Les élites Des Cités

au centre de la Méditerranée, devient la plaque tournante du commerce entre l'Europe et l'Asie. Les cités marchandes italiennes s'enrichissent grâce au commerce de la soie et des épices. Un système bancaire moderne se crée et une nouvelle classe sociale voit le jour : la bourgeoisie. Le Florin (devise de Florence) devient la monnaie internationale du bas Moyen Âge. Cette richesse amène les cités italiennes (indépendantes et fières) à rivaliser entre elles dans le domaine de la culture des arts et

perte de la certitude quand à la vie et la mort. Pour Meursault, il n’y a plus aucune échelle de valeur qui soit valable chez les hommes, tous sont équivalent «  le chien de Salamano valait autant que sa femme… » Tous les personnages du roman sont cités mais ils ont l’air totalement interchangeable, ils n’ont pas un rôle plus important qu’un autre à l’intérieur du récit. C] La mort comme unique gage de valeur de la vie. « Rien n’a d’importance », cette phrase pourrait être la moral et le résumé

sur la cité de Tours, il est aussi conseillé des Rois de franc. Cet ouvrage écrit à partir de 574 en latin vulgaire, raconte la victoire des Rois Francs ainsi que la victoire du christianisme sur le paganisme. Cette chronique s’adresse a priori aux élites franques. Ecrit entre 574 et 594, les évènements décrits datent de 496, il y a plus d‘un demi-siècle qui sépare l’auteur et les faits. Grégoire de Tours écrit au moment où l’ensemble des Rois se sont convertis au christianisme, il retrace alors les

l'aristocratie italienne. Ces derniers, par leur fortune peuvent facilement se composer une armée et vont alors avoir la mainmise sur les condotta et par conséquent sur la guerre. C'est à travers ce système d'emploi de condottieres pour servir les intérêts des cités-Etats italiennes que nous allons voir quelle est la place de la guerre dans l'Italie du XVème siècle. Pour répondre à cela, nous allons entreprendre une analyse tripartite de la question. Nous développerons dans un premier temps ce que signifie faire

est mauvaise. Les Antonins seront l’apogée de l’empire car avec Trajan l’empire sera à son maximum, Trajan sera surnommé optimus (le meilleur) non seulement militaire mais aussi sur le plan politique, les empereurs sont vus comme respectueux des élites tout en aidant le peuple. Le problème c’est que les sources sont contemporaines à l’époque. Sous les Antonins la règle de successions est le « choix du meilleur de l’empire », c’est la notion du mérite et pas seulement sur le plan militaire mais aussi

qu'aux habitants de l'Italie et dans les provinces aux municipes ayant le statut de colonie romaine. Elle pouvait aussi s'acheter, avec transmission à toute la descendance existante et à venir. Peu à peu le nombre de citoyens avait donc augmenté et les élites provinciales en avaient largement profité. La citoyenneté romaine était aussi obtenue après 20 ans de service dans les troupes auxiliaires de l'armée romaine. C'était l'un des principaux attraits de la carrière militaire. Le nouvel édit, en accordant

qui ne connaissent pas l’islam et qui pourraient penser que ce texte est orienté politiquement ou spirituellement, je vous invite à prendre tout simplement connaissance des écrits saints. Pour commencer, je voudrais parler de l’importance pour nos élites de devoir créer des ponts vers le «Nouvel Ordre Mondial»... Je m’explique... Des ponts? Regardez vos billets de banques de 5, 10, 20, 50, 100, 200 et 500 euros.. Que voyez vous derrière? Un pont reliant l’Europe à L’Amérique du Nord, par cela on

les 2 cités se délimitent une zone d’influence, Rome laissant à Tarente l’Italie du Sud. Mais en 284, Thurii (rivale de Tarente) fait appel à Rome pour lutter contre les velléités des Lucaniens. Rome dépêche un Consul qui établit une garnison à Thurii, ralliant sur le passage Locres, Crotone et Rhegion. En 282, Tarente chasse la garnison romaine de Thurii, Rome Rome réplique et finalement Tarente appelle le Pyrrhus roi ∆ Bénévent d’Épire. Le rêve de ses derniers étaient d’unifier les cités de LU

ambigüité est la clef de sa stabilité. De plus, ces élections se font maintenant au suffrage universel ce qui renforce le caractère démocratique. Chacun y trouve son compte, l’aristocratie, l’élite a le pouvoir, mais le peuple a aussi du pouvoir puisqu’il élit et choisit. 1) Le jugement public : Au XXème siècle, de nouvelles théories sur la démocratie sont apparues sous le nom de théories élitistes de la démocratie. Celles ci remettaient en cause le principe de représentation des citoyens par

poursuivie par la loi. Il faut retenir que le racisme et l'antisémitisme ne sont pas punis par la loi à cette époque. Ce sont les articles 30 et 31 de cette loi, réprimant la diffamation, qui connaissent une notoriété certaine, car ils sont nommément cités par Émile Zola à la fin de son article J'Accuse. Le 13 janvier 1898, le surlendemain de l'acquittement d'Esterházy, Émile Zola publie son plus célèbre article, J'accuse, dans l'Aurore. L'article est basé sur un dossier préparé deux ans plus tôt