Limite Du Théâtre

Dissertation « Les aspects comiques d’une pièce de théâtre ne servent-ils qu’à faire rire ? » La comédie à toujours été un moyen amusant de divertir le public, de le faire rire à travers différent aspects. En revanche, la comédie a bien souvent une signification plus profonde qu’elle en a l’air, en effet elle vise aussi à faire réfléchir le spectateur à travers un message bien précis. Ceci nous laisse à réfléchir : les aspects comiques d’une pièce de théâtre ne servent-ils qu’à faire rire ? Dans un

langue courante, à celui qui n'agit pas, qui n'intervient pas, qui reste dans la passivité confortable de l'observateur face aux drames qui se jouent devant lui. Pourtant, lorsqu'il s'agit de théâtre, à bien y réfléchir, le spectateur est un élément essentiel de la représentation : sans public, pas de théâtre. Dès lors, dans quelle mesure est-il partie prenante de la représentation théâtrale? Il s'agit de réfléchir aux différents degrés d'implication du spectateur, mais aussi des spectateurs en

sortes de divertissements permettent de subvenir à ce besoin notamment en littérature. On peut distinguer au théâtre un genre qui se définit par sa capacité à faire rire le lecteur, ou le spectateur : la comédie. On peut pourtant être amené à réfléchir sur les réelles fonctions de ce genre théâtral comme le fait remarquer Jacques Lassalle en proposant de faire graver au fronton de tous les théâtres la formule « C’est ce qui est le plus drôle qui est le plus profond. » Il est vrai que la comédie est souvent

(à l’inverse de ce qui se passe à la Cour) mais la vue : on se voit pour se jauger : a-t-il plus ou moins que moi ? son « équipage » (très important dans tout le chapitre) est-il supérieur au mien ?On se parle sans rien se dire : on est « sur le théâtre » (3), car il faut parler non pour celui qui écoute mais pour les passants. Et La bruyère de dénoncer ces contacts qui n’en sont pas.Même absence de sociabilité chez Narcisse (cf. texte expliqué) ou encore dans le fragment 20 où est décrite une suite

succèdent et changent sans cesse : « Notre pensée est encore plus variable que notre vue ». Hume compare alors le moi à un théâtre (« une sorte de théâtre »). Le moi est un théâtre où se succèdent les perceptions (ex : chaud / froid), où elles repassent plusieurs fois. Les perceptions changent sans cesse : elles entrent et sortent comme des personnages sur une scène de théâtre. Cette image utilisée par Hume sert à appuyer l’idée qu’il n’y a pas d’unité, que rien ne reste le même : « Il n'y a pas un

ni autour d’une piste circulaire mais il peut également se dérouler sur des scènes de théâtre ou dans la rue. - Disparition des numéros de dressage et du personnage systématique de Monsieur Loyal - Le spectacle est conçu comme étant une seule et même histoire et non plus une succession de numéros sans lien entre eux - Le cirque s’ouvre vers d’autres disciplines qui sont intégrées dans les spectacles : théâtre, danse, arts de la rue, vidéo, marionnettes…) C’est ce qu’on appelle « le cirque nouveau

même parfois d’illusion. Au théâtre, il s’agit “d’emboîter” le théatre dans le théatre. Dans “Les acteurs de bonne foi”, Marivaux écrit une pièce de théâtre dans laquelle les personnages mettent eux même en scène une pièce. L’intérêt de la pièce repose principalement sur ce jeu qu’entretient Marivaux avec son lecteur. Il s’agit donc ici de montrer comment cette scène est-elle représentative du jeu d’illusion au théâtre c’est a dire montrer en quoi parfois au théâtre, et grâce a certains procédés

le théâtre, 1963 « Depuis toujours, l’affaire du théâtre, comme d’ailleurs de tous les autres arts, est de divertir les gens » « aux constructeurs de la société il (le théâtre) expose les expériences vécues par la société, celles du passé comme celles du présent, et cela de manière à faire une jouissance des sensations, aperçus et impulsions que le plus passionnés les plus sages et actifs d’entre nous tirent des événements du jour et du siècle ». Bertolt Brecht, Ecrits sur le théâtre, 1963

politiques et idéologiques, ont abondamment utilisé le théâtre comme moyen de transmission de leurs idées. Ce théâtre engagé, issu des théories de Brecht, vise à faire réfléchir le spectateur sur le monde, voire à l’embrigader. Louis Jouvet, dans ses Témoignages sur le théâtre en 1952, réagit contre cette forte contamination du théâtre de son temps par le discours didactique, en opposant deux modes de réception du spectacle théâtral : « Le but du théâtre ne peut pas être une recherche d’ordre intellectuel

et sportives deux heures par jour, séances orchestrées par un professeur de sport – thérapeute. Ces activités font parties intégrantes d’une thérapie emmenant le toxicomane vers la réintégration sociale. Aussi, des pratiques artistiques, telles le théâtre, peuvent apporter des solutions prouvant que le corps est réhabilitable d’une manière différente et peut-être plus adaptée. Néanmoins, l’une des particularités du toxicomane est que son rapport au corps est difficile, du fait qu’il s’en servait