Les Mots De Champ Lexical Les Derniers Vers

Lire une oeuvre argumentative du XIXe siècle contre la peine de mort: Le Dernier jour d’un condamné, de Victor Hugo Gabrielle PHILIPPE-SAUVILLERS, professeur agrégé de Lettres modernes, Collège Pierre Mendès-France, Paris 20ème En introduction : - problématique : repérer les enjeux d’une œuvre engagée, analyser les procédés d’écriture au service de l’argumentation et construire ses propres arguments sur les thèmes de la peine de mort, de la

d'entre eux, Célimène utilise un champs lexical pour chaque personnage, adapté en conséquence. Timante est décrit grâce aux champs lexicales du mystère et de la discrétion : « ...de tout mystère », « tout bas », « un secret », « dit tout à l'oreille » (v. 2-10). En effet, cet homme intrigant et mystérieux, qui se donne l'air important, ne parle toujours qu'avec la plus grande discrétion et fait de l'affaire la moins importante, le plus grand des secrets. Le champs lexical de la haute noblesse est employé

gens et aux situations qui n'étaient pas jusque là considérés comme artistiques. Ainsi, dès 1835, Balzac, dans Le Père Goriot, décrit un intérieur où tout est sale, nauséabond, délabré, écœurant. La création picturale et littéraire se tourne aussi vers ceux qui vivent dans ces cadres médiocres : ouvriers, artisans, prostituées, marginaux, représentés dans les aspects souvent les plus sordides de leur existence. Lorsque Flaubert évoque une scène de pillage de 1848, il souligne sans lyrisme ni totalité

phrase introductive : «Alors commencèrent trois mois d’ennui. » suivie de l’indication de son état d’âme empli de tristesse et de désoeuvrement, un long paragraphe nous présente d’une manière exhaustive les monuments parisiens qui apparaissent dans le champ de vision de Frédéric « du haut de son balcon ». Le regard du jeune homme semble d’abord accroché par le décor morne et gris des quais s’étendant sur sa gauche, offrant ici une description fouillée, précise et non dénuée d’une certaine poésie. Ainsi

Pbmatique : De quelle façon les inconvénients de la vie parisienne apparaissent-ils dans ce texte ? I. Une ville placée sous le signe de l’agitation * champ lexical du bruit => vacarme assourdissant * énumération de personnages => foule * champ lexical de la foule => omniprésente, gênante * anaphore (répétit° d’une exp en début de vers) de « là » => on ne sait plus où donner de la tête, agacemt |Méthode : Dans une lecture analytique (ou un commentaire de texte), on repère des procédés avec

ressemblances mais aussi les différences entre la mer et l'amour, le poète développe le thème de l'amour malheureux. 4ème étape : la composition du texte  formelle sonnet régulier si l'on tient compte de la rime normande entre "mer " (vers 3) et "aimer" (vers 6) : rimes ABBA ABBA CCD EED  celle du fond ou plan du texte : 2 plans possibles :  le premier plan oppose traditionnellement les quatrains aux tercets (comparaison, puis antithèse) - quatrains : ressemblances entre mer et amour

lié au besoin matériel ? La chanson joue sur 2 registres : lyrique (chanson d’amour) et grotesque. a. le registre lyrique Au Moyen-âge, une complainte désignait une chanson qui raconte les malheurs du personnage. Dans les 1er vers, on peut remarquer le champ lexical de l’amour (ex : faire sa cour) mais il disparait complétement dans les 2ème et 3ème couplets pour se remplacer par des sentiments agressifs et familiers (ex : rentre chez ta mère). Les 2 premiers couplets sont construits sur

pour persuader : Les moyens lexicaux * Le lexique appréciatif • Le lexique affectif : cf. peur, joie, indignation,colère, etc. … • Le lexique évaluatif : cf. mots valorisants / dévalorisants • Les connotations péjoratives ou mélioratives • Les registres de langue : soutenu et familier * Les oppositions lexicales par ex. • le champ lexical du passé et celui de l’avenir • le champ lexical de la science et celui de l’émotion • le champ lexical de la raison et celui du sentiment

une métaphore qui allie des mots de sens abstrait et concret, dans le but de faire comme si les émotions ressenties pas l’auteur se situait dans son cœur et non dans son cerveau. Ensuite, dans la première strophe, l’auteur emploie énormément des mots du champs lexical du cercle, comme “rond”(v2), “auréole”(v3), “courbe”(v1), “tour”(v1). Ces mots tournent autour de l’idée du cercle ; on peut penser à des sortes de pouvoirs magiques qui émaneraient de ces derniers, tout comme à la notion de mobilité

mythologiques. Ainsi dès le vers 2, les follets, petits lutins dans la mythologie orientale, sont présentés comme des « valets ». Ensuite vers 11 ou les vents doux et agréable que sont les zéphyrs son comparés à un « peuple ami du Démon ».La comparaison continue vers 18, où les follets sont nommés « esprits », puis vers 25 le follet reprend forme humaine avec « Indou » et « Lapon ». Vers 48, c’est le nom qualificatif de médiocrité qui est personnifié métaphoriquement par les mots « Déesse ». Ainsi qu’une