I- Une lettre de surprise et d’admiration a- Une lettre d’un Persan dans la société Parisienne. Omniprésence du pronom personnel "je". deux groupes : tout le monde face à je : "tout le monde", accumulation : "vieillards, hommes, femmes, enfants, tous", pluriel : "les habitants de Paris", "des gens", "entre eux", notion de groupe : "la compagnie", "cercle", "une grande ville", "l’estime publique", etc., figures de style : "cent lorgnettes"… On peut noter l’absence de l’interlocuteur, pas de "tu" ou de "vous". Le narrateur parle de lui et de son expérience personnelle à Paris où il évoque la population parisienne dans son ensemble. b- Deux entités qui s’observent et s’admirent. champ lexical de la vue (voir, regarder), métaphore, les personnes comme des yeux : "cent lorgnettes". "une curiosité qui va jusqu’à l’extravagance", "je ne me croyais pas un homme si curieux et si rare" (curieux a des sens différents, d’abord sur l’envie de voir/savoir, le second sur le fait qu’il est étrange, différent). Un narrateur qui admire : " les femmes même faisaient un arc-en-ciel". On note une certaine valorisation de chacun aux yeux de l’autre. c- Une exagération systématique et incomprise (cette admiration réciproque va trop loin selon le narrateur) : comparaison : "comme si j’avais été envoyé du ciel", abondance et omniprésence : plusieurs exemples de lieux différents : anaphore avec "si je…" des lieux : "si je sortais" "les Tuileries", "au spectacle", "mes portraits partout" "je me voyais multiplié dans toutes les boutiques, sur toutes les cheminées : "tant on craignait de ne m’avoir pas assez vu", "jamais un homme n’a été tant vu que moi", "troubler le repos d’une grande ville", "extraordinaire". surprise du narrateur et surprise des Parisiens. II- Un homme qui se cherche, évolution du sentiment a- Une insatisfaction : le narrateur n’est pas satisfait d’être exagérément mis en valeur. D’abord amusé : "je souriais", "chose