Les Relations Sino Américaines

La conflit sino-Taiwanais: La République Populaire de Chine (RPC) : Intérêts dans le conflit : 1° Idéologiques : * Politique « One China ». La Chine, pays aux dimensions continentales, représente un cinquième de la population mondiale. Elle regroupe dès lors une grande diversité ethnique composée de 56 « nationalités ». La nationalité Han regroupe la majorité de la population (92%) mais est elle-même très diversifiée. Si elle a une grammaire et une écriture en commun, plusieurs

IV) Peut-on parler d’une forme de néocolonialisme (page 16) Introduction : Depuis une dizaine d’années les économistes mettent en avant, la nette augmentation des relations entre la Chine et l’Afrique (augmentation des IDE de 46% entre 2000 et 2010, notamment) cependant il est bon de noter que leurs relations se sont installées il y a de ça déjà 50 ans, même si durant les 80’s et jusqu’au années 2000 les chinois se sont concentrés sur leur propre économie. La Chine depuis une quinzaine

comme déclencheur de l’essor économique chinois B) Lorsque la Chine s’inspire de l’Occident II/ La Chine : un état conquérant. A) Une Chine aux 3 visages B) Les conséquences III/ La Chine, un Etat salvateur A) Les relations Sud-Sud B) La coopération Sino-africaine : Etude de cas C) La Chine, au secours des puissances occidentales Introduction: Pendant longtemps la Chine est restée dans un immobilisme économique, les pays occidentaux s’en sont donc désintéressés. Cependant

d'abord sous la forme de son empire dit "l'Empire du Milieu" qui a duré du IIIe siècle av JC jusqu'à la 1912 proclamation de la République. En 1919, la Chine est un Etat faible dominé dps le XIXe siècle par les puisances étrangères européennes, américaines et japonaises qui lui ont imposé des traités inégaux (définition p.224 manuel TES, p.90 manuel TS) et une ouverture commerciale sous forme de concessions (carte p.225). Au lendemain de la 1ère Guerre Mondiale, le 4 mai 1919, un mvt de révolte mené

lE RAPPORt DE FORCE GéOPOlItIqUE SINO-INDIEN Christophe REVEILLARD* Dans l’étude comparative des facteurs de puissance, il apparaît que l’Inde et la Chine connaissent des développements les plus souvent distincts dans un environnement géopolitique régional commun, malgré l’existence de la barrière himalayenne et du plateau tibétain ainsi que de leurs tropismes en Asie du Sud-Est pour le premier et au Tibet pour le second. C’est donc non dans l’appréciation mais dans la posture choisie en fonction

les Etats Unis. De plus, cette guerre a eu une image médiatique plus que médiocre aux Etats Unis. Elle a été à l’origine de nombreuses manifestations des citoyens Américains (15 avril 1967, 21 octobre 1967), et les soldats revenant du front asiatique sont très souvent montrés du doigt en raison de leurs agissements. III – Relations entres les Etats Unis et l’URSS, et les Etats Unis et la Chine. Depuis, la fin de la Seconde Guerre Mondiale, un lourd conflit idéologique oppose les pays du monde

superpuissances que furent les États-Unis et l’Union des républiques socialistes soviétiques (URSS) et leurs alliés entre 1947 et 1991, année de l'implosion de l'URSS et de la dissolution du Pacte de Varsovie. C’est en 1947, sous la plume de l’homme d’État américain Bernard Baruch, que l’expression « Cold War » apparaît pour la première fois[1]. Elle est vite popularisée par le journaliste Walter Lippmann[2]. D'après Raymond Aron, il s'agissait d'une « guerre limitée » ou « paix belliqueuse » dans un monde bipolaire

terreur" s’impose: les soviétiques rattrapent progressivement leur retard sur les américains dans le domaine nucléaire (bombe A en 49, H en 53; fusées intercontinentales). Les deux "Supergrands" ont désormais la possibilité de s’anéantir. C’est la "destruction mutuelle assurée" (MAD: "Mutually Assured Destruction"). B. Des conditions politiques affaiblissant les blocs: ¤ Dans le bloc communiste: rupture sino-soviétique (1961); rébellion des démocraties populaires (l’Albanie rejoint le camp

et de gré ou de force, a suscité une méfiance qui n’a jamais été absente dans les relations entre les pays dans la région. Encore une fois, on s’inquiète pour la sécurité et pour l’avenir de la région, lorsque les questions épineuses habituelles restent toujours là sans issue, et par-ci par-là un tel ou tel acteur la touche pour compliquer davantage la situation. Au-delà du contentieux sino-vietnamien et de l’hégémonie ou de la belligérance chinoise, le problème touche également

3. Une realpolitik inédite 3.1. Les réformes de Deng Xiaoping 3.2. La Chine à l’OMC 4. Le modèle chinois de partenariat 4.1. Une nouvelle logique de l’aide : le principe « gagnant-gagnant » 4.2. Le Livre Blanc 5. Complémentarité des problématiques sino-africaines 5.1. Les besoins chinois 5.1.1. Besoins économiques 5.1.2. Besoins politico-stratégiques 5.2. Les besoins africains 6. Une stratégie de puissance « globale et multiforme » 6.1. Axes de la puissance chinoise 6.1.1. L’axe économique 6.1.2