Les Regrets 171

rarement, en effet, qu’elles bénéficient des prestations offertes par les services associatifs d’accès au droit en général, d’aide aux victimes en particulier, principalement quand l’infracteur est un mineur. Plus généralement, il convient de regretter que la situation de l’infracteur, comme celle de la victime, ne fassent pas systématiquement l’objet d’un diagnostic global, relativement à leur situation matérielle, familiale, sociale pour le moins. Or chacun connaît les méfaits, parfois irréversibles

liés dans le piège germanique. » Cette phrase reflétait assez bien la position officielle qui prévalait tant à Tunis qu'à Paris. Le cheikh el Islam lui-même condamne officiellement à la Grande Mosquée l'aveuglement des dirigeants de la Turquie, il regrette l'attitude du gouvernement ottoman et considère que l'abandon de sa neutralité est dû au manque d'expérience de certains ministres. Les membres du Charaa affirment eux aussi leur dévouement à la France (13). Une fettoua rendue à Tunis par Ahmed Bayram

comme un communisme rationnel. Il trace les contours d’ une société justement hiérarchisée où les inégalités sont réduites et fondées uniquement sur la valeur biologique des individus. Dans la société biocratrique, chacun est à sa place et il n’ a ni regrets ni désirs de y changement ; le chômage n’ existe pas, il n’ a plus de question sociale. » (Huteau, y 2002) Au début des années 1900, Henri Piéron (1881-1964) fait son apprentissage de psychologue au laboratoire de psychologie expérimentale créé à

faveur des éléphants pour de la misanthropie (95). Les rumeurs sur Morel débordent de la réalité. Il est particulièrement sensible à la compassion que Minna éprouve pour Morel. Il se sent coupable d'y être étranger. Il est dans le rôle d'un père et regrette un peu celui d'un amant. Babock est un homme seul, contraint à supporter hypocritement le fiel d’Orsini. Minna provoque des failles dans la réserve décente du colonel... il se sent un peu fautif pour son inaction par rapport au désarroi de Minna

Sache que celui qui refuse de rechercher le savoir dans sa jeunesse, tombera dans le regret | |170.Car quiconque ne s'empresse pas d'acquérir le savoir, en s'y consacrant exclusivement, avant d'être assailli par | |les préoccupations | |171.N'atteindra généralement pas son objectif en cela et jamais il ne réalisera ses desseins

................................................. 226 California here I come ..................................................... 239 La soif de l'autre .............................................................. 254 Les souvenirs et les regrets aussi...................................... 269 Tu vois, je n'ai rien oublié... ............................................. 281 Two Lovers...................................................................... 301 Nous nous sommes tant aimés ...

ça a été le départ de Jean Michel (…) j’avais une relations privilégiée avec lui, il pratiquait une politique de porte ouverte ». Le sentiment d’avoir été abandonné par l’ancienne direction ressort à plusieurs reprises. « Moi, je suis triste, je regrette beaucoup Jean Michel… Je trouve que, quand même, il… Chaleur humaine, familiarité, heu… professionnalisme » b. Incidences sur le travail Ce changement de direction a eu des incidences sur le travail des managers enquêtés, et ce, principalement

laisse le lecteur pareil à ce qu'il était avant de le lire est un livre raté »1. Dieu qu'il avait raison Cioran. On peut dire qu'il y a deux états pour les lecteurs du « Principe de Lucifer », le « avant », et le « après », et très peu d'entre eux ont regretté de l'avoir lu. De plus, comme avec un véritable livre diabolique, une fois qu'on l'a lu, on n'ose plus y retoucher, mais on jette des coups d'oeil furtifs à la bibliothèque pour vérifier tout de même s'il n'a pas quitté sa place. Normal pour un livre

Alcide – quelle brute, décidément ! – ne s’aperçut de rien. Pauvre Césarine ! La veille du mariage, le dernier jour où Alcide dînait en célibataire, la cuisine de Césarine sentait joliment bon. 63 – Oh ! remarqua Alcide, tu veux me donner des regrets, Césarine ! Ce qui sentait si bon, c’était un petit plat, préparé à la poêle, sur un feu de bois (Césarine eut toujours le mépris du gaz et de tous vos modernes fourneaux.) Il y avait des oignons frits, du thym et de tout ! Le persil, un persil fraîchement

juge administratif aurait tenir compte dventuels lments nouveaux qui figureraient dans une note en dlibr. Lopinion concordante des juges Rozakis, Tulkens et Casadevall le souligne trs clairement, puisque prcisment elle le regrette. Nous navons pas, pour notre part, les mmes regrets. Car si tout lment nouveau prsent postrieurement aux conclusions du commissaire du gouvernement devait, au titre du contradictoire, donner lieu une rouverture de linstruction, les dbats ne finiraient jamais. Ou plutt,