Limites De L Arret Blanco

droit qui faisaient des compilations de droit. Le chef d’œuvre absolu de la codification est celle de Jean Domat et Robert-Joseph Pothier. Il n’existe rien de semblable en droit administratif et il n’ya pas de code administratif. C’était donc les arrêts du Conseil d’Etat qui tiennent lieu de loi. Dans le cas d’une affaire, on regarde si le problème s’est déjà produit. S’il s’est produit, on regarde la décision rendue par le Conseil d’Etat et on s’y tient. Cette situation dure environ jusque dans

Doctrine a lire TD / AJDA : revue rouge = en ligne / fiche de jurisprudence : allégement 1 ère séance , AJDA 2005 : document 6 arrêts 1 articles de la constit. AQPC (2011) dissertation : le juge administratif , juge constitutionnel ?? Interrogation écrite (rapide) 20 minutes : question de connaissance, semaine du 19 novembre. Samedi matin 10 novembre 9h A 10h dans l’amphi 5001 et 300 === QCM EVAL Introduction : l’objet du droit administratif Paragraphe 1 : la définition du droit administratif

Les conditions qui tiennent au requérant. En effet, il n'est pas nécessaire pour former un recours pour excès de pouvoir de se prévaloir de la violation d'un droit par l'administration. Il suffit d'invoquer un intérêt simplement froissé. Ex : Arrêt Casanova (29 Mars 1901, Conseil d'Etat). Un Conseil municipal en Corse avait créé un service public de médecine. Contribuable de la commune, M.Casanova n'était pas médecin, et il a attaqué devant le Conseil d'Etat la décision du Conseil municipal.

droit administratif est l’ensemble des règles définissant les droits et obligations de l’administration, c'est-à-dire le gouvernement et l’appareil administratif ». Droit centré sur l’appareil étatique. C’est la manière de soumettre l’Etat à des limites qui est le droit. Cela ne signifie pas que le citoyen et même l’administré ne sont pas concernés, bien au contraire. Ce droit n’existe pas partout, par exemple au RU ou en Allemagne. Le droit administratif n’est pas basé sur les mêmes fondements.

Droit administratif les grands arrêts de la jurisprudence administrative GAJA Introduction : Le droit administratif a des bases constitutionnelles. C'est un droit essentiellement jurisprudentiel. Cependant progressivement la loi se substitue au juge. Nous allons étudier le droit qui traite de l'action administrative. Section 1 : qu'est ce que le droit administratif ? A priori le droit administratif peut être définit comme le droit de l'administration, régissant les rapports internes entre les

l'objectif de réparation (TIG). La responsabilité administrative est l'obligation qui incombe en général à une personne morale de droit public de réparer le dommage qu'elle a causé. Même si cette responsabilité connaît des traits spécifiques depuis Blanco on a une unité d'inspiration qui relie la RA et la RC. La responsabilité du transporteur de voyageur par chemin de fait. Une partie de la doctrine moderne le concept même de Responsabilité contractuelle (RC). Les principaux auteurs de cette

recours à ce 2ème critère La PJ s'exerce sous le contrôle du juge pénal, alors que la PA s'exerce organiquement sous la direction de l'autorité administrative (qui donne les ordres, surveilles, intervient) Ce critère organique connaît pourtant des limites et des difficultés d'organisation, ce sont souvent les mêmes policiers qui exercent les missions de PA et de PJ Un policier surveille la circulation à un carrefour → opération de PA, pour éviter les gens d'aller trop vite... Si un véhicule klaxonne

Jean Le Coq (XIVe s.) à Jean Papon (XVIe s.) La question des arrêts de règlement Le développement du Common Law Critique en théorie La notion de « jurisprudence » chez Furetière (1690) Les juges « bouches de la loi » selon Montesquieu La prohibition des arrêts de règlement par l’Art. 5 C. civ. B. La jurisprudence « de droit », invention du XIXe siècle 1. Une pratique des juges reconnue par les juristes La jurisprudence des arrêts, pratique discutable (C.-J. de FERRIÈRE, 1769) PORTALIS, Discours

création, et ne peuvent exercer que cette mission spécifique. Ils disposent alors de compétences clairement délimitées et énumérées, qui leur permettent de réaliser la mission de service publique dont ils ont été investis. Par ailleurs, dans un arrêt du 19 novembre 1975, le Conseil d’État précise que cette spécialité de l’établissement public s’impose aussi bien à l’établissement qu’à la personne publique sous laquelle il est placé. Ce principe de spécialité est une contrainte, puisque les activités

sans limite après l'affaire Cadot qu'il a tranché le 13 décembre 1889 (Malgré l'absence de texte de lois pour juger d'un litige entre l'administration et Mr Cadot qui été administré, le conseil d'état a quand même juger ce contentieux) Cet arrêt Cadot est le plus important de l'ordre administratif. À partir de cette date, le conseil d'état a une compétence générale, il peut juger de tous les recours contre l'administration sauf si un texte dit le contraire. C'est ainsi que depuis cette arrêt nous