Les Sept Vieillards

régnaient. Villes, biens matériels, argent, marchés, éducation et art étaient condamnés. Des millions de gens subirent la déportation, les travaux forcés, la faim et la mort. Le pays devint un vaste camp de concentration. En vingt sept mois, j'ai perdu ceux que j'aimais - dix-sept membres de ma famille et d'innombrables amis - et tout ce qui m'était cher. Il ne me reste que des souvenirs. Mon désir est que, par ce livre, ces souvenirs demeurent vivaces. Je veux que le monde entier sache comment mes enfants

Bretagne sauf l’Ecosse). Merlin se dit : « Myrddin» ou « Myrdhyn » en langue galloise, « Marzhin » ou « Merzhin » en langue breton et en cornique. On l’appelle Merlin l’Enchanteur (magicien) car il peut être une partie d’un animal, se transformer en vieillard …. Merlin est un magicien des légendes celtiques et du cycle d’Arthur (légende arthurienne). On le situe vers le Moyen Age, au temps des chevaliers. Dans le roi Arthur, Merlin était le conseiller du roi d’Uther Pendragon puis du roi Arthur Pendragon

contraire, alors que tout semble froid et triste, le solstice nous annonce que la lumière va renaître et que la vie va reprendre. La mort du vieillard laisse place à la venue d’un nouvel enfant. La symbolique du solstice renvoie au Dieu romain Janus. Ce nom vient de « janua » qui signifie « porte », « passage ». Janus est le Dieu aux deux visages : le vieillard et l’enfant, le bonheur et le malheur, la lumière et l’ombre. Tout ce symbolisme binaire est contenu dans les deux solstices. Janus regarde

LES PAUVRES! 1862 [Divisions du texte] Prologue, préambule (au sens littéral) Captatio malevolentiae Pendant quinze jours je m'étais confiné dans ma chambre, et je m'étais entouré des livres à la mode dans ce temps-là (il y a seize ou dix-sept ans); je veux parler des livres où il est traité de l'art de rendre les peuples heureux, sages et riches, en vingt-quatre heures. J'avais donc digéré, - avalé, veux-je dire, toutes les élucubrations de tous ces entrepreneurs de bonheur public, - de

chimie » poétique voire d’ « alchimie » (que l’on songe à « Alchimie de la douleur ») traverse donc le recueil de part en part, du début à la fin. Le thème de la boue n’est pas moins omniprésent dans le recueil des Fleurs du mal. Qu’on pense au « Sept Vieillards » (« Dans la neige et la boue il allait s’empêtrant »), au « Vin des chiffonniers » (« Au

d’essais, de contes philosophiques, ou encore d’articles de dictionnaire par exemple. Leur description de la guerre est donc particulièrement soignée. Dans son dictionnaire philosophique Guerre , en référence à la guerre de sept ans, Voltaire parodie un conte pour y délivrer son message sur la guerre. La guerre est néanmoins représentée par son atrocité et surtout son absurdité. Les philosophes des Lumières décrivent la cruauté de la guerre. Malgré la

les 10 ans un rite est exercé : On « attrape » un vieillard, choisi à l'extérieur du clan royal, on le prépare à son futur rôle de bouc émissaire en le rendant repoussant et terrible, on sacrifie un bélier donné par le roi qui a symboliquement transféré le « mal », et le pouvoir contenu en lui, au bélier. Puis le vieillard doit manger l'animal, et le mal contenu alors dans le bélier lui est transféré. Et dès lors le vieillard sera établi à l'écart du village, il est désormais

sincère, amoureux fou mais violent et destructeur, croyant de toutes ses forces en l’humanité malgré la folie qui envahit les hommes à la fin des années 1930, croyant en Dieu mais plongeant corps et âme dans le péché... Le roman se compose de sept parties, elle-même décomposées en plusieurs chapitres plus ou moins longs. Dans certains chapitres, les actions vécues par les personnages se superposent ou se décomposent en longs monologues, parfois dénués de sens et de ponctuation. Un chapitre

vécu ? « Homère n'a vécu que quatre cents ans avant moi », écrit Hérodote (Histoires, II, 53), c'est-à-dire vers 850 avant J.-C., date dont rien n'infirme l'exactitude. D’où vient –t-il ? Le prestige qu’on lui accorde, n’arrange rien : En effet sept villes se sont disputées l'honneur de lui avoir donné le jour mais il semblerait qu’il soit né à Smyrne (aujourd'hui à Izmir, en Turquie), et qu’il ait vécut à Chios et mourut à Ios, l'une des îles des Cyclades. Suivant la biographie d’Hérodote,

Mon jugement s’égarant dans la fusion de mes pensées, j’ai vaguement pensé au communisme… Vous imaginerez sans aucun doute mon désarroi lorsque le père de famille m’a expliqué qu’ils portent uniquement deux vêtements différents, et cela parfois pour sept ans. Le premier fait de cuir destiné au travail. Le second, une casaque qui cache l’habit de travail. Un seul vêtement leur suffit pour deux ans. Je me suis demandé où pouvait-il y avoir des repères sociaux. Comment pouvaient-ils distinguer un ouvrier