Les Relations Président Gouvernement

des institutions de la Cinquième République, une telle décision ne serait également pas sans conséquences sur l’organisation des relations au sein du futur pouvoir exécutif. En effet, en ayant pour enjeu la désignation de la majorité parlementaire, les élections législatives conditionnent – indirectement sous la Cinquième République – la nomination par le Président de la République du Premier ministre. Par conséquent, la perspective d’une dissolution suivant immédiatement l’élection présidentielle

livre M, dans le livre XI chapitre VII, expose une analyse du pouvoir politique, qui a été très largement répandue en Europe et qui est encore aujourd’hui d’actualité, alimente des débats, controverses, celle de la liberté pénale des ministres et du Président de la République. La théorie de Montesquieu. Elle comporte un schéma central avec des prolongements, des noyaux et des développements. Puis, il y a deux lectures de la séparation des pouvoirs, deux manières de la comprendre. Une théorie

sophistiqué d’espionnage et en possession de documents contenant des informations essentielles aux démocrates révèlera par la suite, après une enquête sur l’identité des coupables, que ces derniers avaient un lien avec la Maison Blanche, siège du Président Nixon alors en fonction, et à nouveau candidat du camp républicain pour sa réélection. L’affaire sera étouffée par le FBI sur pression de la CIA, cela relevant de sa juridiction. Nixon sera alors réélu cette même année contre le démocrate Humphrey

de la monarchie ( présence d'un Roi ). - Apparition d'un régime parlementaire : c'est un régime où le parlement constitue le pilier du fonctionnement constitutionnel. Le parlement détient le pouvoir législatif. Le gouvernement va être responsable devant le parlement. Le gouvernement doit travailler en confiance avec le parlement. En l'absence de ce lien de confiance, le parlement ne votera plus les textes, il n'y aura plus de collaboration, il faudra donc créer un nouveau parlement. V ) La seconde

Quelles sont les différences entre les institutions Allemandes et Françaises ? Malgré leur appartenance à l’Union Européenne, les différents pays n’ont pas les mêmes institutions, ni le même mode de gouvernement et de direction. Cependant, la séparation des pouvoirs reste présente, de part le fait que ce soit des pays démocratiques. Nous allons voir les différences d’institutions entre deux pays européens : l’Allemagne et la France, à travers les différents pouvoirs exécutif, législatif et

pas plus qu’elle ne lui confère une légitimité personnelle. Qui plus est elle ne lui reconnaît pas expressément la qualité de chef du gouvernement. Mais l’appellation Premier ministre montre bien une supériorité vis-à-vis des autres ministres. Mais quel est le rôle et les pouvoirs de cette fonction attirante et convoitée qui peut servir de « fusible » au Président de la République ? Pour répondre à cette question nous verrons dans une première partie la place qu’occupe le premier ministre au sein

L’Afrique du Sud Raphaël Porteilla, est maître conférencier en science politique, il est reconnu comme étant un spécialiste de l’Afrique ainsi que des relations internationales. Dans son ouvrage le plus populaire; L’AFRIQUE DU SUD, LE LONG CHEMIN VERS LA DÉMOCRATIE, l’auteur nous éclaircit sur plusieurs aspects du pays nommé dans le titre. Tout d’abord, celui-ci nous introduits dans le contexte en expliquant en bref la géographie du pays, de l’histoire du peuplement. Ensuite, les origines de

incarné par le premier ministre et le président de la république. Ce sont les personnages les plus importants puisqu’ils conduisent la politique de la France. Si le président de la république qui est élu par le peuple officie à l’Élysée, le premier ministre, quand à lui siège à Matignon et est nommé par le président de la république lui-même. Le président de la république est le chef de l’Etat tandis que le premier ministre est considéré comme le chef du gouvernement. En effet, conformément à l’article

(…) le président est évidemment seul à détenir et à déléguer l’autorité de l’Etat. » Cette citation de la célèbre conférence de presse du 31 janvier 1964 du Général de Gaulle, le premier Président de la Ve République, démontre clairement que sa personnalité n’était propice ni à la limitation du chef de l’Etat dans un rôle symbolique, ni à une dualité institutionnelle au sommet de l’Etat. De fait, en instaurant la Ve République, le Général de Gaulle a voulu en finir avec la pratique du Président faible

d’Estaing a été élu président de la république lorsqu’il prononce son discours, le 27 janvier 1978 à Verdun-sur-le-Doubs. Son arrivée au pouvoir, en 1974, bien qu’elle assure la continuité de la droite à la tête de l’Etat, apparait comme une véritable cassure au niveau des pratiques de la Vème République. En effet, Valérie Giscard d’Estaing a succédé à deux présidents gaullistes : Charles de Gaulle et Georges Pompidou. En cette année 1974, c’est la première fois depuis 1958 qu’un président n’est pas de