Les Mots De Champ Lexical Les Derniers Vers

également à des attentes. Il donne des indices sur la nature du poème que le lecteur s'apprête à lire. En poésie, la forme est décisive : regarder le texte « de loin » permet d'avoir déjà une idée de la démarche du poète : Vers, strophes ? Si vers : vers réguliers, vers libres ? Si vers réguliers : quel type de rimes ? Le nombre de strophes... Besoin d'un professeur de français ? Pour la lecture Nous vous conseillons de lire le poème plusieurs fois, avec un stylo à la main qui vous permettra de noter

-------------------------------------------------     Victor Hugo, auteur complet (romancier, dramaturge) et engagé (Le dernier jour d'un condamné) est aussi un adepte de la poésie qu’il définit comme « ce qu’il y a d’intime en tout » dans la préface de son recueil Odes et ballades (1828) évoquant le sentiment de mal-être et de mélancolie propre aux romantiques. Il annonce ainsi dans la préface qu’il s’agira « de vers sereins et paisibles [...] des vers de l’intérieur de l’âme » et comme un « regard mélancolique sur ce qui est, ce qui

Au XIX siècle, c'est l'explosion de la prostitution à Paris surnommée alors la capitale des plaisirs. La ville accueille à cette époque de grands auteurs comme Maupassant mais aussi ses contemporains tels que Zola, Balzac ou encore Flaubert. Ces derniers vont notamment s'inspirer des différentes classes sociales qui régissent la capitale pour écrire leurs romans. Bel-Ami est donc un roman naturaliste écrit par Guy de Maupassant durant le XIXe siècle et plus précisément en 1885.Il s’inscrit dans le

Les chars d'argent et de cuivre – Les proues d'acier et d'argent – Battent l'écume, - Soulèvent les souches des ronces. Les courants de la lande, Et les ornières immenses du reflux, Filent circulairement vers l'est, Vers les piliers de la forêt, - Vers les fûts de la jetée, Dont l'angle est heurté par des tourbillons de lumière. ARTHUR RIMBAUD, Illuminations, 187 Commentaire rédigé On appelle «marine» un tableau qui représente

que dans les sonnets traditionnels (abab, cdcd, eef, ggf). Seul est respecté le maintien de la rime d’appel au vers onze, « froid », à laquelle répond la rime du dernier vers : « droit ». Une phrase par quatrain : deux phrases par tercet, avec un effet de symétrie dans la disposition de l’une, de neuf pieds, au premier vers du premier tercet, et de l’autre, de dix pieds, dans le dernier vers. 2 – Les rythmes sont variés et désarticulent l’alexandrin (nombreux enjambement et rejets ; jeu sur les coupes)

extrait des Derniers vers de Ronsard (1586), « Vous faites voir des os » de Scarron issu du Recueil de quelques vers burlesques paru en 1654 et « Les aveugles » de Baudelaire tiré desFleurs du Mal (1857), des procédés variés sont employés pour décrire la laideur. Cette laideur touche d’abord les personnages. Les différents poètes mettent d’abord en exergue la laideur physique des personnages qu’ils évoquent dans leurs œuvres. Ils utilisent tous trois, à cet égard, le champ lexical de la laideur

cadavre. Pour cela, il emploi le champ lexical du sordide : « charogne infâme » (vers 3), « suant les poisons » (vers 6), « son ventre plein d’exhalaisons. » (vers 8), « pourriture » (vers 9), « carcasse » (vers 13), « La puanteur était si forte » (vers 15), « ventre putride » (vers 17), « ordure » (vers 37), « horrible infection » (vers 38), « Moisir » (vers 44), « décomposés » (vers 48). De plus il utilise des métaphores telles que « brûlante et suant les poisons » (vers 6), « ce ventre putride, /D’où

Commentaire Les jardins est un poème écrit par Jacques Delille en 1782. L'extrait que nous allons étudier est le chant II du poème. Cet extrait contient 26 vers, écrits en alexandrin, donc en douze syllabes, deux accents forts à la 6ème et à la 12ème syllabes. La plupart des vers sont divisés en deux ou quatre mesures égales, ce qu'on appelle le rythme binaire. Le registre dominant est lyrique. Dans un premier temps nous allons étudier la vivacité de la nature puis nous allons

ce dernier s'inscrit dans un épisode tragique, puis, qu'il va progressivement sombrer dans la démence. Dans un premier temps, nous montrons qu'Oreste s'inscrit dans un épisode tragique. Oreste semble être victime de la fatalité. En effet, il s'adresse directement aux dieux en les interpellant par l'apostrophe "ô ciel" vers 2. On remarque qu'il dit être le martyr d'une force qui le dépasse comme le montre les mots "ta persévérance" vers 1615 ; "sans relâche" vers 1616; "me punir" vers 1616;

r plusieurs procédés son horreur et son côté traumatisant. En effet, la situation initiale nous plonge dans le présent de Camille qui s’amuse presque dans la barque en compagnie de Thérèse et Laurent. En témoigne le champ lexical de la « farce » utilisé au début du récit « chatouilles, plaisanteries, éclata de rire ». Pourtant le premier mot de l’extrait du texte analysé est « Alors », démontrant ainsi le début d’une péripétie : celle de l’étranglement. « Laurent serra plus fort », ne laisse