolution industrielle * Sous l'Ancien Régime : crise

doivent défendre la valeur de leur monnaie par rapport à toutes les autres. Comme les cours officiels sont définis sur une base bilatérale, un pays qui atteint les limites de la marge de fluctuation autorisée n'est jamais seul. Si le franc atteint la limite autorisée vis-à-vis du mark, le mark est bien évidemment lui aussi à un seuil limite. Ce sont donc 2 banques centrales qui doivent intervenir pour éviter un écart excessif (alors que dans le cadre du serpent, seule la banque centrale du pays qui

afin de passer à la monnaie unique dans de bonnes conditions (on a parlé de « critères de Maastricht »). * Les pays devaient éviter les déficits publics excessifs, le déficit budgétaire devait rester en deçà de 3% du PIB. * Les pays devaient limiter leur dette publique à un seuil inférieur à 60% du PIB. * L’inflation ne devait pas dépasser de plus de 1,5 point les trois meilleures performances au sein de l’Union. * Les taux d’intérêt à long terme ne doivent pas excéder de plus de 2 points

troisième année consécutive de faible croissance dans la zone euro. Les premiers chiffres de mars, en matière de ventes de détail sur la zone, dévoilés hier, sont préoccupants avec un recul de 1,2 % sur le mois et de 1,6 % en un an. Victime de la désinflation et menacée même, dans certains pays comme l'Allemagne, de déflation, l'Europe attend ce geste de la BCE alors même qu'elle doit voir l'un de ses membres les plus importants et les plus atypiques - la Grande-Bretagne - décider si elle rejoint ou

d’équilibre de sous-emploi. L’Etat intervient pour essayer d’atteindre le plein emploi. La politique monétaire doit jouer un rôle d’accompagnement. Il n’y aura pas de relance si la politique monétaire n’engendre pas une hausse de la demande. Les limites sont donc l’endettement cumulatif qui correspond à l’effet boule de neige, l’inflation, la dégradation de la balance commerciale. Les keynésiens luttent contre le chômage même si l’inflation apparaît. Friedman veut d’abord lutter contre l’inflation :

c'est la reprise de la croissance européenne et ralentissement de la consommation intérieure, les raisons structurelle, c'est le retour de la compétitivité des produits Français Cette compétitivité prix résulte d'une politique de désinflation compétitive fondée sur la désindexation des salaires sur les prix ce qui a provoqué une rigueur salariale donc des coûts de production maintenus et donc des prix compétitifs. Cette compétitivité hors prix résulte d'une amélioration de la qualité des

produits étrangers doit baisser si les prix augmentent (l'élasticité-prix des importations doit être forte). Enfin, la politique de « dévaluation » ne peut réussir qu'à la condition que les autres pays ne pratiquent pas une politique similaire. 1.4 Les limites actuelles des dévaluations: l'inflation On observe désormais dans les pays occidentaux un effet important et néfaste des dévaluations : celles-ci favorisent l'inflation. Avec l'incompressibilité de certaines importations, si nécessaires que leur

produits étrangers doit baisser si les prix augmentent (l'élasticité-prix des importations doit être forte). Enfin, la politique de « dévaluation » ne peut réussir qu'à la condition que les autres pays ne pratiquent pas une politique similaire. 1.4 Les limites actuelles des dévaluations: l'inflation On observe désormais dans les pays occidentaux un effet important et néfaste des dévaluations : celles-ci favorisent l'inflation. Avec l'incompressibilité de certaines importations, si nécessaires que leur

monde - l’évolution du chômage dans les PDEM depuis le début des années 1970 - Vous étudierez les transformations de l’investissement des entreprises depuis les années 1980 dans les PDEM - Vous ferez le bilan de la politique de désinflation compétitive en France • L’analyse de l’aspect d’un phénomène On peut distinguer deux grandes situations : les questions qui portent sur l’amont et celles qui portent sur l’aval. Question « amont » ► notion (causes, déterminants) Exemples :