Les Représentations De Lorenzaccio

venir, et non pas dans un espace autre : le meilleur des mondes possibles (Leibniz) devient envisageable, il est situé dans un futur qui paraît accessible par le biais du progrès. C'est une idée nouvelle propre au 18e siècle qui rompt avec la représentation cyclique du temps, dont les phases se basent sur l'histoire de l'antiquité avec des phases de décadence et des phases d'apogée. Louis Sébastien Mercier en donne une première illustration dans «L'an 2440 » (1771), en décrivant la société que les

théâtre de la Renaissance, où elle crée La Princesse lointaine et La Samaritaine de Rostand, ainsi que Lorenzaccio, de Musset, qu’elle est la première à jouer sur scène, travestie. Elle fonde un théâtre à son propre nom en 1898, où elle joue les rôles-titres masculins dans Hamlet de Shakespeare et L’Aiglon de Rostand, qui remporte un grand succès et connaît deux cent cinquante représentations consécutives. Amputée d’une jambe en 1915, elle refuse de quitter la scène et meurt en 1923.

pitié. Montrer à l'homme une autre façon de vivre Instruire la population Histoire et évolution du théâtre Antiquité Le théâtre existe depuis l'antiquité, en effet en Grèce, au Vè siècle avant J.C., lors des fêtes de Dionysos, des représentations théâtrales étaient données. Ces cérémonies de théâtre avaient alors un enjeu religieux, social et éducatif. Il existe alors deux grands genres : La comédie : où étaient souvent représenté des conflits familiaux. Ce théâtre avait alors un enjeu

personne  Exaltation d'un "je" qui s'exprimerait au nom de tous  Désir de la connaissance de soi Le "moi" est: douloureux, atteint par le "Mal du siècle", peut être banni (comme Jean Valjean ou Quasimodo ), ou misanthrope (comme Frollo ou Lorenzaccio) . 2. Amour malheureux  Seule arme efficace contre l'ennui et la désillusion  Refuge des idéaux  Amour impossible: amants séparés par des malentendus, la loi, les préjugés...  Seule la mort unit les couples malheureux 3. La rêverie

d’étude : Le théâtre, texte et représentation Séquence 1 : Le drame romantique ; révolution du théâtre ou théâtre de la Révolution ? Etude de Lorenzaccio (1834) d’Alfred de MUSSET Texte n°1 : l’originalité de la scène d’exposition Texte n°2 : le meurtre du duc Alexandre Texte n°3 : la tirade de Lorenzo Texte n°4 : le dénouement de la pièce Synthèse sur Lorenzaccio de MUSSET Séquence 2 : Représentations théâtrales de tyrans célèbres ou la représentation du pouvoir au théâtre Texte

Rapide voyage dans l’histoire du théâtre Naissance de la tragédie (vignette) Selon les historiens, le théâtre, représentation d’une action imaginaire, est apparu au Ve siècle avant JC. De l’orgie dionysiaque, naissent la tragédie et la comédie grecque. Dionysos, fils de Zeus, fut tué par ses ennemis les titans puis ressuscité par son père et élevé par les nymphes et les satyres. Ce dieu du printemps parcourt le monde pour enseigner aux hommes la greffe des vignes, le vin et la joie de vivre

littérature et à en faire son métier. Auteur doué et sûr de son talent, il fut cependant profondément blessé et échaudé par l’échec de la Nuit vénitienne! Il décida alors que les pièces qu’il écrirait seraient désormais destinées non pas à la représentation, mais - fait original et presque unique dans la littérature française -, exclusivement à la lecture. Parmi les comédies de mœurs romantiques qu’il publia entre 1932 et 1934, À quoi rêvent les jeunes filles, la Coupe et les Lèvres et Namouna, furent

seigneur …”). Portée et descendance l’œuvre La première conséquence de la bataille qu’elle engendra et de la révolution théâtrale qu’elle engagea, cette pièce fut d’abord parodiée. Dès mars 1830, soit un mois seulement après sa première représentation, le vaudevilliste Auguste de Lauzanne propose “Harnali” et remporte un vif succès. En 1844, le compositeur Verdi met la pièce en musique et la nomme “Ernani”. Malgré son réel succès, “Hernani” fut reprise quelques fois de 1838 à 1849, mais Victor

gestuelles, pour arriver à créer l’illusion. D’après sa définition première, l’illusion est « l’interprétation erronée d’une donnée sensorielle ». Or ici, l’illusion n’est pas tant celle des sens, que celle de l’esprit : le spectateur sait que la représentation n’est pas réelle, il sait où s’arrête la vérité et où commence l’artifice. L’illusion n’est rendue possible que par le consentement de celui-ci. Le spectateur qui entre dans la salle de théâtre, et s’installe pour voir une pièce s’attend à l’illusion

« témoignage » que Duras livre au lecteur, ne manquant pas de dénoncer les misères et les oppressions du colonialisme. Mais en réalité, malgré la présence du décor colonial, c’est plus que cela qui se joue dans ce roman. En effet, le roman est la représentation d’un malheur familial : il est le premier volet de ce que Duras nomme « le roman de la mère », une série de romans liée à son enfance indochinoise. 5Un Barrage contre le Pacifique Dans la même collection en numérique Les Misérables Le messager