Les Pas Du Compagnon Maçon

de l’étoile Flamboyante, donc au travers de son centre que nous intériorisons, puis nous passons au-dessus du cadavre de Maître Hiram. C’est le passage du plan, avec la marche de l’apprenti et du compagnon à l’axe, symbole du décollage de la matière à l’esprit, c’est le centre où tous les Maîtres Maçons se retrouvent. Maître Hiram est mort et la Parole a été perdue par l’interprétation exotérique (car ne cherchant plus l’idée sous le symbole) du volume de la loi sacrée. Cette parole ne pourra être

formation d'ordre général, mais selon leurs sexes afin d'enseigner les travaux manuels et ménagers. Les filles sont formées à la couture, le repassage, le lavage, la cuisine ; tandis que les garçons sont formés aux métiers de forgerons, menuisiers, maçons. La loi du 18 mars 1942 rend obligatoire pour les jeunes filles « l'enseignement ménager familial », une heure par semaine. De plus, le régime encourage les écoles non-mixtes. Une contradiction apparaît quant à la politique du régime vis à vis

libations. La transgression a mauvais goût ! Pis encore, la cérémonie d’élévation au sublime grade de Maître est l’affreuse réalisation de la pire des transgressions possibles car au-delà de la mise en scène de la mort d’Hiram par les trois mauvais compagnons, il s’agit d’un parricide. Freud, dans « Totem et tabou » compare ceci  au meurtre du père de la horde primitive. Les fils meurtriers peuvent alors se partager le pouvoir phallique et deviennent ainsi les « Enfants de la Veuve ». Cette transgression

18 (VM : le président), les 1er et 2e Surveillants (1S, 2S : les assesseurs). Le premier manifeste dans le rituel une présence langagière massive : il pourra parler seul, s’adresser à chacun des Surveillants ou à un autre acteur du Rite (Officier, Maçon ou Candidat 19 ). Les autres acteurs auront ainsi une présence moindre de ce point de vue. La parole se manifestera sous forme monologuée (VM seul à un acteur silencieux), dialoguée (VM-Surv) ou triloguée (VM-1S2S) 20 . On trouve aussi, entre les dialogues

Souvent, pour s’amuser, les hommes d’équipagePrennent des albatros, vastes oiseaux des mers,Qui suivent, indolents compagnons de voyage,Le navire glissant sur les gouffres amers. 5 À peine les ont-ils déposés sur les planches,Que ces rois de l’azur, maladroits et honteux,Laissent piteusement leurs grandes ailes blanchesComme des avirons traîner à côté d’eux. Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule !10 Lui, naguère si beau, qu’il est comique et laid !L’un agace son bec avec un brûle-gueule

l'accueille avec un tel enthousiasme que certains historiens voient dans cette journée du 30 mars « la première des journées révolutionnaires ». Deux mois avant sa mort, le 7 avril 1778, il devient franc-maçon dans la loge parisienne des « Neuf Sœurs ». Il est possible que Voltaire ait été franc-maçon avant cette date, mais il n'en existe aucune preuve formelle. Il meurt à Paris le 30 mai 1778. En février, 4 mois avant sa mort, il déclarait publiquement : « Je meurs en adorant Dieu, en aimant mes

cette planche sur le labyrinthe qui va nous mener à ses origines architecturales, philosophiques et religieuses ainsi qu'à sa dimension psychologique. Nous verrons ainsi que le labyrinthe peut incarner les mystères et qu'il revêt pour nous franc-maçon, une expérience initiatique prépondérante. Nous verrons comment il peut être pluridirectionnel ou bien monodirectionnel et que cela traduit aussi notre quête personnelle. Nous en matérialiserons l'origine et aussi la complexité à l'instar de nos

détacher des choses futiles et se souvenir que la cupidité est le pivot de tous les vices. Mais le Vénérable Maître l’informe également que ces métaux, convenablement maniés par le sage, peuvent aussi servir à faire le bien. Il appartient au Franc Maçon d’aider les œuvres de solidarité, de la franc Maçonnerie que l’on désigne d’ailleurs sous le nom d’ « une veuve et ses enfants » en contribuant à sa façon quand passe le tronc de la Veuve. Nous savons que, si la charité est une vertu, elle cesse de

l’amélioration des qualités physiques et morales des jeunes garçons et des jeunes filles .Un modèle qui présente beaucoup de similitudes avec la Maçonnerie. Baden- Powel en est le fondateur. La question se pose toujours : Alors, BP fût il franc-maçon ? Une réponse définitive ne semble pas possible actuellement. En voici quelques éléments du scoutisme présentant de curieuses analogies avec la Maçonnerie DES ÉLÉMENTS EXTÉRIEURS : Les rituels, surtout celui de la Promesse décrite dans "Éclaireurs"

A LA GLOIRE DU GRAND ARCHITECTE DE L’UNIVERS FRANC-MACON DU RITE ECOSSAIS ANCIEN ET ACCEPTE SOUS LES AUSPICES DE LA GRANDE LOGE DE FRANCE LIBERTE EGALITE FRATERNITE LA FRANCE EQUINOXIALE N°93 ORIENT DE CAYENNE LE NOMBRE D’OR 07 MAI 6009 ANDRE BARRAT Vénérable Maître, Vénérables d’Honneur, et vous tous mes Frères en vos Grades et Qualités, J’ai l’honneur de vous