Libre-Esprit

SUJET : Est-on libre de penser ? Suis-je libre de penser que 1+1=11, alors que je sais pertinemment que 1+1=2 ? La réponse logique est non. Penser une telle chose serait se mentir à soi-même et faire preuve de mauvaise foi. Cependant, si j'avoue ne pas pouvoir penser de manière illogique, j'avoue en même temps que ma volonté de penser ce que je veux est limitée et entravée par certains principes établis de la logique ou de la morale par exemple. C'est là que se pose alors une question fondamentale

donnés à l’école primaire et qui forment le civisme. En effet, derrière la loi, il y a une morale ; alors pourquoi renoncer à cette consolidation de la loi dans les esprits ? Afin de nous sortir de ce mauvais pas, de ce choix impossible – puisque les deux branches de l’alternative sont défendables – nous examinerons l’articulation entre libre-arbitre et liberté politique ; puis nous nous pencherons sur le danger de la propagande d’une classe faite au détriment des autres classes ; et enfin, nous verrons

histoire de mise à distance entre nos passions et nos affects. La quiétude de l’âme (ataraxie, philosophie stoïcienne) est troublée par les affects, passions et désirs. Ces passions qui viennent troubler notre âme sont appelées par Descartes « les esprits animaux ». D’après lui, « L’âme n’est pas comme un pilote dans son navire », le navire étant le corps. Si qlq chose se rompt dans le navire, le pilote en a une simple perception. Tandis que si qlq chose se rompt dans le corps l’âme en souffre, elle

chargeons sans répit d'occupations et d'acitivités superflues. La méditation, elle, est l'exact opposé. Méditer, c'est rompre complétement avec notre mode de fonctionnement "normal". C'est un état libre de tout soucis et de toute préoccupation, exempt de toute compétion, désir de possession et saisie dualiste, libre de lutte intense et angoissée, et de soif de réussite. C'est un état dans lequel nous relâchons peu à peu, dans l'espace de la simplicité naturelle, les émotions et les concepts qui nous emprisonnaient

La distinction entre âme et corps, esprit et matière diminue peu à peu. De plus en plus, on créée des machines très performantes, et au cours du temps la science arrive à expliquer le mécanisme de l’homme. Nous avons deux principes vitaux : notre esprit pensant et notre corps matériel. Soit les deux sont confondus, soit l’un domine l’autre. C’est un grand combat entre mécanicistes et vitalistes. Mais certaines choses qui sont en nous sont difficiles à expliquer par une pensée ou l’autre : notre

influencent notre agir sans pour autant que notre agir dépende absolument de nos états psychologiques inconscients. Le problème que pose l’existence d’états psychologiques inconscients est celui de la liberté réelle de nos actions. S’il existe dans notre esprit des états dont on n’a pas connaissance, cela veut dire qu’ils échappent à notre maîtrise, donc cela nous empêche d’agir de manière délibérée. Est ce que j’agis grâce à des ressorts mécaniques qui vont déterminer absolument mon action (influencer et

« s’amusait » , « pouvais » , « voulais ») dans ce passage est au passé qui marque bien que les actions sont finies et datées, de plus nous noterons un regret palpable : « j’étais un homme comme les autres » , « je pouvais penser à ce que je voulais, j’étais libre ». Puis il repense à sa situation actuelle, d’où l’idée de torture puisque « cette pensée », cette « conviction », cette « certitude » est revenue comme un boomerang. Et cet effet est accentué par la gradation de « pensée », de « conviction » et de

dangereuses. Tout d’abord, dans la Lettres persanes, Roxane est représenté comme une femme libre, grâce à sa parole comme nous le suggère le registre lyrique de la ligne 3 ‘Je vais mourir’, elle veut mourir, elle n’a plus de vie puisque le seul homme qui est la raison de sa vie l’a quitté. De plus, elle est libre dans son esprit et son cœur, comme nous le montre le champ lexical de la liberté ‘Permettre’, ’libre’, ‘esprit’, ‘indépendance’, ‘courage’ et l’allitération en v, ligne3 ‘ Je vais mourir; le poison

une vie libre et intense fuir la prison et combattre. INTRO Argument théorique Questions de l’esprit humain réflectif La P se distingue de la math et science = expérimenter et observer, mais la P est la pensée Se pratique en argumentant mettre des idées à l’épreuve Le principe de la P est de se questionner et de comprendre des idées courant. Qu’est-ce que le temps? Qu’est-ce qu’un nombre ? 9 Problèmes La connaissance du monde hors de nos esprits La connaissance d’autres esprits que le notre

La liberté en effet permet de dire non à presque tout ce que l’on souhaite, mais ce n’est pas parce que l’on dit non qu’on est forcement libre on peut toujours être libre et dire oui. Mais malheureusement le fait de dire non peut parfois amener des problèmes. La liberté peut donner le pouvoir de dire non, mais après réflexion, être libre c’est avoir une liberté de pensée même si elle ne permet pas forcement la liberté d’expression. Pour André Gide « Choisir C'est renoncer » c'est-à-dire