Les Texte épique

manteau du grand Napoléon Bonaparte, oncle prestigieux dont l'auguste vêtement ne convient pas à son neveu le grotesque Napoléon III. Ce texte est l'occasion d'un double discours. Le premier est épique, explicitement adressé aux abeilles qui parent le manteau impérial. Le second est celui du poète à l'égard de lui-même. I ) Une dimension épique : le combat des abeilles contre le mal napoléonien Hugo cherche à fonder sa virulente dénonciation de Napoléon III sur le procédé de

rendre la fin des guerriers de Picrochole dérisoire : se noyer dans le « pissat » d’une jument est une mort peu glorieuse ! Le narrateur adopte ici le registre burlesque (qui fait rire en parlant sur un ton bas d’un sujet haut) en associant le thème épique de la guerre au « bas corporel ». Dans la dernière ligne du paragraphe, le cadre bucolique minimise le tragique de la guerre : la fuite éperdue des ennemis survivants est présentée comme une promenade à travers la campagne : « quelques-uns qui avaient

temps, nous allons démontrer que cette tirade est un texte délibératif qui recommande avec ferveur l’inconstance amoureuse, dans un second temps, nous allons analyser Don Juan sous l’aspect d’un plaidoyer relevant de la rhétorique judiciaire et dans un troisième temps, nous allons étudier l’autoportrait flatteur qui a pour reflet une noblesse privée de ses attributions classiques. Nous allons démontrer que la tirade de Don Juan est un texte délibératif. Tout d’abord, nous allons analyser un renversement

Les Misérables de V.Hugo -narrateur omniscient -phrase expressive -registre épique - dieu = puissance, bête = férocité -vu du côté français -lieu précis, nombre précis -valorisation des anglais -jeu sur la longueur des phrase = rythme - centaures : comparaison avec la mythologie grecque - registre épidictique (éloge et blâme) Préparation du commentaire composé : 1/ Eléments historiques - Lieux précis, noms propres, nombre pour la répartition du combat, allusion

| | |Contenu |Effet de lecture |Sous-classes | |1 Genre épique[iv] |Récit d’événements héroïques |Admiration (personnages surhumains)|Epopée[v] guerrière (origine collective) et épopée | | | |et étonnement (contact des hommes |philosophique (origine

aucun de ces singuliers collectifs, mais exclusivement des pluriels. Toutes les phrases, à deux exceptions près, ont un sujet au pluriel, qui est toujours le même, « les vents » comme dans la première phrase, puis le pronom « ils » dans le reste du texte, plus rarement un autre substantif (« ces hurleurs »). Cette impression de multitude est renforcée par celle de la variété, suggérée par la richesse des sensations auditives. Les bruits des vents sont, en effet, décrits comme des sons d'instruments

Nasonis artis amatoriae" → auctor signifie aujourd’hui auteur mais ici signifie le garant qui apporte du crédit à son texte : vers 6 : il se présente comme "magister" v 2 : "doctus" v 17: " praector" v 29 : "perito" v 8 : "Tiphys et Automedon dicar Amoris ego" → autonomase : on utilise un nom propre pour désigner quelque chose : l’ancien combattant, le maître de l’amour. Le texte n’a pas de destinataire particulier : v1 " quis in populo" n’importe qui " non novit" ignorant L’Art d’aimer

Commentaire composé sur Phèdre : Scéne 6 Le texte que nous allons étudier est la scène 6 de l’acte V de « Phèdre » une tragédie écrite par Jean Racine en 1977. Jean Racine est né en 1639 et mort en 1699. Il est l’auteur de nombreuses et de grande tragédie comme par exemple « Andromaque » en 1667, « Britannicus » en 1669 et « Bérénice » en 1670, et une seule comédie : « Les Plaideurs » en 1668. Contestée pour Phèdre par le parti Cornélien, il recevra l’appui par Monsieur

 SEQUENCE 1 : LA NOUVELLE ET LES SURPRISES DU TEXTE Objectifs généraux : Repérer les compétences des élèves en lecture Réactiver les savoirs acquis au collège en ce qui concerne l’étude du texte narratif S’interroger sur les mécanismes de lecture Problématique : Qu’est-ce que lire ? Comment le lecteur va-t-il construire du sens ? Perspectives d’étude : - Etude des genres (la nouvelle) et registres (épique et fantastique) - Singularité

qui la caractérise tel que : la description d’évènements récents et antérieurs, l’éloge de la démocratie athénienne, l’omniprésence de la volonté divine, ainsi que bien d’autres ressorts tragiques comme : la notion de malheur collectif, les images épiques, les métaphores animales et les châtiments divins. Tout cela confère aux tragédies d’Eschyle, une majesté et un style souvent proche de l’épopée, et une production d’image saisissantes capables de maintenir la tension dramatique du début jusqu’à la