Les élites Des Cités

politique, tout son discours demeure centré autour de la cité. Aristote a aussi été le précepteur d’Alexandre le Grand, çà veut dire qu’Aristote est un philosophe contemporain de la disparition de la cité en tant qu’institution politique indépendante. Les cités grecques existent toujours mais non plus la capacité de s’imposer sur le champ de la politique internationale, elles sont assujetties à la puissance macédonienne. Pourtant Aristote reste par excellence, le philosophe de la cité, sauf qu’il n’a

trahissent. Pour cela, il se propose d’analyser les constitutions en dégageant l’ensemble des règles qui donnent à chaque société humaine une physionomie propre ; il examine également les problèmes du système éducatif ainsi que les relations entre les cités. Il s’intéressait de manière générale à l’étude de l’ensemble des institutions politiques de la Grèce de façon concrète, qui pour lui forme un tout. En ce sens, il distingue trois formes essentielles de gouvernement : la monarchie, où un seul commande

quatre fois par mois sur la colline du Pnyx. Il forme l'Ecclésia (assemblée en grec, un mot que nous retrouvons dans ecclésiastique et... Église). L'assemblée débat et vote à main levée les lois et les déclarations de guerre. Tous les ans, elle élit les stratèges ainsi que les neuf archontes en charge du gouvernement de la cité. Elle tire aussi au sort les magistrats parmi des volontaires de la classe la plus riche (le volontariat limite le risque d'incompétence). Cette prérogative est enlevée

2 grandes civilisations : - Les aztèques qui ont fondé l'empire des mexicas en Amerique centrale avec pour capitale Tenochtitlan qui deviendra mexico. Ils honorent le dieu de la guerre et du soleil par des sacrifices. - Les mayas constitués de cités états - Les incas qui ont pour capitale Cuzco et qui est situé dans les andes. Les conquistadors vont conquérir ces nouvelles terres a la recherche d'or. Ils pensent découvrir un eldorado. Ces conquêtes s'explique par la supériorité technique des

souveraineté résulte d’un désintérêt des citoyens pour les affaires publiques (§1, §2). Ces derniers préfèrent la satisfaction des intérêts privés à la satisfaction de l’intérêt général. Par ailleurs, Rousseau effectue des comparaisons avec des cités antiques, romaines, grecques, démontrant l’inapplicabilité de la démocratie directe dans les états modernes (problème de réunion sur la place publique, climat, esclavage pour les grecs, (§5, §6)). Malgré ces contre exercices, Rousseau reste persuadé

fait citoyen par l’empereur, ou enfin être un esclave affranchi, car les esclaves affranchis reçoivent le même statut que leur ancien maître. Néanmoins, l’attribution de la citoyenneté à Rome ne va pas cesser d’évoluer. Au début du Ier siècle, les cités alliées de Rome se révoltent et obtiennent que la citoyenneté soit attribuée à tous les hommes libres d’Italie. Plus tard, la citoyenneté est acquise par tous les magistrats des provinces, et enfin en 212, l’ édit de l’empereur Caracalla, donne la

civilisation des sumériennes. Subitement, on trouve des cités-Etats sumériennes avec un niveau de civilisation, de culture, de développement économique extraordinaire. Les origines des sumériens restent inconnues. Leur langue est un isola linguistique. Elle ne ressemble à aucune autre. Ces grandes villes notamment la ville d’Ur sont le berceau de la civilisation. C’est là qu’est originaire Abraham. La structure politique est assez moderne. Il y a des cités Etats, régime presque républicain, mais ont

est bordée par le massif du Zagros, à l’ouest par le désert de Syrie, au nord par les montagnes de l’Arménie où les fleuves prennent leur source. C’est un lieu important dans l’histoire car on y situe l’apparition de l’agriculture, la naissance des cités-Etats, et de l’écriture.  P24 : En l’état de nos connaissances actuelles, c’est dans l’Orient ancien que s’est réalisé pour la 1ère fois le passage de stés vivants de la cueillette et de la chasse à des ctés fondées sur l’agriculture et l’élevage

guerre + les élites ont accès à la magistrature et acquièrent après un an de fonction la citoyenneté romaine donc processus de romanisation); enfin statut de déditices (cité vaincue par Rome qui s'est rendue sans condition à l'arbitraire de Rome qui peut lui refuser tout statut juridique, mais il s'agit d'un statut temporaire, la cité ayant le statut de déditices acquiert assez rapidement le statut de municipe). Des concessions spéciales collectives imposées : Rébellion des cités libres et

point de la chaine parlée). Elles sont toutes les deux nées de la sociologie. Mais aujourd'hui l'économie est plus développé et reconnue que la science politique. Pour la science politique, on remarque un besoin social de former les dirigeants, des élites mais aussi des citoyens. Politique est les relations entre les citoyens et le pouvoir. Mais le problème de la science politique c'est que son ou ses paradigmes ne sont pas reconnus dans le monde scientitfique. « L'homo politicus » est le sujet et