Limites De La Discrimination Positive

Chapitre 5 La discrimination à l’embauche : Comprendre le phénomène et le combattre Julie Collart, Stéphanie Delroisse et Ginette Herman 1 Table des matières 1. INTRODUCTION..........................................................................................................................4 2. QU’EN EST-IL DE LA DISCRIMINATION À L’EMBAUCHE ? MISE EN ÉVIDENCE..............7 2.1. Qu’est-ce que la discrimination ?................................................................

l'exercice de l'autorité parentale illustre ce principe. La non-discrimination Discriminer, c'est traiter différemment des personnes dans la même situation. Le principe d'égalité implique donc la non-discrimination. Le droit fixe des critères de discrimination (la race, la religion, le sexe.) et autorise même dans certains cas la discrimination positive pour rectifier des situations de départ inégalitaires. La loi réprime la discrimination dans les situations de la vie sociale. La liberté Définition

Aspects déontologiques de la GRH 1. NOTIONS DU COURS Les valeurs :Finalité idéale et attendue par un groupe collectif Un principe abstrait : l’honneur Un comportement : fournir un effort Un objet : l’argentLes valeurs de l’entreprise : La déontologie représente un ensemble d’exigences et de règles propres à un domaine particulier ou une profession. Ces règles sont établies sur un socle de valeurs morales et de normes éthiques

Egalité des chances : la situation acquise par un individu ne dépend pas de celle de ses parents (idéal à atteindre) ; faire en sorte que personne ne soit entravé par ses origines dans le développement de ses talents b) Limites |( doc 3, p. 169, q. 1 et 2 ( |( doc 4, p. 169, q. 2 et 3 ( | 4) l’égalité des situations Les revendications d’égalité vont s'étendre

La non-discrimination à l’embauche SOMMAIRE Page 3: Introduction, Problématique, Annonce du plan Page 4: Le principe de la non-discrimination à l’embauche Page 6-7: Définition de la non-discrimination à l’embauche Page 8 : Les risques et les sanctions encourues Page 10 : Conclusions Annexe : Page5 : document 1(Extraits du code du travail) Page 9 : Document 2 (Extraits du code du travail) INTRODUCTION Ce sujet m’a interpellée car dans les informations j’ai constatée qu’il y a beaucoup de chômeur

est de limiter le pouvoir de l’Etat, en particulier d’éviter l’arbitraire de l’Etat. La doctrine Judéo-chrétienne a aussi pour idée que chaque homme a des prérogatives. Ecole de droit naturel : a joué un rôle très important dans le développement des droits de l’homme. Elle a existé de 1625-1750. Ces penseurs croyaient en droits naturels que chaque homme a quant à son corps et ses pensées. « Magna Carta » : Au Royaume-Unis, en 1215, il s’agit d’une grande charte qui essayait de limiter le pouvoir

l’exercice de l’autorité parentale illustre ce principe. 1.2 La non-discrimination Discriminer, c’est traiter différemment des personnes dans la même situation. Le principe d’égalité implique donc la non-discrimination. Le droit fixe des critères de discrimination (la race, la religion, le sexe…) et autorise même dans certains cas la discrimination positive pour rectifier des situations de départ inégalitaires. La loi réprime la discrimination dans les situations de la vie sociale. 2. La liberté 2.1 Définition

exister et les moyens envisagés pour les résoudre. Pour ce faire il nous faut envisager le principe d’égalité du service public vis-à-vis des usagers dans son aspect global et dérivé (I), et envisagé par la suite ce que nous pourrions qualifier de discriminations légales (II). I. La mise en œuvre de l’égalité par le service public Aujourd’hui l’égalité des usagers devant le service public nous paraît chose banale, mais son origine ainsi que son application concrète n’en sont pas moins intéressant

de la Constitution qui pose le principe de l’égalité des droits entre hommes et femmes dans tous les domaines. On constate une prise de conscience au niveau européen dès 1950, où la Convention Européenne pose le principe général de non discrimination entre hommes et femmes. En France, les femmes obtiennent en 1966 le droit de travailler sans avoir l’accord de leur mari. Ces deux derniers évènements entraîneront la création de deux lois successives en France, en 1972 et 1975, quant à l’égalité

États-Unis à une remise en cause quasi généralisée des politiques dites de discrimination positive, qui ont pourtant été un des piliers de la lutte contre les discriminations. Certains ont voulu faire croire que cet abandon se passerait désormais sans dommages pour les minorités raciales, c’est exactement l’inverse qui se produit. Où en est-on dans l’enseignement supérieur ? ux États-Unis, l’affirmative action (« discrimination positive ») désigne un ensemble de pratiques consistant à accorder aux membres