Les Relations Interétatiques

 moment  «  droit  des  peuples  et  droit  du  développement  »     I. Promotion  du  droit  des  peuples  à  disposer  d’eux  mêmes   II. Universalisation  de  la  société  interétatique   III. Nouvel  Ordre  Economique  International  (NOEI)   IV. Construction  européenne     3   §    2  –  Le  droit  international  au  début  du  XXe  siècle  :    

 THÉORIES DES RELATIONS INTERNATIONALES 26/01/2011 GÉNÉRALITÉS Ce cours sera bâti autour des théories des relations internationales. A QUOI RENVOIE LE CONCEPT INTERNATIONAL ? Sur le plan historique : le mot international est la création de Jeremy BENTHAM. Ce mot apparaît dans l’ouvrage intitulé « Introduction to the Principles of Moral and Legislation ». Le mot est introduit en France en 1801. Le concept international

RELATIONS INTERNATIONALES Chapitre préliminaire : Relations internationales et leur étude Section 1 : Les impressions immédiates 5 impressions : →Présence directe des relations internationales dans la vie personnelle et dans la vie collective. →Aspects contradictoires des observations relatives aux relations internationales. Il y a une différence de nature entre la société internationale (hétérogène) et les sociétés internes (ce sont des sociétés homogènes). →Observation sur l’Etat et

(§2) avant de montrer que les RI sont devenues un objet d’étude autonome. §1 L’objet des relations internationales -Au sens littéral du terme, « international » signifie « entre les nations ». Le mot apparait sous la plume d’un théoricien et juriste anglais Jérémy Bentham (fin XVIIème) ; accolé au terme « law » (international law), elle désigne chez cet auteur l’ensemble des règles applicables aux relations entre Etats. De fait, pendant longtemps, les RI ont été définies comme l’ensemble des liens

internationale est une société anarchique n’est pas nouvelle car posée depuis la naissance des états modernes au 16ème siècle. Cette question a entraîné une opposition entre deux conceptions, l’une va soutenir l’idée que la société internationale, les relations internationales sont par nature anarchiques. L’autre conception estime qu’elles présentent les mêmes traits que la société internationale que nous connaissons et qu’il est inutile de les opposer. Deux courants : le courant dualiste et le courant

SATISFACTION C’est un avantage d’ordre moral qu’obtient un Etat à titre de redressement d’un acte engageant la responsabilité internationale d’un autre Etat. Plus précisément, elle constitue un mode de réparation appropriée surtout dans les relations interétatiques et pour les dommages immédiats, où l’honneur, la dignité, le prestige revêtent une importance particulière. Pour autant, elle n’est pas inconnue lorsque sont en cause des dommages médiats. Ce mode de réparation est utilisé toutes

la 1ère guerre mondiale : on enseigne le premier cours de relation internationale. La GM est un traumatisme dans les élites on parle de la « der des ders » (cad la fin des guerres) mieux comprendre les relations entre les Etats La guerre totale (objectif : chercher à détruire l’adversaire et désormais ce n’est plus pour récupérer les ressources d’un pays (conquérir un territoire). C’est pourquoi il faut mieux comprendre les relations internationales. Courant idéaliste (=légaliste) : étude

l’indépendance et de l’intégrité territoriale de tous les Etats membres tout demandant l’arbitrage de la SDN dans le règlement des conflits. Quant à l’ONU, elle s’engage tout comme la SDN à garantir la paix dans le monde, développer les relations interétatiques de façon pacifique. L’ONU s’emploie également à régler les différends par les moyens les plus pacifiques possibles. De plus, elle s’emploie à résoudre les problèmes d’ordre internationaux, économiques, sociales, intellectuelles, et humanitaires

paix démocratique). Être prêt à la guerre pour ne pas la faire Le réalisme -dans une perspective de continuité politique- conduit à constater que le rapport de force est un élément de prévention et de dissuasion incontournable des relations humaines. Il faut donc savoir se montrer fort et afficher que l'on n'hésitera pas s'il le faut à déclencher la guerre et à la gagner. Ce que traduit le proverbe romain : Si vis pacem, para bellum (Si tu veux la paix, prépare la guerre), ou bien l'aphorisme

Trotski affirme que la force est le fondement de l’Etat. La force est considérée comme une ‘chose’ nécessaire à la construction et à l’existence de l’Etat, comme étant à la base de l’Etat. La force peut s’entendre ici comme la relation que l’Etat entretient avec les individus : relation de pouvoir, d’autorité, de contrainte. Il faudra évidemment avoir recours au concept de « monopole de la violence physique légitime » de Max Weber qui abonde dans le sens de Trotski. - « En effet, cela est vrai » : Max