Les Ong Et La Responsabilité Environnementale

RESPONSABILITE SOCIALE DES ENTREPRISE S ET DEVELOPPEMENT DURABLE SESSION 2010 Introduction La responsabilité sociale des entreprises (RSE) est la résultante d’une pression de la part des sociétés civiles telles que des associations écologiques ou humanitaires souhaitant que ces entreprises prennent en compte les impacts sociaux et environnementaux de leurs activités et de leurs pratiques. Les entreprises ont donc été amenées à mettre en place des chartes et des labels afin de prouver

durable se décline en un programme d’action. Etats, société civile (associations, syndicats, ONG…) et firmes multinationales s’engageaient à réfléchir sur ce que peut laisser notre génération aux générations futures. Il est question du legs environnemental que nous laisserons aux générations qui viennent. C’est en cherchant à moraliser l’entreprise que les concepts d’engagement social, de responsabilité sociale, de transparence et d’éthique marquent une volonté de s’engager dans une politique

DM de Management : Cas LAFARGE Question 1 : La RSE (Responsabilité Sociale de l’Entreprise) est l’intégration à but volontaire dans la stratégie des entreprises : - Des dimensions sociales et environnementales de l’activité de l’entreprise ; - De la manière dont les entreprises interagissent avec leurs parties prenantes internes et externes. Elle prend en compte la notion de développement durable. Celui-ci est défini comme « un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre

cause la domination de la Triade au sein de la mondialisation. Cette contestation émane en particulier des milieux altermondialistes nés dans les Page 5 sur 13 III- Une hégémonie contestée par les altermondialistes et ONG. 1- La dénonciation des altermondialistes et des ONG 2-Des critiques qui rejoignent celles des pays émergents. pays de la Triade eux-mêmes. Ainsi, ATTAC, organisation créée en France en 1998 et présente dans une quarantaine de pays, dénonce les effets de la mondialisation

santé 2. Education : les défis de la généralisation et de la qualité 3. Lutte contre la pauvreté et l’exclusion 4. Désenclavement du monde rural et maîtrise de l’urbanisation 29 30 34 35 36 39 Pilier environnemental 1. Un engagement irrevocable : l’opérationnalisation de l’action environnementale en marche 2. Climat : impact local, défi global 3. L’eau : une gestion intégrée 4. Forêts et biodiversité : une richesse et des efforts soutenus pour sa préservation 5. Entre mer et océan : le Maroc un

être garant de cette entreprise car l’entreprise se met au profit des actionnaires du marché énergétique. * Le groupe franco-belge SUEZ, en 2008, fusionne avec GDF dans l’optique d’avoir le monopole sur le marché dans les domaines énergiques et environnementaux puis dans la distribution du gaz. * La CGT représente un contre pouvoir autant interne, par les représentants syndicaux de l’entreprise, qu’externe au niveau national. Elle représente les salariés dans le cadre de négociations collectives des

performance et responsabilité. La performance financière ne suffit plus à apprécier la performance d’une entreprise. Dès lors, les entreprises doivent mesurer leurs progrès à partir d’une performance plus globale incluant, en dehors de la dimension économique, des dimensions sociale et environnementale. A présent, comment mesurer cette performance globale ? Existe-il des outils de mesure globale de la performance ? Sinon comment approcher cette mesure ? Mots clés : performance globale, responsabilité sociétale

réponses libres auprès des consommateurs non-experts et des consommateurs experts en greenwashing. Horizon temporelPonctuelLa méthodologie de la recherche :DESIGN DE LA METHODOLOGIE DE RECHERCHEContexte :la norme ISO 26000 définit la RSE comme « la responsabilité d’une organisation vis-à-vis des impacts de ses décisions et activités sur la société et sur l’environnement, se traduisant par un comportement éthique et transparent qui : contribue au développement durable, y compris à la santé et au bien-être

constructeur Japonais Nissan a utilisé une thérapie de choc « management ad hoc pour sortir de la crise » pour sauver le groupe. « Quand je suis arrivé, explique t-il, il régnait un réflexe typique dans les entreprises en déclin : on renvoyait la responsabilité des problèmes sur l’extérieur, par exemple en invoquant le contexte économique ».Or, la vrai proactivité consiste à observer dans quelle mesure nous sommes responsables de nos propres problèmes. La conjoncture est loin de recouvrer le périmètre

dysfonctionnements et d'imaginer des solutions pour y remédier. Utilisé dans un but de prévention plutôt que de correction. Mettez en évidence l'influence des parties prenantes externes sur le management d'Efcan. : Le développement de la responsabilité sociétale de l'entreprise a permis de considérer que l'entreprise doit aussi écouter et rendre des comptes à tous les acteurs concernés par l'activité de l'entreprise. Les parties prenantes externes sont : Les clients: Enjeux de qualité de produits