Les Trois Discours De Corneille

bibelot d’inanité | | | | |consonnes dans une phrase, un vers. |entre des mots. |sonore (Mallarmé) | |amphigouri |n.m. |RHET |Discours, écrit confus et obscur. |Si volontaire, effet comique |  | | | | | |ou parodique. |

» Anacoluthe Rupture de construction syntaxique « Le nez de Cléopâtre, s’il eût été plus court, la face du monde en eût été changée » Hyperbate Rallonge, poursuite de la phrase alors qu’elle semblait terminée « Albe le veut, et Rome. » (Corneille) Asyndète Absence d’un lien coordonnant attendu « Cette triste femme contemplait les enfants, les bébés » (on attendrait « et les bébés ») Polysyndète Multiplication des liens coordonnants « Mais tout dort, et l’armée, et les vents, et Neptune

2 de l’acte II met en scène le passage à l’acte : Rodrigue provoque don Gomès (comte de Gormas). Caractérisation La règle de bienséance interdit que l’on représente un duel (celui-ci se déroulera hors-scène dans la suite de l’acte). Aussi Corneille substitue-t-il au duel visuel un véritable duel verbal dans une scène pleine de fougue et de panache. LECTURE COMPOSITION DU TEXTE De « A moi, Comte, deux mots (…) » à « Que m’importe ? » : Rodrigue rappelle au Comte la renommée de son

seulement partiellement littéraire. C'est cette tension inscrite au cœur du théâtre qu'exhibe depuis l'imprimerie le caractère romain et italique, didas commande le dialogue. Tension inscrite dans la nature même du théâtre donc. Au départ, chez Corneille, didascalies dans la marge. Qqch qui n'est plus du texte, qui ouvre sur un déplacement du textuel, qqch de marginal. Le texte imprimé aurait donc une double destination : lecture solitaire, où didascalies lues comme du récit, comprises d'une certaine

nous le montre Don Rodrigue dans le Cid. Dans une seconde idée, on observe que la règle des trois unités (unité de temps, de lieu et d'action) est indispensable pour toute pièce de théâtre située entre le XVIIe et XVIIIe siècle. Dans ces pièces, on y trouve des conflits et des affrontements entre peuple, politique, religion... comme dans le Cid ou encore dans Andromaque de Corneille. Cette règle des trois unités est très bien suivie à la lettre pendant cette époque. D'autre par, nous pouvons trouver

propos de la peinture, de l’architecture et de la sculpture, pour caractériser une esthétique où domine l’irrégularité, le mouvement, la métamorphose et les contrastes de formes ; cette esthétique repose sur l’imagination, elle utilise volontiers les discours figurés et codés (symboles, allégories…). Par extension, la notion de baroque a semblé pouvoir être utilisée aussi pour définir une esthétique poétique, qui repose sur les mêmes effets et les mêmes procédés: antithèses, images, énigmes et métaphores

l’homme peut être pessimiste et remet souvent en question les dogmes et la politique officielle. La Bible est critiqué (Luther, Calvin…) et l’on découvre la relativité des valeurs( chacun appelle barbarie ce qui n’est pas de son usage »). Il existe trois grandes figures humanistes : * François Rabelais : «  Pantagruel », « Garguentua », Le Tiers Livre », Le Quart Livre ». Il montre des sujets d’une grande diversité. * Michel De Montaigne : « Les Essais », ils s’enrichissent au cours des éditions

baroque ; Les Vanités L’illusion, le « carpe diem », le libertinage. La Préciosité ; La Querelle des Anciens et des Modernes Le classicisme ou l’évolution de la pensée. - Corneille, Stances à Marquise, « Marquise, si mon visage » Groupement de textes Titre, extraits, auteurs - Marbeuf, Poésies, « Et l’amour et la mer » - Corneille, « Stances de Rodrigue » Le Cid, p. 195 - Cyrano de Bergerac, extrait de l’autre Monde, p.124-125 Etude du tableau baroque de Piazzetto L’Assomption de la Vierge Rapprochement

Le Cid Corneille Tragi-comédie en cinq actes et en vers, le Cid est écrit par Pierre Corneille (1606-1684) et représenté au théâtre du Marais vers le début du mois de janvier 1637. C’est la seconde tragi-comédie de l’auteur, et sa neuvième pièce tous genres confondus. Elle connaît un succès fulgurant, malgré la querelle déclenchée par les partisans des règles classiques du théâtre. Corneille a modifié son texte si profondément dans certaines éditions qu’on a pu évoquer « deux Cid ». I

« Andromaque » de Jean Racine…………………………………………………………………..7 2. « Britannicus » de Jean Racine……………………………………………………………………17 II. Tragédies de Corneille…………………………………………………………………………………27 A. L’auteur……………………………………………………………………………………………………….28 B. Exemples………………………………………………………………………………………………………29 1. «  Le Cid » de Pierre Corneille…………………………………………………………………….30 2. « Cinna » de Pierre Corneille……………………………………………………………………….32 III. Comédies du XVIIe siècle……………………………………………………………………………34 A. L’auteur………………………………………………………………………………………………………