Lexique De La Souffrance

l’aspect répétitif et par là même aliénant de leur tâche. La présence d’un lexique..se rapportant à l’obscurité avec des termes tels que « ombre », « sombre », ……… » n’est pas sans nous renseigner cette fois-ci sur l’ambiance qui règne dans leur lieu de travail qui sera successivement désigné par les images(métaphores)suivantes : « prison », « bagne », « enfer ». Ces termes présentent une gradation de l’idée de souffrance et enfermement mise en rapport avec le monde de l’usine de l’époque. Nous allons

Problématique : / Plan : I-Un tableau saisissant de la déroute de l’armée A. Description réaliste et historique du champ de bataille B. Mise en scène de la mort (théâtralisation) II-Une implication du lecteur et du narrateur A. Evocation de la souffrance des soldats dans un registre pathétique (lecteur) B. Une critique de Napoléon (narrateur) I- Un tableau saisissant de la déroute de l’armée A. Description réaliste et historique du champ de bataille relique, précision historique / encrage

taille III. Évocation de la condition ouvrière 1) La pauvreté de la population - « la misère en pleurs » = pauvreté + souffrance, tristesse + « guenilles » - « quartiers rouillés » → dégradation « caries », « flore pale et pourrie » → misère qui se lit dans les habitations, idées de maladies - travail incessant : « le jour, la nuit » 2) L'alcoolisme - lexique : « bars », « flacons », « pintes » etc. - flacons fols : métonymie, rime ac alcool : effet sur les personnes. - miroirs hagards :

libération de l'imagination, de la sensibilité et de la langue. Le romantisme privilégie notamment l'expression du Moi et les thèmes de la nature et de l'amour. Auteurs romantiques : Hugo, Lamartine, Vigny, Musset Thèmes récurrents : le moi en souffrance (explosion des sentiments, nostalgie de moments regrettés, ....), les passions, la nature, la fuite du temps, la spiritualité, etc. Deux notions sont indissociables du Romantisme : le lyrisme et l'engagement. Le registre lyrique (le lyrisme)

2 mai 1857, à peu près oublié : il est enterré dans la discrétion au Cimetière du Père-Lachaise. Analyse : * Alfred de Musset y parle des sentiments, émotions personnelles . Ses thèmes de prédilections sont la douleur, la solitude, la souffrance, l’incompréhension,.. et bien d autres. On retrouve dans son œuvre des traces du Mal du siècle , des themes recurrent : la nature, la déception, la frustration, mal aise, la mélancolie, la solitude et la fuite du temps. Son double est la solitude

temps et l’accuse de lui gâcher tous les beaux souvenirs qu’il voudrait éterniser. Lamartine évoque ce sentiment de révolte contre lui le traitant de « Jaloux » (v.37) et d’envieux, lui qui lui a volé son plus beau souvenir, et ce, par l’emploi d’un lexique péjoratif et dévalorisant « engloutissez (V.46), ravissez (V.48)… ». Cette haine, éprouvée envers le Temps est de même soulignée par la cadence du v.43 marquée par un rythme binaire « Ce temps qui les donna, ce temps qui les efface ». Le poète déplore

d’exposer une morale ? I) Réquisitoire d’Alceste : Structure, tirade en forme de fable : * v.1 à 6 : thèse haine qu’il ressent envers l’H * v.6 à 24 : histoire du scélérat exemple de type qui définit tout les H * v. 24 à 27 souffrance, réaction, désir de fuir du monde + vers de synthèse Alceste, incarnation du Misanthrope * Champ lexical péjoratif, accusateur jugement, discours autoritaire * Termes déplaisants, insultants « scélérat, injuste excès » colère d’Alceste

Rejet et comparaison « car je ne te ressemble pas, moi «  Arlequin souligne la souffrance subie par l'esclave qui est injustifiable du point de vue moral, il fait appel à une morale chrétienne de la considération pour le faible.Il anéantit l'argument d'Iphicrate qui repose sur une finalité sociale et non morale Expression hyperbolique « tu n'as jamais su le tien pour moi, quand nous étions dans Athènes » cette souffrance subie par le valet est la garantie de son humanité, par expérience il n'a pas

l’Achéron ». En effet, celle-ci , par référence à la mythologie grecque souligne l’importance des victimes, ceci en un temps très court comme l’indique la précision temporelle « en un jour ». Cette épidémie entraîne des morts mais aussi beaucoup de souffrances comme le suggère le chiasme « ils ne mourraient pas tous mais tous étaient frappés » dans lequel le pronom indéfini « tout » est mis en évidence, prouvant que personne n’est épargné. Par ailleurs, le fléau apparaît aussi aux hommes comme une punition

Introduction : 4e poème Spleen de la série, comme le 4e mur qui emprisonne le sujet poétique. Le spleen atteint ici son paroxysme à travers des images qui sollicitent aussi les sens. Description de la montée progressive de lu désespoir et de la souffrance. Forme poétique : - 5 quatrains d’alexandrins : tragédie en 5 actes ; répétition, étouffement, forme moins légère et aérée qu’un sonnet - rimes croisées, alternance féminines/masculines : renforce l’idée de répétition, d’enfermement Structure syntaxique