Lieu de mémoire

Annie Ernaux, Les Années - khôlleAnnie Ernaux, Les Années (p.28,29) Selon Emmanuel Bouju, dans les Années, “on” n’est pas un pronom personnel neutre. “C’est un collectif qui assure la continuité entre ces divers arrêts sur la mémoire”. En effet Ernaux se sert du “on” à la fois pour évoquer un souvenir collectif”/impersonnel au même titre qu’une expérience toute personnelle/individuelle : le résultat en simultanéité permet de rendre compte à la fois d’un souvenir personnel (douleur de l’opération

et diffère quelque peu pour les renvois préjudiciels. Elle est inquisitoire (les juges pouvant ordonner des mesures d’instruction, sous la forme de renseignements, preuves par témoins, expertises, descente sur les lieux), contradictoire (tous les mémoires et documents produits par une partie sont transmis à l’autre partie), mixte (une phase écrite suivie d’une phase orale) et gratuite (les parties ne doivent supporter en principe que leurs charges et frais d’honoraires et/ou ceux de l’autre partie

Comment rédiger une bibliographie Quand un chercheur soumet un article à un journal scientifique, il doit suivre des règles très strictes pour la rédaction de sa bibliographie (style propre à chaque revue). Pour l’étudiant qui doit présenter son mémoire ou pour les doctorants c’est lui qui choisit sa présentation (s’inspirer des revues). Il n’y a pas 1 seule règle de présentation bibliographique, mais plusieurs ! Se tenir à 1 seule façon de faire et ne jamais changer de présentation au cours

Christian Boltanski Réserve : Canada (1988) 1/ Présentation générale de l'oeuvre : Titre : « Réserve : Canada » Nom de l'artiste : Christian Boltanski Date : Dès 1988 Dimensions : Les trois murs d'une pièce Lieu d'exposition : Toronto Type d'oeuvre : Installation Matériaux : 6000 vêtements usagés, lampes de bureau à pince 2/ Analyse descriptive : Ce qui est présenté : Boltanski nous présente ici des milliers de vêtements de couleur vive ayant appartenus à des personnes anonymes _des « enveloppes

aborde en priorité sous forme d’un postulat que la conscience dite médiate ne s’exerce plus lorsqu’il n’y a plus présence du choix mais en revanche s’enthousiasme avec ce dernier. Puis il l’illustre : en premier lieu avec la conscience des mouvements qui dans l’exercice s’efface… en deuxième lieu lorsque la conscience réfléchie s’accroit quand elle est confronté au choix, et pour conclure sur l’idée que conscience est égale à choisir. « Il me parait donc vraisemblable que la conscience, originellement

silence: la mémoire des déportés juifs rencontre l’indifférence chez une partie des Français. En effet, la mémoire peut retenir ou au contraire exclure certains souvenirs, ce phénomène correspond donc aux problèmes rencontrés dans la formation d’une mémoire collective . Ainsi c’est un processus sélectif et variable, qui diffère selon les individus: il n’y a rarement qu’une mémoire mais des mémoires d’un même événement. Comment après avoir rencontré longtemps l’indifférence, la mémoire de la Shoah

Chapitre 4 : gestion de la mémoire Introduction LA mémoire principale est le lieu où se trouvent les programmes et les données quand le processeur les exécute. On l'oppose au concept de mémoire secondaire, représentée par les disques, de plus grande capacité, où les processus peuvent séjourner avant d'être exécutés. La nécessité de gérer la mémoire de manière optimale est toujours fondamentale, car en dépit de sa grande disponibilité, elle n'est, en général, jamais suffisante. Ceci en

 Période : XXIe siècle Thématique : Domaine : Piste d'étude : Arts , Etats et pouvoir : arts du visuel , arts de l’espace Lʼoeuvre dʼart et la mémoire Comment un artiste contemporain sollicite dans son œuvre à la fois la mémoire individuelle et la mémoire collective (l'histoire personnelle et la grande Histoire ) Christian BOLTANSKI : « Personnes » Artiste Christian Boltanski (artiste français né en 1945) Titre et date « Personnes » du 13 janvier au 21 février 2010 technique

Comme telle, elle ne suppose rien d’autre que le recours à une mémoire collective, recueillie par l’historien dans des documents et témoignages du passé. Pourtant, si la mémoire consiste bien à situer un événement dans le temps, à le reconnaître comme passé et à le conserver, elle n’est pas nécessairement fidèle à l’événement lui-même, ne le restitue jamais tel qu’il s’est produit – tout particulièrement lorsqu’il s’agit d’une mémoire “ héritée ”. Or l’historien vise à recomposer l’histoire avec

Faut-il enterrer le passé ? Voilà une question problématique; car, à vrai dire, que signifie cet acte d'enterrer ? Est-ce enfouir sous terre pour ne plus voir, ou bien donner sépulture ou stèle en mémoire de ce passé ? A première vue, on aurait affaire à une volonté d'oubli du passé; mais quel passé, est-ce les bons pou les mauvais souvenirs qui doivent être oubliés ? Non, là n'est pas le problème, la nature des souvenirs n'a pas de réelle importance; ce qu'il est nécessaire de savoir, c'est