Les Relations Interétatiques

de l’OMC. En effet le 15 avril 1994 sont signés les accords de Marrakech créant un système de règlement des conflits quasi-juridictionnel. L’OMC a pour prétention d’être l’espace où est traité l’ensemble des questions ayant trait à la gestion des relations économiques internationales. L’OMC est avant toute chose l’héritière du GATT. En ce sens elle en prolonge certains aspects de procédures et de droit. Sans renier là d’où elle vient, l’OMC marque cependant une grande évolution par rapport à son prédécesseur

Deux grandes démarches géopolitique se distinguent : une école anglo-saxonne marquée par les relations terre-mer, et une école allemande, dite continentale. La question à laquelle tente de répondre la géopolitique est celle de la détention de la puissance dans le futur. L’objet de la géopolitique est bien la puissance. C’est CLAUSEWITZ qui le premier va penser les affrontements interétatiques et les théoriser. Pour lui les guerres sont des parties d’échec. Il ne pense pas l’espace puisqu’il

C407/93 à C411/93, Rec. p. I3957, point 25). Or, le principe même de l’union douanière, tel qu’il découle de l’article 23 CE, exige que soit assurée de manière générale la libre circulation des marchandises, non seulement dans le cadre du commerce interétatique mais plus largement sur l’ensemble du territoire de l’union douanière. Si les articles 23 CE et 25 CE ne visent expressément que les échanges entre États membres, c’est parce que les auteurs du traité ont présupposé l’inexistence de taxes présentant

sont sous-tendues par des forces politiques, par les relations internationales. Le DIP est un droit qui a des justifications que l'on puise dans les rapports de force internationaux. Il faut donc tenir compte des réalités du monde contemporain pour se rendre compte le mieux possible des règles de DIP. Cela signifie donc que la matière est vivante. Il suffit de voir d'ailleurs que tous les médias contiennent une rubrique consacrée aux relations internationales et il n'y a pas un seul jour sans qu'on

frontières étatiques la satisfaction d’intérêts ou d’idéaux communs susceptibles d’être consulté par l’ONU et les institutions spéciales. Il existe six types d’organisations internationales intergouvernementales. Tout d’abord les organisations interétatiques qui disposent seulement de pouvoir de coordination ou de coopération. Ensuite il y a les organisations politiques qui sont pourvu de compétences générales. Les organisations régionales ont quant à elles un champs d’application limité à des Etats

transnationalisation, la thèse de l’impuissance de l’État semble a priori paradoxale : certes les firmes disposent d’une liberté d’action, mais toujours dans les cadres réglementaires institués. Or, de jure, le régime normal de traitement juridique des relations économiques entre acteurs internationaux suit la règle de la territorialité (souveraineté de l’État de résidence de la personne morale ou physique), sauf exception telle que le principe de responsabilité d’un État vis-à-vis de ses ressortissants

nation (16ème siècle). La difficulté a été de concilier la reconnaissance des Etats avec tous ce que cela comporte et l’obéissance de ces mêmes Etats à des règles communes supérieures. De nombreuses thèses vont s’affronter concernant la nature des relations entre Etat et la consistance de ce qu’on va appeler la société internationale. Il y a une tension, et elle est très vive même actuellement et ce n’est pas qu’un débat doctrinaire, c’est quelque chose de fondamentale, la tension entre sociétés internationales

générale Chapitre 1 : Spécialité du Droit International Section 1 : Présentation générale - régie les relations entres les sujets de la Société I (Etats, OI, individus mais rare) - Facteur d’organisation sociale □(→┬ ) réduire hanarchie des RI car satisfaction intérêt commun et coexistence entre eux. - Lien sociologique entre Etats/Droit mais cesse d’être exclusiv interetatique. - Livre « Droit des gens » = droit des peuples romains. DIP = rapports entre Etats DI privé = rapports entre

sociaux et politiques dans les relations internationales évoluent complexe processus de mise en place de nouvelles priorités et les valeurs sont approuvées nouveaux centres de la vie internationale (assemble Europe, le Japon, le monde arabe est confronté à une reprise économique En Asie du Sud-Est, Amérique latine), de plus en plus de membres actifs membres de la communauté internationale, aggravée par le contenu de la relation entre eux. Deuxièmement, les relations de cause à effet avec ces changements

politique : Depuis 1945, on étudie les relations internationales grâce à trois paradigmes : réalistes, idéalistes, constructiviste. Réaliste : la paix est exceptionnel (provisoire), l’État est la force. Idéalistes : vient des lumières, Kant, les peuples sont dynamisés par la raison qui les poussent vers un état meilleur et perfectible. Texas, être gay est encore un crime. Constructiviste : tous les acteurs ont de bonnes raisons d'agir Relations territoriales : le territoire c''est l'espace