Lexique Apreciatif

L'éducation sentimentale Flaubert Extrait du chapitre 1 de la première partie De "Ce fut comme une apparition" à "apparaissant dans le capot de l'escalier." Top of Form 1  Bottom of Form 1 Introduction Cet extrait de L'éducation sentimentale, roman de Flaubert, se trouve au premier chapitre de la première partie. Un jeune homme, Frédéric, rentre chez lui à Nogent. Sur le bateau il rencontre une femme mariée dont il tombe instantanément amoureux. On assiste à la naissance

Gustave Flaubert (1821-1880) est un des écrivains français majeur du XIX. Il est considéré comme un modèle par l’école réaliste, il accorde une place primordiale au style et à la perfection de l’écriture. Madame Bovary est l’un de ses romans les plus connus. D’autant que sa publication s’accompagne d’un procès. Ce roman met en scène le parcours désabusé et pathétique d’une jeune femme : Emma Bovary mariée à un médecin Charles Bovary. Elle ne parvient pas à échapper à la monotonie de la vie bourgeoise

si cruel devoir » L31 Phrases et expressions déclaratives exprimant la volonté de Chimène à se venger Notre analyse nous montre que Chimène a le sens du devoir car elle cherche à tuer l’homme qu’elle aime pour son honneur. Lexique « Va je ne te hais point » L7 Litote montrant que Chimène aime toujours Rodrigue. Notre analyse nous permet d’affirmé qu’il s’agit du champ lexical de l’amour qui nous révèle l’amour de Chimène pour Rodrigue bien que ce dernier est tué

de son corps « c’est le Diable qui tient les fils qui nous remuent » (vers 13) « chaque jour vers l’Enfer nous descendons d’un pas » (vers 15). On a donc l'image d’un homme sans volonté et dominé par le Mal. Cette volonté est caractérisée par un lexique laudatif « riche métal », tel une pierre précieuse, qui contraste avec l’importance de sa disparition. Dans le vers 5 « Nos péchés sont têtus, nos repentirs sont lâches », l’homme est incapable d’arrêter de commettre des péchés et ses repentirs ne

les signes surtout qui constituent le lexique (lexèmes), réservoir où le poète puise les mots de sa création.Mais l'usage poétique des mots est générateur de distorsions entre le sens qu'a le mot dans le lexique (par exemple le mot"rose" = "fleur"), et le sens que lui donne le poète dans son discours (par exemple : les roses de la vie = la jeunesse; "le temps a fané vos roses"=" vous avez vieilli "). Le poète utilise donc les mots du dictionnaire, du lexique, en leur donnant un sens différent; c'est

souverain qu’ils ne connaissent pas. Pourtant le prince n’entend pas ces objections et impose un « droit incontestable » (ligne 8). Mais, Voltaire a crée également une aventure sanguinaire. Ce conte devient alors un conte philosophique. En effet, le lexique de la guerre est présent avec les mots « mercenaires », « meurtriers » (ligne 12), « puissances belligérantes » (ligne 19), « s'attaquent » (ligne 21) et « exterminer » (ligne 23). L'auteur dénonce également une grande stupidité dans cette violence

Le Romantisme, principal mouvement du XIXème siècle, voit ses poètes exprimer leurs sentiments profonds et leur envie d’ailleurs. Victor Hugo, grâce à de nombreux recueils tels que Les Orientales, est l’un des plus grands auteurs de ce mouvement. Le poème Rêverie, écrit durant la jeunesse du poète, traduit son envie d’exotisme et de changement. Il est axé sur l’opposition entre l’aspect insipide du lieu réel et le désir d'évasion du poète. Ce poème, dans un premier temps, relate

police. Pb : En quoi le portrait dressé ici fait-il de Vautrin un personnage mystérieux ou énigmatique ? I) Texte présente à la fois un personnage fascinant et inquiétant Contradictions dans ce portrait : - Le physique massif et bestial = lexique descriptif révélateur : « Il était un de ces gens (…) phalanges »,« sa figure offrait des signes de dureté » + insistance sur la profondeur de son regard : « regard profond », « son œil semblait aller au fond de toute les questions ». - Indice de

I- Une lettre de surprise et d’admiration a- Une lettre d’un Persan dans la société Parisienne. Omniprésence du pronom personnel "je". deux groupes : tout le monde face à je : "tout le monde", accumulation : "vieillards, hommes, femmes, enfants, tous", pluriel : "les habitants de Paris", "des gens", "entre eux", notion de groupe : "la compagnie", "cercle", "une grande ville", "l’estime publique", etc., figures de style : "cent lorgnettes"… On peut noter l’absence de l’interlocuteur

forme) En effet, l'auteur fait une comparaison : « le jour pour moi // sera comme la nuit. », qui montre l'assombrissement de son esprit. Ceci contribue à créer une atmosphère peu chaleureuse, et plutôt sombre, lourde et triste. L'utilisation du lexique : « seul ; inconnu ; courbé ; croisées ; tombe ; bruyère », renforce l'ambiance triste du poème. En outre, l'expression : « le dos courbé », peut être interprétée comme le fait de subir une peine tellement lourde, qu'elle le fait plier. De la même