Les Règles De La Versification

certaines substances. 5 10 15 20 dans les journaux. La société, sauvée encore une fois, se félicitait, se reposait, faisait la grasse matinée, maintenant qu'un gouvernement fort la protégeait et lui ôtait jusqu'au souci de penser et de régler ses affaires. La grande préoccupation de la société était de savoir à quels amusements elle allait tuer le temps. Selon l'heureuse expression d'Eugène Rougon, Paris se mettait à table et rêvait gaudrioles au dessert. La politique épouvantait, comme

l’initiateur de la formule : le précurseur en est Aloysius Bertrand avec Gaspard de la nuit. Les héritiers successifs feront évoluer le genre jusqu’à de splendides réussites, avec Rimbaud, Lautréamont, Claudel et les surréalistes. S’opposant à la versification classique, le poème en prose en refuse les lois de métrique et de prosodie. La poésie du langage est alors assurée par d’autres systèmes de rythmes et de répétitions : petits paragraphes, « couplets », versets, à l’intérieur desquels, ou entre

terme « poésie » vient du grec « poiêsis », du verbe « poiein » signifiant « faire », « créer ». A l’origine, la poésie est un texte chanté accompagné de musique (la lyre), propre à exprimer des sentiments, notamment l’amour. I. La versification . La versification est l'ensemble des techniques employées dans l'écriture poétique traditionnelle, qui obéissent à des usages : l’utilisation du vers, le regroupement en strophes, le jeu des rythmes et des sonorités… Les types de vers. Le vers : mot

Le terme « poésie » vient du grec « poiêsis », du verbe « poiein » signifiant « faire », « créer ». A l’origine, la poésie est un texte chanté accompagné de musique (la lyre), propre à exprimer des sentiments, notamment l’amour. I. La versification . La versification est l'ensemble des techniques employées dans l'écriture poétique traditionnelle, qui obéissent à des usages : l’utilisation du vers, le regroupement en strophes, le jeu des rythmes et des sonorités… 1) Les types de vers. Le vers : mot

poème la fantaisie et la distance avec le réel sont marquées. Enfin les poètes du XIXème siècle, comme De Vigny, cherchent un nouveau départ en se libérant des contraintes imposées durant les siècles antérieurs. Ils ne veulent plus les règles strictes de la versification, de la censure des idées comme au XVIIème siècle avec la période du classicisme. Ils souhaitent un renouveau des thèmes et de l’imagination sans bornes.

desquels s’ordonneront les remarques. Il convient d’étudier simultanément le fond et la forme. Les remarques relatives au style ou à la versification soulignent toujours l’effet produit et sont indissociables de l’idée ou du sentiment exposé. Que faut-il entendre par « forme » ? - l’étude du vocabulaire ; - les procédés rhétoriques (ou procédés de style) ; - la versification s’il s’agit d’un poème ; - la syntaxe, surtout le jeu des personnes et des temps. Attention commenter n’est pas : - faire des considérations

recherches personnelles. 2 floreale Aujourd’hui à 17:30 Sans les textes du corpus, il sera difficile de te répondre. les thèmes peuvent certes êtres "modernes" mais souvent la modernité est ailleurs, dans la liberté prise avec les règles de la versification donc dans l'art du langage. 3 jacquesvaissier Aujourd’hui à 17:32 Et ne vous arrêtez pas en 1875 s'il vous plaît... 4 floreale Aujourd’hui à 17:49 Peut-être le poème Ma bohème fait-il partie du corpus. Il est moderne en effet par

qu’est la forme d’un texte ; nommer trois éléments de la forme (voir page 51 du cahier). -Définir, en vos mots, ce qu’est un tercet, un quatrain et un sonnet (voir page 42 du cahier). -Séparer les pieds dans un vers en respectant les règles de la versification (attention aux E muets!), les compter et identifier s’il s’agit d’un octosyllabe, d’un décasyllabe ou d’un alexandrin (voir pages 42 et 43 du cahier). -Souligner la figure de style employée dans une phrase (antithèse, comparaison, énumération

Rimbaud Sur le plan de la forme, Arthur Rimbaud a pratiqué une versification de plus en plus ambitieuse en fait d'enjambements à l'entre-vers et à la césure, avant de « déglinguer » littéralement la mécanique ancienne du vers, autour de 1872, dans les trois quatrains de Tête de faune puis dans un ensemble de compositions souvent réunies sous le titre apocryphe de Derniers vers. Il a inventé le vers libre, mais sans en préciser les règles, avec deux poèmes des Illuminations : Marine et Mouvement. Certains

monde des sens et celui de l'esprit, les symbolistes ( Rimbaud, Verlaine, Mallarmé ) cherchent à travers les analogies à accéder à une vérité superieure. Il s'agit de «  peindre non la chose mais l'effet qu'elle produit «  ( Mallarmé ). Les règles de versification et de syntaxe sont détournées, les mots choisis pour leur rareté, la musicalité du vers devient primordiale. A travers le langage et l'intelligence de certains poètes on peut changer les formes des mots pour en dégager le sens.