Les Relation Vassal Et Seigneurs

enseignements. Livre deuxième : Les conditions de vie et l’atmosphère mentale CHAPITRE PREMIER. — Conditions matérielles et tonalité économique : I. Les deux âges féodaux. — II. Le premier âge féodal le peuplement. — III. Le premier âge féodal ; la vie de relations. — IV. Le premier âge féodal : les échanges. — V. La révolution économique du second âge féodal. CHAPITRE II. — Façons de sentir et de penser : I. L’homme devant la nature et la durée. — II. L’expression. — III. Culture et classes sociales. — IV

et leur chef Rollon se trouve alors vassal du roi de France. | Le baptême de RollonEn échange du territoire de la Normandie, Rollondoit se convertir. Il se fait baptiser sous le nom de Robert à Rouen. | | ------------------------------------------------- La cohabitation : Robertiens et Carolingiens ------------------------------------------------- Charles le Simple face à la révolte des Robertiens La fin du problème normand amène alors les seigneurs du royaume à se soulever de nouveau

très étroites puisque l’état n’existe pas c’est la famille qui va jouer le rôle protecteur de l’individu. Le niveau militaire : les jeunes hommes vont se liés personnellement à des guerriers plus anciens dont le mérite est reconnu, et selon des relations très étroites de fidélité et de dépendance, en contre partie le chef équipe ses compagnons et le partage du butin est divisé. Le niveau judiciaire : le droit primitif des germains est compliqué. La matière pénale est plus importante, ce qui tient

et multiplication des relations d’homme à homme.  Politique se diffuse dans le social et s’y perd (Braudel). De la féodalité de bénéfices à la féodalité de fiefs Réseau de dévouements personnels des vassaux aux Carolingiens : devenir l’homme d’un autre homme = contrat juridique avec des obligations mutuelles (vassal promet fidélité, de rendre des services – conseil et aide financière –, service militaire (garantie de sécurité pour le seigneur) / seigneur défend le vassal, l’aide et le conseille

Poitiers contre les Sarrasins où la notion européenne est utilisée pour la première fois). Cela lui permet de fédérer des fidèles qui lui prêtent serment. Pour désigner les compagnons du maire du palais, on dit « vassus » (vassi au pluriel) (serviteur, vassal). Ch. Martel exerce la réalité de l’autorité royale, il prend les lettres de dux francorum, princeps francorum. C’est Pépin, son fils, qui lui succède comme maire du palais, dux et princeps francorum. A la fin des années 740, Pépin pense à se nommer

de commandement envers tout ce qui détienne un office public. Cet agent exerce les prérogatives du roi. Les principautés sont de droit public. Le problème vient du sermon de fidélité. Les ducs et les contes s’affranchissent au roi, ainsi que les vassaux de ces ducs … Le royaume est devenu une mosaïque de pouvoirs locaux et la réalité du pouvoir se trouve au niveau du château. La lignée carolingienne disparait. Pendant 100 ans, conflit entre les carolingiens et les roberiens. En 987, les grands

celle de la recommandation. Les plus faibles se mettaient sous la protection des puissants = se recommander. Le protecteur = le seigneur, le protégé = le vassal. En contrepartie le vassal était tenu à diverses obligations comme travailler aux champs ou partir à la guerre. Ce régime n’est pas sans danger sous un prince faible chacun serait tenté de n’obéir qu’à son seigneur et non plus au souverain il perdrait alors toute autorité, ce qui arriva après la mort de Charlemagne. Charlemagne, le restaurateur

au Nord) Le roi ne lève plus d’impôts sur son royaume ; les seigneurs ont pris de la puissance et prélèvent en nature et en espèces. L’impôt pour financer la guerre Le Roi va mener une politique d’expansion pour agrandir son royaume. Le Roi n’est plus maître en son royaume car il a perdu de son pouvoir réel, au profit de ses vassaux (seigneurs qui règnent sur un territoire plus ou moins étendu). Mentalité de l’époque : chaque seigneur doit vivre des ressources de son territoire. Le Roi de France

de Kamakura (1185/1192-1333) Après avoir confisqué « au nom de l'empereur » les terres de nombreux seigneurs qui lui étaient hostiles,Minamoto no Yoritomo a constitué un gouvernement parallèle à celui de l'empereur, mais sur des bases différentes, instaurant une société quasi féodale fondée sur les relations d'assistance et de fidélité existant entre Yoritomo lui-même, ses vassaux et les vassaux de ceux-ci. Il lève des troupes, libère quelque peu la paysannerie des règles qui la régissaient jusque-là

b. La féodalité se repose sur une multiplication des relations d’homme à homme, c’est-à-dire, à la base, il y a une patrimonialisation contractualiste ou chaque acteur comporte des responsabilités mutuelles. i. Le vassal s’engage au service du seigneur, donc la fidélité (protection de son corps, ses biens et son honneur) et ii. le seigneur, de sa part, s’engage à la défense, à l’aide et au conseil du vassal, c’est-à-dire, le loyalisme féodo-vassalique qui affaiblit